DS Tressol-Chabrier -
  • Accueil
  • CHEZ DS
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
Accueil
CHEZ DS
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
  • Accueil
  • CHEZ DS
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
DS Tressol-Chabrier -

Nous avons Vous ressemblent
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

CHANGEMENTS DE VOIES, DIFFÉRENCES DE VITESSE… VOICI COMMENT SE FORMENT LES BOUCHONS SUR L’AUTOROUTE

Dans un podcast, Vinci Autoroutes pose quelques questions à l’un de ses employés, Thierry Mauduit, qui explique la formation des bouchons sur l’autoroute. La question est particulièrement pertinente en pleine période de départs en vacances. Et nous permet d’en savoir plus sur les moyens employés par Vinci pour réduire les embouteillages et autres ralentissements.

Chaque année, c’est la même chose. Au mois de juillet et au mois d’août, les bouchons se multiplient sur les grands axes routiers à destination des régions prisées des vacanciers. Comme l’indiquent les prévisions de Bison Futé, certaines journées sont même placées en vigilance noire, signe d’une circulation extrêmement difficile. Alors, les embouteillages sur l’autoroute sont-ils inéluctables en période de grands départs en vacances ? Comment Vinci Autoroutes procède pour les éviter ?

Dans son podcast Question d’Autoroute, le gestionnaire d’autoroutes Vinci interroge à ce sujet Thierry Mauduit, l’un de ses chargés de missions Exploitation Sécurité. “Un bouchon peut se former sans événement de par un trafic trop important sur les voies de circulation”, assure ce dernier. L’affluence importante en période de départs en vacances semble donc propre à la formation de gros ralentissements. “Plus le nombre de véhicules augmente, plus la capacité de la route atteint sa limite”. Thierry Mauduit prend notamment l’exemple de l’entonnoir :

“Dans un entonnoir, on verse un fluide avec un débit plus ou moins important. On s’aperçoit que plus le débit est important dans cet entonnoir, plus sa capacité d’écoulement devient compliquée.”

Ralentir pour ne pas se retrouver bloqué

Photo d'illustration
Photo d’illustrationCredit Photo – Yayimages

Toujours selon Thierry Mauduit, afin d’empêcher que des bouchons ne se créent, Vinci Autoroutes met certains moyens en œuvre. Par exemple, le gestionnaire d’autoroutes peut “limiter la vitesse maximale de circulation”. Cela peut paraître étrange de prime abord, mais d’après l’invité du podcast Question d’Autoroute, cela permet “d’éviter les différences de vitesse sur chaque voie de circulation”. Et ainsi “d’écouler plus facilement le trafic en limitant les freinages ou changement de voie intempestifs”.

Si la formation des embouteillages est difficile à prévoir avec certitude, une chose est sûre : changer de voie pour éviter de se retrouver empêtré dans un bouchon ne “sert à rien” selon Vinci Autoroutes. Ce type de comportement serait même “à l’origine de certains bouchons” selon la société.

En bref

Sur l’autoroute, un bouchon peut vite se former. Surtout en plein été, où les départs en vacances sont bien plus nombreux que d’habitude. Dans un podcast, Vinci Autoroutes explique comment les embouteillages se créent, et évoque les moyens mis en oeuvre pour les éviter.

Source : www.autonews.fr

12 juillet 2022par Manuèle Maniez
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Pourquoi la recharge sans câble est cruciale pour la voiture électrique

La recharge des voitures électriques sans fil n’est pas encore une technologie au point. Cependant, son potentiel pousse certaines entreprises à miser dessus.

C’est le cas de WiTricity, un des leaders du secteur, qui travaille dessus depuis plusieurs années. L’entreprise venant du MIT a promis un réseau de recharge par induction dès cette année. La jeune firme a même vu Siemens s’intéresser à son idée et investir à ce sujet.

La recharge sans fil est déjà en développement depuis plus de dix ans. À cette époque, Renault et Qualcomm avaient testé les premiers prototypes de cette technologie.

Une recharge sans fil simple à installer

Et si WiTricity a poussé pour son développement, c’est parce qu’elle pourrait révolutionner la voiture électrique. Le système fonctionne par un dispositif en deux parties.

Une plaque s’installe dans le garage ou sur le parking, là où la voiture se gare. Il est important de la placer de manière à pouvoir l’aligner avec l’autre partie du système.

Cette autre partie s’installe quant à elle sous la voiture. Le fait de les aligner permet ensuite un transfert d’énergie via un champ électromagnétique.

De plus, un signal permet d’aligner à la perfection, automatiquement ou non, la voiture sur la plaque. De là, il est possible d’avoir jusqu’à 11 kW de puissance de recharge.

« Une voiture à autonomie infinie »

WiTricity mise sur la recharge sans fil, car cette technologie changerait le quotidien des propriétaires de voiture électrique. Le fait de ne pas avoir à s’occuper de la recharge chez soi allègerait, selon l’entreprise, les contraintes.

« Au bout du compte, la voiture donnera l’impression d’être une voiture à autonomie infinie », note Alex Gruzen. Le PDG de WiTricity poursuit en expliquant la facilité d’utilisation du système pour les propriétaires. « Ils la conduisent, ils la garent, ils n’ont jamais rien à faire. »

L’inconvénient est pour le moment le coût de ce type de système, qui nécessite le double d’installation. L’autre inconvénient est l’obligation de garer son véhicule toujours au même endroit.

La simplicité d’utilisation reste un argument convaincant, si l’on en croit le nombre de constructeurs qui y travaillent. BMW et Mercedes, mais aussi Nissan, cherchent à en développer leur version.

BMW en a d’ailleurs testé une version via un programme pilote avec sa Série 5 PHEV. Genesis l’offrira avec son futur GV60, et Hyundai et Kia pourraient l’intégrer à la plateforme E-GMP de l’EV6 et de la Ioniq 5 à l’avenir.

Source : www.automobile-propre.com

28 juin 2022par Manuèle Maniez
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Voitures électriques : l’Europe veut des bornes de recharge tous les 60 kilomètres

Les ministres des Transports de l’Union européenne sont parvenus à un accord sur le déploiement des bornes de recharge électrique, avec des objectifs contraignants par Etat.

La ministre française, Amélie de Montchalin, a bien résumé le problème à son arrivée à Luxembourg, jeudi, à la réunion des ministres des Transports européens : « On ne peut pas demander aux Européens de changer pour un véhicule électrique s’ils n’ont pas la certitude de pouvoir recharger, avec une bonne répartition des bornes ».

A l’issue de mois d’intenses discussions dans le cadre du paquet climat « Fit for 55 » , les Vingt-sept sont parvenus à l’issue de ce conseil à un accord sur un futur règlement fixant des objectifs contraignants aux Etats membres pour, enfin, déployer un réseau de bornes publiques à la hauteur de l’électrification en cours du parc automobile.

Exigences de couverture géographique

Pour la recharge des véhicules légers électriques, les exigences de puissance à fournir dépendront de la taille de la flotte immatriculée, à raison d’au moins 1 kW par véhicule électrique sur le territoire, précise le texte. Des exigences de couvertures sont aussi posées, avec l’ambition d’une station publique tous les 60 kilomètres sur le réseau transeuropéen de transport (RTE-T) d’ici à 2025 (avec au moins une borne ultrarapide, de puissance supérieure à 150 kW).

L’objectif est d’avoir couvert le réseau principal d’ici à fin 2025, puis la totalité en 2030, en y assurant une « interopérabilité totale » et des infrastructures « faciles d’utilisation ». L’Europe part de loin. Dans un rapport de mai 2021, la Cour des comptes européenne pointe que « parcourir l’UE au volant d’un véhicule électrique reste compliqué ».

« La disponibilité des bornes varie d’un pays à l’autre, les systèmes de paiement ne sont pas harmonisés […] et les informations accessibles aux consommateurs ne sont pas suffisantes », ajoute-t-elle. La situation s’est légèrement améliorée depuis, mais reste insuffisante.

Par souci de réalisme et d’efficacité, ces obligations seront moindres et modulables dans les zones à faible et très faible trafic. Un délai est en outre laissé pour les bornes dédiées aux poids lourds électriques (un marché technologiquement moins mûr que celui des véhicules légers), qui devront se déployer entre 2025 et 2030, « en encourageant une logique de corridor ». Le même calendrier a été retenu pour les points de ravitaillement en hydrogène.

Ambitions jugées insuffisantes

« Cette proposition joue un rôle important pour accélérer le déploiement de ces infrastructures afin de ne pas freiner le recours aux véhicules et d’initier un cercle vertueux », se félicite la présidence française du Conseil de l’UE.

Il n’est toutefois pas sûr que les constructeurs trouvent ces dispositions suffisantes. Depuis des mois, leur lobby européen, l’ACEA, alerte sur le manque de volonté des Etats membres à déployer le réseau nécessaire. Fin mars, dans une nouvelle étude confiée au cabinet Mc Kinsey , il a estimé que l’Europe aurait besoin de 6,8 millions points de recharge d’ici à 2030 si elle veut tenir l’objectif de réduire de 55 % les émissions polluantes des voitures.

Adoption d’ici à la fin de l’année

« C’est presque deux fois plus que ce que la Commission propose avec son règlement », souligne l’étude, qui appelle à installer 14.000 points de recharge par semaine à travers le continent, contre un rythme actuel d’environ 2.000. Dans le « Green deal », la Commission a fixé un premier objectif d’un million de bornes en 2025.

L’UFE (Union Française de l’électricité) avait elle aussi jugé les ambitions de Bruxelles insuffisantes, estimant qu’il était nécessaire de doubler les objectifs, au moins à horizon 2030.

Le projet de règlement devrait encore évoluer. Il est actuellement à l’étude au Parlement européen, qui ambitionne d’adopter sa version du texte à la séance plénière de septembre. Un tel calendrier laisserait espérer une adoption définitive, après ultimes tractations entre le Conseil et le Parlement, d’ici à la fin de l’année.

Source : https://www.lesechos.fr

22 juin 2022par Flora LEMBLE
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Peut-on vraiment voyager en voiture électrique ? Possible, mais mieux vaut bien se préparer…

Effectuer de longues distances au volant d’un véhicule électrique nécessite de bien repérer au préalable les différentes stations de recharge

Partir en vacances en voiture électrique, c’est possible : un périple de 900 kilomètres entre la France et la Belgique montre que les bornes de recharge sont bien là, mais qu’il est impératif de préparer son trajet pour éviter la panne sèche, tant le réseau reste embryonnaire par rapport aux stations-service traditionnelles.

Le voyage effectué par une équipe de journalistes illustre le titanesque défi financier et industriel auquel l’Europe fait face alors qu’elle veut interdire la vente de véhicules à essence ou diesel d’ici 13 ans. Au départ de Paris, pas de problème dans les bouchons de l’agglomération parisienne : la batterie peut tenir des heures à ce rythme. Mais en arrivant sur l’autoroute, l’électrique dévoile un de ses principaux défauts : l’autonomie passe de 250 kilomètres à moins de 100, en bien moins de temps qu’il ne faut pour les parcourir.

La peur de la panne

Après une première recharge, on arrive avec la jauge à zéro sur l’aire de Verdun (Meuse). Pour une dizaine d’euros, on remplit la batterie à 80 %, les derniers 20 % étant plus lents. Il est essentiel d’anticiper son parcours en fonction de la voiture et de la température extérieure, la batterie se déchargeant plus vite en hiver. Pour atteindre la Belgique, il faudra charger quatre fois, pendant une trentaine de minutes à chaque pause.

« La recharge en itinérance est essentielle dans l’esprit des gens pour passer à l’électrique », souligne Cécile Goubet, de l’Avere, l’organisation des professionnels du véhicule électrique. Tesla l’avait bien compris, en lançant à ses frais des stations de recharge en parallèle de ses berlines, des stations qui comptent aujourd’hui jusqu’à 40 bornes individuelles chacune, bien plus que les stations concurrentes.

Lorsque l’on quitte l’autoroute pour passer en Belgique, via les départementales, la consommation baisse, comme la peur de la panne. De nombreux chargeurs de moyenne puissance sont disponibles. La nuit tombe alors que Bruxelles approche : il faut maintenant trouver un hôtel ou un logement où recharger ses batteries, histoire de repartir avec 100 % d’autonomie. L’offre se limite encore à des hôtels plutôt huppés ou à quelques Airbnb.

La France en retard

Sur l’aire de Nazareth, près de Gand, des Hollandais enhardis par la performance de leur réseau de bornes s’arrêtent pour une première charge rapide sur le chemin de la France. « Le problème, c’est qu’entre la Belgique et l’Espagne, il y a la France », plaisante Frank Berg, 55 ans, qui se rend en Espagne avec sa femme Olga. Par rapport aux Pays-Bas, ou à l’Allemagne, le réseau de recharge rapide français est encore bien incomplet. Après l’échec du réseau Corri-Door, lancé en 2015 par des filiales d’EDF et Engie, des opérateurs comme Ionity, TotalEnergies ou FastNed prennent le relais.

Par décret, toutes les aires d’autoroute françaises doivent être équipées d’ici la fin de l’année. Après des années d’hésitation, « il y a beaucoup d’enthousiasme autour de ce business model », confirme Florian Nägele, du cabinet McKinsey. Des géants nationaux et européens devraient se consolider dans les prochaines années, prévoit l’expert du secteur. Isabelle Inder, 34 ans, fait aussi le voyage vers la Champagne avec sa compagne Antalaya. Elles ont choisi récemment un petit SUV de la marque chinoise MG, qui affiche environ 300 km d’autonomie « pour protéger l’environnement », et pour balader leur gros chien.

Pas assez de bornes

« On recharge par petits coups chaque fois qu’on s’arrête. Ce n’est pas si compliqué, et c’est pas mal non plus de prendre une pause toutes les heures et demie », explique Isabelle. « Il faut planifier son voyage, mais parfois les apps ne sont pas à jour et la borne ne fonctionne pas ». On en fait l’amère expérience sur l’autoroute Lille-Paris : alors qu’il reste 60 kilomètres à parcourir, une station de recharge est fermée pour travaux, on rate une sortie pour la suivante, et on se retrouve quasiment à zéro sur une station… où la charge rapide ne fonctionne pas.

300 000 bornes lentes (+30% sur un an) et 50 000 rapides (+30% aussi) ont été installées en Europe en 2021, selon l’Agence internationale de l’énergie. L’Allemagne, le Royaume-Uni, la Norvège ou la France ont notamment redoublé d’efforts au cours des derniers mois. Mais cette augmentation de 30 % sur un an reste insuffisante face à l’explosion prévue du marché des voitures électriques. Il faudrait un réseau de 6,8 millions de chargeurs d’ici 2030, soit une installation de 14 000 chargeurs par semaine, pour répondre aux besoins, selon l’association européenne des constructeurs d’automobiles.

Source : www.sudouest.fr

8 juin 2022par Manuèle Maniez
Page 4 of 19« First...«3456»10...Last »

Rechercher

ARTICLES POPULAIRES

8 conseils pour rouler de nuit en toute sécurité

8 conseils pour rouler de nuit en toute sécurité

Voiture en papier : plus de 100 modèles à assembler pendant le confinement

Procédures de sécurité en concession face au COVID-19

Procédures de sécurité en concession face au COVID-19

Symbole de l’excellence et du savoir-faire français : Découvrez la DS 9

Symbole de l’excellence et du savoir-faire français : Découvrez la DS 9

Catégories

  • CHEZ DS
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

ABONNEZ-VOUS A NOTRE NEWSLETTER

ARTICLES RÉCENTS

8 conseils pour rouler de nuit en toute sécurité

8 conseils pour rouler de nuit en toute sécurité

ZFE : LE PRÊT À TAUX ZÉRO POUR ACHETER UNE VOITURE ÉLECTRIQUE ARRIVE EN 2023

ZFE : LE PRÊT À TAUX ZÉRO POUR ACHETER UNE VOITURE ÉLECTRIQUE ARRIVE EN 2023

Il vend 1000 clefs et laisse les acheteurs trouver la voiture dans New York

Il vend 1000 clefs et laisse les acheteurs trouver la voiture dans New York

LA FIN DE LA VIGNETTE VERTE D’ASSURANCE AUTO EST ANNONCÉE, VOICI CE QUE ÇA VA CHANGER

LA FIN DE LA VIGNETTE VERTE D’ASSURANCE AUTO EST ANNONCÉE, VOICI CE QUE ÇA VA CHANGER

NOS CONCESSIONS DS

Pour acheter votre DS occasion dans le Grand Sud-Ouest. Consultez toutes les annonces proposées par vos concessionnaires DS du Groupe Tressol Chabrier de Montpellier à Carcassonne en passant par Perpignan, Auch et Narbonne. Vous trouverez forcément votre prochaine voiture occasion dans le large stock de vos concessions auto du Groupe :

  • Concession DS Auch
  • Concession DS Perpignan
  • Concession DS Narbonne
  • Concession DS Béziers
  • Concession DS Montpellier


© 2020 DS blog by Tressol-Chabrier