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8 conseils pour rouler de nuit en toute sécurité

Afin d’éviter une circulation trop dense, de fortes chaleurs ou pour arriver le plus tôt possible sur la plage, nous sommes nombreux et nombreuses à choisir de rouler de nuit sur la route des vacances ! Si cette solution présente en effet ces avantages, elle a aussi des défauts : visibilité restreinte, fatigue, perte des repères…

Pas de panique : quelques règles de bonne conduite associées à quelques astuces, vous permettront d’aborder votre voyage de nuit dans les meilleures conditions.

C’est parti pour nos 8 conseils nocturnes !

Pour rouler de nuit, prenez la route bien reposé(e)

Eh oui, le plus souvent, la nuit on dort, votre corps le sait et a tendance à se relâcher naturellement. Or la fatigue est une des causes principales (ou la cause N°1) d’accident la nuit. Évitez donc d’enchaîner une grosse journée de travail et votre départ.

Dormez quelques heures pendant la journée qui précède le trajet et évitez un repas trop copieux avant de prendre la route : digestion et somnolence vont souvent de pair. Et bien sûr pas d’alcool avant de prendre le volant !

Préparez votre véhicule

Bien sûr, que vous rouliez de jour comme de nuit, bien entretenir sa voiture et la préparer pour la route à venir, est essentiel. Pour la conduite nocturne, portez un soin particulier à 3 choses : nettoyez vos optiques de phares avant et arrière et vérifiez leur bon fonctionnement.

Lavez vos rétroviseurs et pare-brise avant et arrière et vérifiez l’usure de vos balais essuie-glaces pour préserver au maximum votre vision.

Faites régler vos phares

Puisque l’on parle d’optique, votre futur trajet de nuit est une très bonne raison pour aller faire régler vos phares. Ni trop hauts, pour ne pas gêner les autres conducteurs, ni trop bas pour qu’ils éclairent véritablement votre route.

Il est recommandé d’effectuer cette opération au moins une fois par an. Et n’oubliez pas, si votre voiture est très chargée, vous devez adapter le réglage de votre éclairage. Rassurez-vous, c’est facile à faire depuis l’habitacle de la plupart des voitures !

Redoublez de vigilance

Une fois en route, la première des choses à faire pour le conducteur de nuit, est de s’efforcer de rester alerte et de prêter attention à ce qui se passe sur la route. Au bout de quelques dizaines de kilomètres sur une route droite et dégagée, une certaine monotonie peut s’installer et endormir votre vigilance.

Pour lutter contre ce phénomène, concentrez-vous sur la route, sur les phares des voitures qui vous croisent et vous précèdent. Contrôlez plus souvent vos rétroviseurs et ouvrez régulièrement la fenêtre pour vous « revitaliser ». Et même si la route n’appartient qu’à vous, faites des pauses au moins toutes les 2 heures !

Guettez les signes de fatigue

rouler de nuit

Il est important de savoir détecter les signes de fatigue lorsque l’on s’apprête à rouler de nuit. Sensations de picotements dans les yeux, bouffées de chaleur, rigidité de la nuque, épaules douloureuses… Autant de symptômes à prendre au sérieux et qui doivent vous pousser à passer le volant. Vous pouvez également vous arrêter 20 bonnes minutes dès que possible afin de prendre un peu de repos.

Autres signes révélateurs, vous devenez irritable, susceptible, vous vous énervez à la moindre contrariété… Pas d’hésitations à avoir, il faut vous reposer ! Mieux vaut donc arriver tard que de ne pas arriver du tout !

Augmentez vos distances de sécurité

Sur les autoroutes surchargées en été, il n’est pas toujours évident de respecter les distances de sécurité. Et pourtant c’est primordial pour préserver sa sécurité. La nuit ne fait naturellement pas exception à cette règle d’or, au contraire. Il est même particulièrement conseillé d’augmenter vos distances de sécurité.

En effet, dans l’obscurité et à la simple lueur des phares, vous mettrez plus de temps à réagir ! En plus allonger cette distance vous évitera d’éblouir le chauffeur de la voiture qui vous précède avec vos phares.

Adaptez votre vitesse

La nuit, avec un trafic plus léger, voire inexistant, la route donne parfois l’impression de nous appartenir. Il peut donc être tentant d’accélérer au-delà des limites autorisées. Erreur, c’est l’inverse qu’il faut faire : rouler moins vite que de jour, afin de se laisser plus de temps pour réagir aux aléas de la route.

Et si vous démarrez à la tombée du jour, rouler moins vite c’est aussi vous donner le temps d’adapter votre vision à l’obscurité naissante.

Mettez-vous dans les meilleures conditions pour rouler de nuit

Préparez votre itinéraire, ou utilisez un GPS à jour, pour éviter les hésitations. Pensez à avoir une bouteille d’eau à portée de main, voire un brumisateur en cas de fortes chaleurs.

Pour votre confort, choisissez des vêtements amples qui vous permettront ainsi d’être à l’aise pendant la route. Pour éviter l’ennui, concoctez-vous des playlists avec vos musiques favorites, ainsi que des podcasts d’émission de radio. Et bien sûr, mettez vos passagers à contribution pour qu’ils vous fassent la conversation !

Vous voilà prêt à rouler de nuit sous les étoiles pour filer vers des vacances que nous vous souhaitons délicieuses. Retrouvez également nos conseils pour un maximum de confort sur la route des vacances !

N’hésitez pas à réagir et à compléter ces conseils par vos propres astuces ou à partager vos expériences de routes de nuit !

Source : https://www.chacun-sa-route.fr
19 octobre 2022par Flora LEMBLE
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ZFE : LE PRÊT À TAUX ZÉRO POUR ACHETER UNE VOITURE ÉLECTRIQUE ARRIVE EN 2023

Le prêt à taux zéro proposé par le gouvernement arrivera en 2023, pour les véhicules électriques. Mais les contours de ce prêt ne sont pas tous définis.

Le gouvernement continue de mettre en place de nouvelles mesures concernant les aides sur les véhicules électriques. Le ministère de la Transition écologique publiait en avril dernier un nouveau décret dans le Journal Officiel. Et le sujet est intéressant : il porte sur « un prêt ne portant pas intérêt pour financer l’acquisition d’un véhicule dont les émissions de dioxyde de carbone sont inférieures ou égales à 50 grammes par kilomètre« . En clair : un prêt à taux zéro pour l’achat d’une voiture « propre ».

Dans le détail, il ne s’agit ici pour le moment que d’une expérimentation. Le décret promulgue en effet l’article 107 de la fameuse loi « climat et résilience » (n° 2021-1104 pour les intimes), qui prévoit une « période d’essais » sur deux ans à compter du 1er janvier 2023. Surtout, les conditions d’accès à ce prêt à taux zéro sont très précises, et plutôt draconiennes. Pas question de s’offrir une Porsche Taycan à moindres frais…

Prêt à taux zéro ZFE : des conditions strictes

D’abord, vous devrez vivre ou travailler dans une ZFE (zone à faible émission). L’objectif est en effet d’aider les Français qui se voient contraints de changer de voiture à cause des interdictions de circulation type vignette Crit’air. Ensuite, la voiture en question devra émettre moins de 50 g/km de CO2, ce qui vous autorise quand même l’achat de la plupart des hybrides rechargeables. Le modèle choisi devra peser moins de 2 600 kg, de quoi exclure d’emblée la toute nouvelle BMW i7 par exemple. Mais elle n’aurai de toute façon pas résisté à la prochaine règle : le prêt sera limité aux voitures dont le prix est inférieur ou égal à 45 000 € et pour les camionnettes dont le prix est inférieur ou égal à 60 000 €. Le montant du prêt sera alors limité à 30 000 € maximum.

En cas de recours à une LOA ou une LLD, le montant du prêt sera ramené à 10 000 €.

Quelles tranches de revenus sont concernées ?

Sans surprise, cette nouvelle aide ne sera accordée en fonction des revenus du ménage ou des revenus de votre entreprise. Les personnes éligibles à ce prêt à taux zéro sont les suivantes :

  • revenu fiscal par part net inférieur à 14 000 €
  • les entreprises de moins de 10 salariés dont le chiffre d’affaire annuel ne dépasse pas les 2 millions d’euros
  • prêt d’une durée maximale de 7 ans

Les premières expérimentations de ce prêt à taux zéro débuteront le 1er janvier 2023.

source : www.autoplus.fr
12 octobre 2022par Manuèle Maniez
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Il vend 1000 clefs et laisse les acheteurs trouver la voiture dans New York

Pour ceux qui l’ignorent, le collectif d’artistes new-yorkais MSCHF est un spécialiste des opérations créatives qui ne rate pas une occasion de piquer l’opinion publique. Une fois de plus, ils n’ont pas manqué de se faire remarquer avec un projet plutôt insolite puisqu’il a organisé une immense chasse au trésor à New York avec à la clef, une voiture !

Pour cela, MSCHF a commercialisé 1000 clefs vendues au prix de 19 euros, qui déverrouillent une seule et même voiture baptisée Key4All (comprenez “Clef pour tous”). Le hic ? Personne ne sait où se trouve ladite voiture… et tous les participants possèdent des clefs identiques.

Telle une véritable quête, le collectif ne diffuse que quelques indices via une hotline mais ne divulgue aucune information quant au modèle de la voiture hormis qu’elle ressemble à celle que l’on croise tous les jours. Les participants arpentent donc les rues dans l’espoir de dénicher le bolide grâce au porte-clef qui fera apparaître une couleur verte dès qu’ils s’en approcheront. Toutefois, mieux vaudrait être le premier à la trouver car 999 autres personnes seront en capacité de la voler sans laisser de trace.

Derrière cette initiative, MSCHF tient évidemment à faire passer un message engagé et censé critiquer le mode de fonctionnement actuel de la société américaine. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à vous rendre sur le site web dédié Key4All.

source :creapills.com

5 octobre 2022par Manuèle Maniez
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LA FIN DE LA VIGNETTE VERTE D’ASSURANCE AUTO EST ANNONCÉE, VOICI CE QUE ÇA VA CHANGER

Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire annonce que la vignette d’assurance auto – aussi appelée vignette verte – ne devrait plus être obligatoire en 2023. La mesure doit permettre aux assureurs de réaliser des économies, mais aussi de moins polluer.

C’est officiel, la vignette d’assurance auto apposée sur le pare-brise des voitures devrait disparaître en 2023. Aussi appelée vignette verte, cette vignette d’assurance ne devrait en effet plus être obligatoire dans le courant de l’année 2023, selon des déclarations du ministre de l’Économie Bruno Le Maire. Ce dernier a assuré que son ministère et celui de l’Intérieur “travaillaient à la suppression de cette vignette”, lors d’un point presse organisé suite à une réunion de travail avec les représentants des secteurs de l’assurance et des mutuelles.

Déjà répandue dans 18 pays de l’Union européenne, la dématérialisation de la vignette d’assurance auto devrait chaque année éviter l’envoi de 50 millions de documents administratifs aux automobilistes français. Elle est une conséquence de la mise en place du fichier des véhicules assurés, qui permet directement aux forces de l’ordre de disposer d’informations sur les contrats des assurés.

Les Français favorables à cette mesure d’économie

Plutôt favorables à cette suppression de la vignette verte, les assureurs vont dans le sens des Français qui – selon une étude YouGov réalisée pour la néo-assurance Leocare en juin 2021 – souhaitent la dématérialisation à 70%. Selon Christophe Dandois, cofondateur de Leocare, “l’impression, le conditionnement et l’envoi de la carte verte coûte au total 1,36€”.

La disparition de la vignette est aussi écologique

Ce chef d’entreprise assure “qu’au moins 60 millions d’euros” pourraient ainsi être économisés chaque année. Leocare estime par ailleurs que 1 237 tonnes de CO2 sont produites chaque année pour fabriquer et envoyer la petite vignette verte. La suppression de la vignette pourrait enfin faire économiser 35€ aux automobilistes qui oublient de l’apposer ou de la remplacer chaque année, en cas de contrôle.

La date exacte de fin de l’obligation d’avoir une vignette d’assurance auto sur son pare-brise n’est pas connue à l’heure où nous écrivons ces lignes.

3 questions sur la fin de la vignette auto

Pour quand est prévue la fin de la vignette verte d’assurance auto ?

Aucune date précise n’est donnée par le gouvernement pour la fin de l’obligation d’apposer la vignette d’assurance sur le pare-brise de chaque voiture. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire assure toutefois que cette mesure devrait prendre effet dans le courant de l’année 2023.

Est-elle obligatoire ?

Malgré la mise en place en 2019 d’un fichier des véhicules assurés que les policiers et gendarmes peuvent consulter, oui, la vignette d’assurance auto reste obligatoire. Cette petite vignette verte transmise par les assureurs à chaque automobiliste assuré doit être apposée sur le pare-brise de la voiture liée au contrat souscrit. La non-apposition de ce certificat d’assurance ou l’apposition d’une vignette périmée sont punies d’une amende de 35€.

Pourquoi va-t-elle disparaître ?

La fin de l’obligation de la vignette d’assurance auto sur le pare-brise des voitures est une mesure d’économie. Elle devrait éviter l’envoi de 50 millions de documents administratifs. Selon des informations de la néo-assurance Leocare, l’arrêt de cette vignette verte devrait permettre d’économiser “au moins 60 millions d’euros”, puisque le coût de fabrication, de conditionnement et d’envoi de chaque vignette est estimé à 1,36€. Leocare assure également que 1 237 tonnes de CO2 sont produites chaque année pour fabriquer et envoyer la vignette d’assurance auto aux assurés.

Source : https://www.autonews.fr

28 septembre 2022par Flora LEMBLE
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RETOUR AU TRAVAIL: 5 CONSEILS POUR ÊTRE PLUS ZEN EN VOITURE

La fin de l’été rime inévitablement avec le retour à la routine ainsi que le retour des voitures sur la route qui causent des bouchons de circulation aux heures de pointe. 

Pour traverser ces périodes d’achalandage en toute zénitude, il est possible d’adopter de bonnes habitudes de conduite.

Voici 5 conseils pour être plus zen au volant au retour des vacances:

 

1. Planifier vos déplacements

Vérifier l’état de la circulation avant de partir peut vous éviter bien des mauvaises surprises et du stress. Y a-t-il des travaux prévus sur votre trajet habituel? Si oui, un autre chemin serait-il à privilégier? Cette petite vérification pourrait vous faire économiser de précieuses minutes.

2. Écouter de la musique

De nombreuses études prouvent que le fait d’écouter de la musique réduit considérablement le stress. En effet, selon l’étude du professeur Levitin (McGill) et de la chercheuse postdoctorale, Mona Lisa Chanda, «l’écoute et la pratique de la musique réduisent le taux de cortisol (l’hormone du stress) dans l’organisme.» Dans cette optique, choisissez un style de musique qui créera un climat de détente en voiture!

3. Effectuer des exercices de respiration

Respirez par le nez! Commencez par remplir vos poumons profondément, maintenez quelques secondes, puis expulsez l’air complètement. Le simple fait de vous concentrer sur votre respiration permet d’équilibrer votre système nerveux.

4. S’instruire avec des balados et des livres audio

Vous souhaitez vous détendre et profiter de vos trajets en voiture pour vous instruire? Les balados et les livres audio sont tout indiqués pour vous! Vous pouvez autant apprendre une nouvelle langue que découvrir le parcours d’une personnalité inspirante. En moins de deux, vous serez rendu à destination sans même avoir vu le temps passé!

5. Adapter sa conduite

La vitesse au volant, particulièrement dans les zones scolaires, est un véritable fléau. Pour rester calme derrière le volant, levez le pied, gardez vos distances, restez alerte et adaptez votre conduite à la circulation, à l’état des routes et aux zones que vous traversez. En tout temps, il est primordial de respecter les lois et les règlements applicables, de veiller àa la sécurité des plus vulnérables, et par le fait même, de respecter les limites de vitesse.

source : www.salutbonjour.ca

16 septembre 2022par Manuèle Maniez
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ZFE : un conducteur étranger doit-il acheter une vignette Crit’Air pour rouler en France ?

Lorsqu’un conducteur résidant à l’étranger doit conduire en France avec son véhicule personnel, doit-il arborer une vignette Crit’Air sur son pare-brise pour circuler légalement dans les villes françaises concernées par les zones à faibles émissions (ZFE) et la circulation différenciée ?

Il existe plus de 230 ZFE-m dans toute l’Europe, autrement parfois appelées « Low emission zones ». Sur le routes françaises, la ZFE-m repose sur le système de vignettes Crit’Air numérotées, chacune répondant à un classement, en fonction des émissions polluantes en particules fines et oxydes d’azote de chaque véhicule. Si le conducteur français est désormais rôdé à ces vignettes, sachez qu’un conducteur résidant à l’étranger souhaitant circuler avec son véhicule sur les routes de notre pays, doit lui aussi acheter une vignette Crit’Air pour conduire légalement partout, et donc aussi dans les villes françaises concernées par les ZFE et la circulation différenciée.

Tout le monde dans le même sac

A noter à propos de ces vignettes Crit’Air – décomposées via des codes couleurs différents et un classement « vertueux » croissant, avec des notes comprises entre 0 et 5 (par exemple, le « 0 » étant le plus « vert », est attribué seulement a un véhicule 100% électrique, y compris hydrogène) -, que tous les types de véhicules circulant en France sont soumis à son apposition sur le pare-brise du véhicule (ou fourche, garde-boue, carénage avant droit pour un deux-roues). Plus concrètement, la vignette Crit’Air, aussi appelée pastille Crit’Air ou encore certificat qualité de l’air, fonctionne selon ces critères :

    • Type de véhicule : voiture: voiture, utilitaire léger, moto, scooter, poids lourd…
    • Type d’énergie ou de carburant : électrique, diesel, essence…
    • Norme Euro: Seuil limite d’émissions polluantes d’un véhicule neuf. Les seuils sont régulièrement réévalués. du véhicule ou date de 1ère immatriculation
  •  

Autrement dit, du scooter à la moto, de la voiture de tourisme à l’utilitaire en passant par le poids lourd ou encore le tricycle, chaque véhicule à moteur est soumis à la vignette Crit’Air en France. Rappelons enfin qu’une vignette Crit’Air coûte 3,70€ (envoi postal compris) et qu’elle se commande en ligne sur le site officiel, et uniquement en vous rendant sur cette adresse digitale, des maquignons ayant lancé des sites internet vendant cette vignette nettement plus cher que le prix officiel.

Source : www.automobile-magazine.fr

30 août 2022par Manuèle Maniez
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FUMER AU VOLANT : BIENTÔT INTERDIT EN ÉTÉ ?

De plus en plus de maires souhaitent interdir de fumer au volant durant l’été, en raison du risque d’incendies lié aux canicules.

Depuis quelques semaines, la France subit une très forte vague de chaleur. Une canicule qui se prolonge et qui pose bien évidemment de nombreux problèmes, et notamment la sécheresse. En effet, le manque de pluie assèche les sols mais également les végétaux. Conséquence, ces derniers sont plus sensibles aux feux, et les incendies se sont alors multiplié ces derniers temps. Une véritable catastrophe pour l’environnement, mais également pour les agriculteurs touchés. Dans la plupart des cas, ces feux sont accidentels. Mais ils ne se déclenchent toutefois pas tous seuls et sont généralement provoqués par une intervention humaine, même si celle-ci n’est pas volontaire. On pense bien sûr aux tessons de bouteilles, mais également aux mégots de cigarettes jetés au sol par les automobilistes. Un véritable fléau que veulent stopper certains maires.

 

De nombreuses règles

En effet, de nombreux élus mettent en place des mesures afin d’interdire les automobilistes de fumer au volant. Car pour l’heure, et depuis toujours, cette pratique est tout à fait légale. Il est en effet autoriser de se griller une petite cigarette en conduisant, à condition d’avoir toujours les capacités de réagir en cas de problème. En revanche, il est strictement interdit de fumer en présence d’un mineur sous peine de recevoir une amende de 135 €. Il est également prohibé de jeter sa cigarette par la fenêtre, ce qui équivaut aussi à une peine de 135 €. Celle-ci passe à 3 750 € si cette infraction occasionne des dégâts sur la voie publique. Comme un incendie par exemple. Mais il n’est en aucun cas interdit de fumer, alors que 25 % des fumeurs le font aussi en voiture.

Vers une interdiction totale ?

Néanmoins, certains élus souhaiteraient donc qu’il soit totalement interdit de fumer dans sa voiture, tout du moins durant l’été. Certains ont d’ailleurs déjà pris des arrêtés en ce sens, comme le maire de Saint-Jean d’Illac en Gironde en 2019. D’autres souhaitent aller plus loin. Pascal Parmentelat, le maire de Laveline-du-Houx dans les Vosges a en effet fait appel à un député pour faire une proposition de loi à l’Assemblée Nationale. Reste à savoir si celle-ci aboutira au cours des prochains mois ou années.

source : www.autoplus.fr

23 août 2022par Manuèle Maniez
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UNE CAMPAGNE INSOLITE POUR DISSUADER LES VOITURES THERMIQUES D’OCCUPER LES BORNES DE CHARGE

En Allemagne, la police veut lutter contre les voitures thermiques qui se garent sur les bornes de charge. Pour cela, elle lance une étonnante campagne.

Si vous possédez une voiture électrique ou que vous avez déjà roulé avec un tel véhicule, vous avez probablement déjà dû vous rendre à une borne de recharge. Et quoi de plus irritant que de voir une voiture thermique qui y est stationnée, alors qu’il y a pourtant de la place partout ailleurs et que les bornes sont déjà prises d’assaut ? Malheureusement, cette pratique est très courante. Flemme de marcher alors que les stations de charge sont souvent près de l’entrée des magasins ? Ou simplement militantisme contre les voitures électriques ? Quoi qu’il en soit, c’est toujours une situation très désagréable, contre laquelle les pouvoirs publics ne font à vrai dire pas grand chose. En France tout du moins, car en Allemagne, ce n’est pas vraiment la même chanson, et même la police a décidé de prendre le problème à bras le corps.

 

Une campagne inédite

Sur son compte Twitter, le département de la police de Bavière a en effet publié une étonnante photo, montrant un hélicoptère stationné dans une aire de recharge. Elle explique alors que pratiquer le blocage des bornes, aussi connu sous le nom de ICEing est une nuisance. Elle rappelle également qu’il ne faut s’installer sur celles-ci que lorsque vous avez besoin de recharger votre véhicule. Car il est également fréquent de voir des voitures électriques ou hybrides garées sur des places réservées, alors qu’elles ne sont pas en charge. Le tweet rappelle aussi qu’il est important de libérer la place lorsque la charge est terminée, ce que beaucoup de conducteurs ne font malheureusement pas.

Des pénalités d’occupation

Heureusement pour ceux qui attendent derrière, la plupart des constructeurs ont mis en place un système de pénalité. Concrètement, si vous restez branché trop longtemps après que la charge soit terminée, vous devez vous acquitter d’un montant supplémentaire, en tant que frais d’occupation. Ceux-ci sont alors calculés au kW ou à la minute, et cela peut aller très, très vite. Il est donc recommandé de jeter un oeil régulièrement à son application ou à son véhicule et de le débrancher dès que la charge est finie pour éviter tout problème.

Source : https://www.autoplus.fr
17 août 2022par Flora LEMBLE
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Peut-on laver sa voiture en période de sécheresse ?

La France connaît actuellement des tensions d’approvisionnement en eau qui touchent plus ou moins fortement de nombreux départements. Dans ce contexte de sécheresse, il est évidemment conseillé d’éviter de laver son véhicule. Le point sur ce qui est permis et ce qui ne l’est pas.

Températures élevées et précipitations faibles, le cocktail de l’été 2022 passe mal pour nos réserves d’eau. De nombreux départements se voient ainsi touchés par des épisodes de sécheresse et les potentielles tensions d’approvisionnement en eau associées. Pour prévenir des situations critiques, la France dispose de différents niveaux d’alertes sécheresse activés par les préfets : vigilance, alerte, alerte renforcée, crise. Ces différents seuils deviennent effectifs lors de la publication d’un arrêté préfectoral les mentionnant et inclus des dispositions spécifiques qui concernent le lavage de votre voiture qui doivent être respectées sous peine d’amende.

Le lavage des voitures possible en station sous condition

Interdit dans la rue mais également chez soi, le lavage de sa voiture doit donc se faire en station-service ou station de lavage. Il y reste autorisé en période de sécheresse à condition que l’infrastructure soit équipée d’un lavage à haute pression et / ou d’un système de recyclage de l’eau. Lorsque le seuil d’alerte crise sécheresse est atteint, il devient en revanche interdit, même si la station reste ouverte et en fonctionnement. Les exploitants de stations de lavage ont l’obligation de mettre en place un affichage informant l’interdiction de laver son véhicule, mais s’ils ne le font pas, l’utilisateur peut malgré tout écoper d’une amende de 1 500 €. Seuls les véhicules ayant une obligation sanitaire, technique (bétonnières, matériels agricoles liés aux moissons) ou liée à la sécurité sont autorisés à utiliser les installations. A noter que les municipalités ont également le droit de publier un arrêté au moins aussi restrictif que l’arrêté préfectoral. En d’autres termes, un maire peut interdire le lavage des véhicules dès le déclenchement du seuil ‘vigilance’. Possible chez soi et sur voie publique, le lavage sans eau reste donc la solution à privilégier en cette période de sécheresse.

Quels départements concernés ?

A date de publication de cet article, la carte ci-dessous vous permet de savoir si votre département est concerné par le seuil d’alerte ‘crise’ qui interdit de laver sa voiture (le  lavage sans eau reste possible). Cette carte est disponible sur le site ici sur le site Propluvia.

Source : https://www.largus.fr

3 août 2022par Flora LEMBLE
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Cette voiture électrique « mange » le CO2 sur son passage

Elle s’appelle Zem et a été conçue par une équipe d’étudiants néerlandais. Son secret ? Des filtres spéciaux qui piègent les gaz à effet de serre.

Rouler neutre. Imaginez une auto qui ne se contente pas de rouler proprement, mais qui veille rigoureusement à sa neutralité carbone. Eh bien, elle n’existe pas encore mais un prototype du genre vient d’être réalisé. L’objet est l’œuvre d’une équipe d’étudiants de l’Université de technologie d’Eindhoven et s’avère capable de stocker et éliminer le dioxyde de carbone partout où il passe. Une prouesse.

Zem vous aime. Baptisé Zem, ce prototype de véhicule électrique affiche une conception vertueuse à tous les étages. Ainsi, il est fabriqué à partir de plastiques recyclés et de matériaux durables comme le cuir d’ananas. L’électronique, de son côté, est modulaire et réutilisable tandis que les panneaux de carrosserie sont imprimés en 3D pour réduire les déchets et produire le moins d’émissions de CO2 possible.

Sous le capot, c’est tout aussi sobre. La Zem est électrique et s’appuie sur neuf batteries modulaires de 2,3 kilowattheures et un moteur de 22 kilowatts. Mentionnons également la présence du freinage régénératif et de cellules photovoltaïques sur les surfaces supérieures pour augmenter l’autonomie.

Aspirateur sur roues. Mais ce qui nous intéresse le plus dans la Zem se cache derrière la grille avant. Ici, on trouve une technologie de capture directe de gaz – que les étudiants cherchent à breveter – nettoyant l’air sur le passage du véhicule. Selon l’équipe, il est possible d’éliminer jusqu’à 2 kilos de CO2 par tranche de 20 000 kilomètres – parcourus à une vitesse de 60 km/h environ. Si le chiffre n’est pas épatant en soi, il le deviendrait si cette technologie était installée dans le milliard de voitures en circulation dans le monde et pourrait impacter profondément les efforts de décarbonisation. Un modèle à suivre ?

Source : https://detours.canal.fr

3 août 2022par Flora LEMBLE
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Ce robot réserve une place de stationnement puis recharge votre voiture électrique

EV Safe Charge a développé un robot-chargeur pour véhicules électriques qui joue également les valets de parking. Une solution qui résout plusieurs inconvénients liés aux stations de charge fixes.

Le déploiement d’un réseau de points de recharge suffisamment dense pour faire face à l’avènement de la voiture électrique est l’un des défis majeurs que doivent relever les gouvernements, notamment celui de la France. Selon les derniers chiffres du baromètre commun au Ministère de la Transition énergétique et à l’Avere-France, notre pays dispose de 64 546 points de recharge. Rappelons que l’objectif initial du gouvernement était de 100 000 points de charge ouverts au public d’ici à fin 2021 et de 700 000 à l’horizon 2030.

Pour compléter et densifier ce maillage, l’une des solutions pourrait venir de stations mobiles robotisées, capables de se déplacer pour recharger une voiture électrique lorsqu’elle se stationne sur une place conventionnelle. C’est en tout cas l’idée portée par EV Safe Charge, une jeune pousse basée à Los Angeles (Etats-Unis), qui a développé un robot-chargeur mobile qui se déplace dans les parcs de stationnement pour réserver un emplacement puis recharger la voiture de son « client ».

Pas besoin de libérer l’emplacement une fois la recharge terminée

Le principe est assez simple : le conducteur réserve sa place de stationnement avec une recharge via une application mobile ou le système d’infodivertissement de sa voiture électrique. Le robot, surnommé Ziggy, va prendre position sur l’emplacement afin de le réserver. Il libère le passage au moment où l’utilisateur arrive. Ce dernier scanne un code QR pour valider la commande et n’a plus qu’à brancher la prise de recharge. Une fois le « plein » effectué, le propriétaire, ou bien un opérateur travaillant dans le parking, vient débrancher la voiture afin que Ziggy puisse retourner à sa base.

Le robot est équipé d’une batterie lithium-ion capable de délivrer 19,2 kWh, d’un GPS, d’une caméra, d’un lidar, d’un microphone et de haut-parleurs. Son gabarit d’armoire roulante lui permet de se faufiler dans les allées et de manœuvrer avec un rayon de braquage très court. L’entreprise a même prévu d’intégrer des écrans sur les panneaux latéraux afin d’afficher des publicités. Les premières versions du robot seront pilotées à distance par un opérateur humain.

Le système présente de nombreux avantages par rapport à un point de recharge fixe. Pour commencer, l’usager n’a plus à s’inquiéter de savoir s’il trouvera un emplacement libre une fois arrivé sur site. Ensuite, il n’aura pas besoin de déplacer sa voiture une fois la recharge achevée et pourra donc profiter du stationnement tant que nécessaire. Pour les exploitants de parking, la recharge mobile évite d’avoir à dédier des places à des points de recharge et d’effectuer des travaux.

EV Safe Charge prévoit de proposer son robot Ziggy aux parkings, bureaux, hôtels, centres commerciaux et de divertissement et aux propriétés résidentielles. Si tout se déroule comme prévu, la production du robot-chargeur doit débuter en 2023.

Source : https://www.futura-sciences.com

27 juillet 2022par Flora LEMBLE
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La fin des retraits de points pour les petits excès de vitesse approche

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a confirmé que le retrait de points pour de petits excès de vitesse, spécificité français en Europe, n’était pas logique. Cette politique devrait prendre fin en 2023.

Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, l’a rappelé très justement à nos confrères du Progrès dans une longue interview abordant de nombreux thèmes : la France est le seul pays d’Europe qui retire un point sur le permis de conduire au moindre excès de vitesse, aussi mineur soit-il. Mais jusqu’ici, le gouvernement est resté figé, refusant de modifier la loi en ce sens. Ce qui, ces derniers temps, eut le don d’agacer de nombreuses associations, à commencer par la Ligue de défense des conducteurs. « Sur les 12,5 millions d’infractions constatées par des radars automatiques en 2020, 58 % concernent des « excès » de 1 à 5 km/h (sachant que dans 95 % des cas, ceux-ci sont inférieurs à 20 km/h« , précisait-elle en avril. En fait, la très large majorité des excès de vitesse relevés en France sont de moins de 20 km/h. Mais pour les gens qui roulent beaucoup, souvent par obligation, l’accumulation des petits excès met en péril même la validité du permis de conduire. Et cela devrait changer.

La fin des retraits de points en 2023 ?

Gérald Darmanin s’est montré plutôt clair sur le sujet : « ils (les petits excès de moins de 5 km/h) sont certes dangereux mais souvent involontaires et représentent plus de 50 % des points perdus. La France est le seul pays d’Europe à retirer un point dès le premier km/h. La réflexion se poursuit donc pour ne plus retirer ces points tout en maintenant l’amende ».

Et au ministre de citer « ceux qui prennent la route, les ouvriers, les employés, pour aller travailler ont proportionnellement plus de risques de perdre des points à cause de petits excès de vitesse« . L’intéressé rappelle que pour bon nombre de Français, l’automobile n’est pas un choix mais une obligation face à l’absence de transports en commun. Il termine par confirmer que ces « dispositions pourraient entrer en vigueur en 2023« , non sans un travail commun avec les associations de Sécurité Routière. Ceci confirmerait alors les informations de l’AFP à la fin du printemps. La perte de points « bêtes » pour de petits excès de vitesse pourrait donc bel et bien prendre fin en France.

Mais puisqu’il est bon de recevoir après avoir donné, le ministre explique que l’amende pour fraude au points sur le permis serait « portée à 3750 €, contre une amende moyenne de 339 € aujourd’hui. Rappelons qu’il existe effectivement un véritable trafic de points avec des personnes vendant les points d’automobilistes ayant un permis valide, mais ne conduisant plus du tout.

Source : www.automobile-magazine.fr

20 juillet 2022par Manuèle Maniez
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CHANGEMENTS DE VOIES, DIFFÉRENCES DE VITESSE… VOICI COMMENT SE FORMENT LES BOUCHONS SUR L’AUTOROUTE

Dans un podcast, Vinci Autoroutes pose quelques questions à l’un de ses employés, Thierry Mauduit, qui explique la formation des bouchons sur l’autoroute. La question est particulièrement pertinente en pleine période de départs en vacances. Et nous permet d’en savoir plus sur les moyens employés par Vinci pour réduire les embouteillages et autres ralentissements.

Chaque année, c’est la même chose. Au mois de juillet et au mois d’août, les bouchons se multiplient sur les grands axes routiers à destination des régions prisées des vacanciers. Comme l’indiquent les prévisions de Bison Futé, certaines journées sont même placées en vigilance noire, signe d’une circulation extrêmement difficile. Alors, les embouteillages sur l’autoroute sont-ils inéluctables en période de grands départs en vacances ? Comment Vinci Autoroutes procède pour les éviter ?

Dans son podcast Question d’Autoroute, le gestionnaire d’autoroutes Vinci interroge à ce sujet Thierry Mauduit, l’un de ses chargés de missions Exploitation Sécurité. “Un bouchon peut se former sans événement de par un trafic trop important sur les voies de circulation”, assure ce dernier. L’affluence importante en période de départs en vacances semble donc propre à la formation de gros ralentissements. “Plus le nombre de véhicules augmente, plus la capacité de la route atteint sa limite”. Thierry Mauduit prend notamment l’exemple de l’entonnoir :

“Dans un entonnoir, on verse un fluide avec un débit plus ou moins important. On s’aperçoit que plus le débit est important dans cet entonnoir, plus sa capacité d’écoulement devient compliquée.”

Ralentir pour ne pas se retrouver bloqué

Photo d'illustration
Photo d’illustrationCredit Photo – Yayimages

Toujours selon Thierry Mauduit, afin d’empêcher que des bouchons ne se créent, Vinci Autoroutes met certains moyens en œuvre. Par exemple, le gestionnaire d’autoroutes peut “limiter la vitesse maximale de circulation”. Cela peut paraître étrange de prime abord, mais d’après l’invité du podcast Question d’Autoroute, cela permet “d’éviter les différences de vitesse sur chaque voie de circulation”. Et ainsi “d’écouler plus facilement le trafic en limitant les freinages ou changement de voie intempestifs”.

Si la formation des embouteillages est difficile à prévoir avec certitude, une chose est sûre : changer de voie pour éviter de se retrouver empêtré dans un bouchon ne “sert à rien” selon Vinci Autoroutes. Ce type de comportement serait même “à l’origine de certains bouchons” selon la société.

En bref

Sur l’autoroute, un bouchon peut vite se former. Surtout en plein été, où les départs en vacances sont bien plus nombreux que d’habitude. Dans un podcast, Vinci Autoroutes explique comment les embouteillages se créent, et évoque les moyens mis en oeuvre pour les éviter.

Source : www.autonews.fr

12 juillet 2022par Manuèle Maniez
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Pourquoi la recharge sans câble est cruciale pour la voiture électrique

La recharge des voitures électriques sans fil n’est pas encore une technologie au point. Cependant, son potentiel pousse certaines entreprises à miser dessus.

C’est le cas de WiTricity, un des leaders du secteur, qui travaille dessus depuis plusieurs années. L’entreprise venant du MIT a promis un réseau de recharge par induction dès cette année. La jeune firme a même vu Siemens s’intéresser à son idée et investir à ce sujet.

La recharge sans fil est déjà en développement depuis plus de dix ans. À cette époque, Renault et Qualcomm avaient testé les premiers prototypes de cette technologie.

Une recharge sans fil simple à installer

Et si WiTricity a poussé pour son développement, c’est parce qu’elle pourrait révolutionner la voiture électrique. Le système fonctionne par un dispositif en deux parties.

Une plaque s’installe dans le garage ou sur le parking, là où la voiture se gare. Il est important de la placer de manière à pouvoir l’aligner avec l’autre partie du système.

Cette autre partie s’installe quant à elle sous la voiture. Le fait de les aligner permet ensuite un transfert d’énergie via un champ électromagnétique.

De plus, un signal permet d’aligner à la perfection, automatiquement ou non, la voiture sur la plaque. De là, il est possible d’avoir jusqu’à 11 kW de puissance de recharge.

« Une voiture à autonomie infinie »

WiTricity mise sur la recharge sans fil, car cette technologie changerait le quotidien des propriétaires de voiture électrique. Le fait de ne pas avoir à s’occuper de la recharge chez soi allègerait, selon l’entreprise, les contraintes.

« Au bout du compte, la voiture donnera l’impression d’être une voiture à autonomie infinie », note Alex Gruzen. Le PDG de WiTricity poursuit en expliquant la facilité d’utilisation du système pour les propriétaires. « Ils la conduisent, ils la garent, ils n’ont jamais rien à faire. »

L’inconvénient est pour le moment le coût de ce type de système, qui nécessite le double d’installation. L’autre inconvénient est l’obligation de garer son véhicule toujours au même endroit.

La simplicité d’utilisation reste un argument convaincant, si l’on en croit le nombre de constructeurs qui y travaillent. BMW et Mercedes, mais aussi Nissan, cherchent à en développer leur version.

BMW en a d’ailleurs testé une version via un programme pilote avec sa Série 5 PHEV. Genesis l’offrira avec son futur GV60, et Hyundai et Kia pourraient l’intégrer à la plateforme E-GMP de l’EV6 et de la Ioniq 5 à l’avenir.

Source : www.automobile-propre.com

28 juin 2022par Manuèle Maniez
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Voitures électriques : l’Europe veut des bornes de recharge tous les 60 kilomètres

Les ministres des Transports de l’Union européenne sont parvenus à un accord sur le déploiement des bornes de recharge électrique, avec des objectifs contraignants par Etat.

La ministre française, Amélie de Montchalin, a bien résumé le problème à son arrivée à Luxembourg, jeudi, à la réunion des ministres des Transports européens : « On ne peut pas demander aux Européens de changer pour un véhicule électrique s’ils n’ont pas la certitude de pouvoir recharger, avec une bonne répartition des bornes ».

A l’issue de mois d’intenses discussions dans le cadre du paquet climat « Fit for 55 » , les Vingt-sept sont parvenus à l’issue de ce conseil à un accord sur un futur règlement fixant des objectifs contraignants aux Etats membres pour, enfin, déployer un réseau de bornes publiques à la hauteur de l’électrification en cours du parc automobile.

Exigences de couverture géographique

Pour la recharge des véhicules légers électriques, les exigences de puissance à fournir dépendront de la taille de la flotte immatriculée, à raison d’au moins 1 kW par véhicule électrique sur le territoire, précise le texte. Des exigences de couvertures sont aussi posées, avec l’ambition d’une station publique tous les 60 kilomètres sur le réseau transeuropéen de transport (RTE-T) d’ici à 2025 (avec au moins une borne ultrarapide, de puissance supérieure à 150 kW).

L’objectif est d’avoir couvert le réseau principal d’ici à fin 2025, puis la totalité en 2030, en y assurant une « interopérabilité totale » et des infrastructures « faciles d’utilisation ». L’Europe part de loin. Dans un rapport de mai 2021, la Cour des comptes européenne pointe que « parcourir l’UE au volant d’un véhicule électrique reste compliqué ».

« La disponibilité des bornes varie d’un pays à l’autre, les systèmes de paiement ne sont pas harmonisés […] et les informations accessibles aux consommateurs ne sont pas suffisantes », ajoute-t-elle. La situation s’est légèrement améliorée depuis, mais reste insuffisante.

Par souci de réalisme et d’efficacité, ces obligations seront moindres et modulables dans les zones à faible et très faible trafic. Un délai est en outre laissé pour les bornes dédiées aux poids lourds électriques (un marché technologiquement moins mûr que celui des véhicules légers), qui devront se déployer entre 2025 et 2030, « en encourageant une logique de corridor ». Le même calendrier a été retenu pour les points de ravitaillement en hydrogène.

Ambitions jugées insuffisantes

« Cette proposition joue un rôle important pour accélérer le déploiement de ces infrastructures afin de ne pas freiner le recours aux véhicules et d’initier un cercle vertueux », se félicite la présidence française du Conseil de l’UE.

Il n’est toutefois pas sûr que les constructeurs trouvent ces dispositions suffisantes. Depuis des mois, leur lobby européen, l’ACEA, alerte sur le manque de volonté des Etats membres à déployer le réseau nécessaire. Fin mars, dans une nouvelle étude confiée au cabinet Mc Kinsey , il a estimé que l’Europe aurait besoin de 6,8 millions points de recharge d’ici à 2030 si elle veut tenir l’objectif de réduire de 55 % les émissions polluantes des voitures.

Adoption d’ici à la fin de l’année

« C’est presque deux fois plus que ce que la Commission propose avec son règlement », souligne l’étude, qui appelle à installer 14.000 points de recharge par semaine à travers le continent, contre un rythme actuel d’environ 2.000. Dans le « Green deal », la Commission a fixé un premier objectif d’un million de bornes en 2025.

L’UFE (Union Française de l’électricité) avait elle aussi jugé les ambitions de Bruxelles insuffisantes, estimant qu’il était nécessaire de doubler les objectifs, au moins à horizon 2030.

Le projet de règlement devrait encore évoluer. Il est actuellement à l’étude au Parlement européen, qui ambitionne d’adopter sa version du texte à la séance plénière de septembre. Un tel calendrier laisserait espérer une adoption définitive, après ultimes tractations entre le Conseil et le Parlement, d’ici à la fin de l’année.

Source : https://www.lesechos.fr

22 juin 2022par Flora LEMBLE
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Peut-on vraiment voyager en voiture électrique ? Possible, mais mieux vaut bien se préparer…

Effectuer de longues distances au volant d’un véhicule électrique nécessite de bien repérer au préalable les différentes stations de recharge

Partir en vacances en voiture électrique, c’est possible : un périple de 900 kilomètres entre la France et la Belgique montre que les bornes de recharge sont bien là, mais qu’il est impératif de préparer son trajet pour éviter la panne sèche, tant le réseau reste embryonnaire par rapport aux stations-service traditionnelles.

Le voyage effectué par une équipe de journalistes illustre le titanesque défi financier et industriel auquel l’Europe fait face alors qu’elle veut interdire la vente de véhicules à essence ou diesel d’ici 13 ans. Au départ de Paris, pas de problème dans les bouchons de l’agglomération parisienne : la batterie peut tenir des heures à ce rythme. Mais en arrivant sur l’autoroute, l’électrique dévoile un de ses principaux défauts : l’autonomie passe de 250 kilomètres à moins de 100, en bien moins de temps qu’il ne faut pour les parcourir.

La peur de la panne

Après une première recharge, on arrive avec la jauge à zéro sur l’aire de Verdun (Meuse). Pour une dizaine d’euros, on remplit la batterie à 80 %, les derniers 20 % étant plus lents. Il est essentiel d’anticiper son parcours en fonction de la voiture et de la température extérieure, la batterie se déchargeant plus vite en hiver. Pour atteindre la Belgique, il faudra charger quatre fois, pendant une trentaine de minutes à chaque pause.

« La recharge en itinérance est essentielle dans l’esprit des gens pour passer à l’électrique », souligne Cécile Goubet, de l’Avere, l’organisation des professionnels du véhicule électrique. Tesla l’avait bien compris, en lançant à ses frais des stations de recharge en parallèle de ses berlines, des stations qui comptent aujourd’hui jusqu’à 40 bornes individuelles chacune, bien plus que les stations concurrentes.

Lorsque l’on quitte l’autoroute pour passer en Belgique, via les départementales, la consommation baisse, comme la peur de la panne. De nombreux chargeurs de moyenne puissance sont disponibles. La nuit tombe alors que Bruxelles approche : il faut maintenant trouver un hôtel ou un logement où recharger ses batteries, histoire de repartir avec 100 % d’autonomie. L’offre se limite encore à des hôtels plutôt huppés ou à quelques Airbnb.

La France en retard

Sur l’aire de Nazareth, près de Gand, des Hollandais enhardis par la performance de leur réseau de bornes s’arrêtent pour une première charge rapide sur le chemin de la France. « Le problème, c’est qu’entre la Belgique et l’Espagne, il y a la France », plaisante Frank Berg, 55 ans, qui se rend en Espagne avec sa femme Olga. Par rapport aux Pays-Bas, ou à l’Allemagne, le réseau de recharge rapide français est encore bien incomplet. Après l’échec du réseau Corri-Door, lancé en 2015 par des filiales d’EDF et Engie, des opérateurs comme Ionity, TotalEnergies ou FastNed prennent le relais.

Par décret, toutes les aires d’autoroute françaises doivent être équipées d’ici la fin de l’année. Après des années d’hésitation, « il y a beaucoup d’enthousiasme autour de ce business model », confirme Florian Nägele, du cabinet McKinsey. Des géants nationaux et européens devraient se consolider dans les prochaines années, prévoit l’expert du secteur. Isabelle Inder, 34 ans, fait aussi le voyage vers la Champagne avec sa compagne Antalaya. Elles ont choisi récemment un petit SUV de la marque chinoise MG, qui affiche environ 300 km d’autonomie « pour protéger l’environnement », et pour balader leur gros chien.

Pas assez de bornes

« On recharge par petits coups chaque fois qu’on s’arrête. Ce n’est pas si compliqué, et c’est pas mal non plus de prendre une pause toutes les heures et demie », explique Isabelle. « Il faut planifier son voyage, mais parfois les apps ne sont pas à jour et la borne ne fonctionne pas ». On en fait l’amère expérience sur l’autoroute Lille-Paris : alors qu’il reste 60 kilomètres à parcourir, une station de recharge est fermée pour travaux, on rate une sortie pour la suivante, et on se retrouve quasiment à zéro sur une station… où la charge rapide ne fonctionne pas.

300 000 bornes lentes (+30% sur un an) et 50 000 rapides (+30% aussi) ont été installées en Europe en 2021, selon l’Agence internationale de l’énergie. L’Allemagne, le Royaume-Uni, la Norvège ou la France ont notamment redoublé d’efforts au cours des derniers mois. Mais cette augmentation de 30 % sur un an reste insuffisante face à l’explosion prévue du marché des voitures électriques. Il faudrait un réseau de 6,8 millions de chargeurs d’ici 2030, soit une installation de 14 000 chargeurs par semaine, pour répondre aux besoins, selon l’association européenne des constructeurs d’automobiles.

Source : www.sudouest.fr

8 juin 2022par Manuèle Maniez
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Excès de vitesse : quelle est la marge d’erreur des voitures-radar privées ?

Les voitures radar conduites par des chauffeurs privés, tissent leur toile depuis quatre ans dans notre pays. Mais saviez-vous que les radars embarqués qui traquent les excès de vitesse depuis ces véhicules, fonctionnent eux aussi avec une marge de tolérance, également appelée marge d’erreur ? On vous explique.

Une affaire de pourcentages

A l’instar des cabines de radars fixes et des radars mobiles, embarqués ou débarqués, des forces de l’ordre, les radars qu’on trouve dans les véhicules privatisés et banalisés conduits par des chauffeurs privés, sont désormais déployés dans la plupart des régions françaises et sur tous les types de réseaux (autoroutes, routes nationales, départementales ou communales). Ces voitures fonctionnent dès lors qu’un excès de vitesse est effectif, avec une marge d’erreur dite aussi marge de tolérance. Autrement dit, une marge en faveur du conducteur et qui soustrait des km/h ou un pourcentage de la vitesse réelle (celle dans le véhicule du conducteur contrôlé au moment des faits) pour établir une vitesse retenue a priori incontestable pour l’auteur de l’infraction sur la vitesse.

Forces de l’ordre ou chauffeurs privés même combat

Concrètement, jusqu’à la vitesse de 100 km/h, les radars embarqués des voitures-radar privées (qui détectent, sans flash visible et toujours en roulant les excès de vitesse), fonctionnent avec une marge d’erreur de 10 km/h, au bénéfice du conducteur, tandis qu’au-delà de cette vitesse, la marge de tolérance pour le conducteur s’applique en pourcentage, en l’espèce une marge de 10%. A noter que ces marges sont strictement les mêmes dans le cas d’un radar mobile embarqué en mouvement des forces de l’ordre, alors que les cabines de radar fixe sont moins généreuses en la matière tout comme les cinémomètres à poste fixe. Rappelons enfin que ce sont environ 450 voitures-radar privées qui devraient sillonner les routes de notre territoire d’ici l’année prochaine.

Lire aussi : la marge de tolérance des radars fixes

Le tableau des marges d’erreurs et de tolérance des voitures radar privées (liste non exhaustive)

Vitesse limitée à Marge de tolérance appliquée PV pour excès de vitesse à partir de (vitesse du véhicule contrôlé au moment du flash)
50 km/h 10 km/h 61 km/h (vitesse retenue sur le PV : 51 km/h)
70 km/h 10 km/h 81 km/h (vitesse retenue sur le PV : 71 km/h)
80 km/h 10 km/h 91 km/h (vitesse retenue sur le PV : 81 km/h)
90 km/h 10 km/h 101 km/h (vitesse retenue sur le PV : 91 km/h)
110 km/h 10% 122 km/h (vitesse retenue sur le PV : 111 km/h)
130 km/h 10% 144 km/h (vitesse retenue sur le PV : 131 km/h)

Source : www.automobile-magazine.fr

1 juin 2022par Manuèle Maniez
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Radar Nano homologué : le super radar 3D aux super pouvoirs

Ne vous fiez pas à son nom, bien que peu encombrant, le cinémomètre Nano abrite en son sein une technologie redoutable. Un radar d’un nouveau genre, impitoyable, et qui vient d’être homologué en France.

L’homologation récente du cinémomètre Nano, crée un précédent dans notre pays. En effet, ce radar, qui sera installé dans un premier temps uniquement pour mesurer la vitesse des véhicules et seulement dans des radars double face, dispose de super pouvoirs. Explications.

Un vrai chasseur

Le Nano a nécessité six ans de travail de la part de l’entreprise Pariflex qui l’a mis au point et fait homologuer. Cet appareil, qui utilise la technologie LIDAR 3D (une homologation avec cette techno est une première mondiale), est doté de différents lasers à « balayage », permettant de mesurer la vitesse tout en modélisant l’espace en trois dimensions, rapporte le site spécialisé radars-auto.com. Autrement dit, sur une centaine de mètres, chaque véhicule/objet se trouvant dans son champ d’action est repéré, identifié et suivi séparément ! Plus clairement, cela signifie que cette technologie est parfaitement capable de faire le tri dans le flot de la circulation en identifiant et flashant en temps réel différents types de véhicules selon la vitesse autorisée pour chacun d’eux. En outre, le Nano se règle automatiquement et donc sans aucune intervention manuelle.

Radar évolutif

Si, on l’a dit, ce nouveau radar n’est prévu dans un premier temps que pour intégrer les cabines dites double face, il devrait ensuite apparaître dans les radars urbains actuellement en tests à différents points du territoire français et ainsi s’attaquer aux franchissements de feux rouge. Appareil dit évolutif, le Nano pourra aussi sans doute, à terme, verbaliser d’innombrables infractions autres que la vitesse en même temps, telles que « le non-respect des distances de sécurité, la circulation à contre-sens, le non respect du stop, le franchissement de bande blanche, etc. » rapporte enfin radars-auto.com.

Source : www.automobile-magazine.fr

24 mai 2022par Manuèle Maniez
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Cette vertu essentielle de la voiture électrique dont plus personne ne parle

La voiture électrique ne pollue pas à l’usage, nécessite moins d’entretien et l’électricité coûte moins cher que l’essence à distance égale. Mais elle a une autre qualité qui change la vie…

Vous vous souvenez du premier confinement ? Cette époque un peu surréaliste où, tous claquemurés, les citadins redécouvraient (ou découvraient) ébahis le silence à peine perturbé ici et là par le chant des petits oiseaux et les applaudissements de 20 heures pour les soignants ?

Vous vous rappelez ce calme presque oppressant qui régnait sur nos villes ? Ce calme qui nous faisait alors réaliser ce que nous supposions jusqu’alors sans vraiment en avoir conscience : le bruit de nos sociétés modernes est principalement émis par la circulation routière. Et donc par les moteurs thermiques, que ce soient ceux des voitures, des véhicules utilitaires ou des deux roues motorisés. Et aussi des avions, dans une moindre mesure, puisque ce dernier n’est pas continu, sauf à habiter au pied d’un aéroport.

Les moteurs ? Pas seulement, bien entendu. Un véhicule en mouvement émet d’autres nuisances sonores, qu’elles proviennent du roulement, de divers frottements, ou de l’aérodynamique. Mais la somme du bruit émis par les moteurs est certainement supérieure à la somme de tous les autres, même si les voitures récentes sont de plus en plus silencieuses.

Plus de bagnoles, plus de bruit. Ce fut radical.

Vous me voyez venir… Non, les voitures électriques ne sont pas totalement silencieuses, oui elles émettent encore quelques décibels, et quand elles n’en émettent pas, on les force à en émettre avec l’AVAS pour ne pas créer un génocide routier dans des armées de piétons devenus récemment sourds et aveugles. Mais les voitures électriques sont beaucoup plus silencieuses que les voitures thermiques, en tout cas jusqu’à une certaine vitesse, et donc principalement là où cela pose problème, c’est-à-dire en ville.

Et pourtant, quand on parle électrique, le silence – même s’il est évoqué, jusque dans les publicités, et parfois de façon un peu tendancieuse – n’est plus le premier argument qui vient dans les conversations. On parle écologie, zéro émission, coût d’utilisation et d’entretien, particules fines, poids, autonomie, mais rarement pollution sonore. Et pourtant, c’est probablement le seul argument qui soit imparable et incontestable. Les anti-VE pourront toujours opposer avec leur mauvaise foi habituelle teintée d’ignorance le fait qu’une voiture électrique « pollue plus qu’une thermique » ou qu’elle ne fait que « déplacer le problème », mais ils ne pourront jamais contester le fait qu’une voiture électrique est plus silencieuse. Car justement, c’est un fait. Et le bruit qui n’est pas émis dans nos rues n’est pas déporté dans des mines en Afrique ou en Chine.

La pollution sonore, cet ennemi insidieux

C’est un sujet sous-estimé, dont on parle assez peu au final, mais la pollution sonore est un fléau insidieux qui détériore la qualité de vie et peut même avoir des conséquences directes sur la santé. Ses conséquences ne se limitent pas à une simple fatigue ou une gêne momentanée. L’ADEME estime par exemple dans une étude récente (PDF) que chaque année, la pollution sonore engendre 155,7 milliards d’euros de coûts sociaux à cause des maladies qu’elle engendre ou la perte de valeur patrimoniale, et qu’en France, 25 millions de personnes sont touchées par les effets de la pollution sonore, dont 9 millions sont surexposées avec des effets chroniques sur la santé. Une étude qui confirme également que le trafic routier est bien la principale source de nuisance. Je sais, les études de l’ADEME valent ce qu’elles valent et sont souvent contestées, mais cela donne quand même une idée du problème, et l’ADEME n’est pas la seule à avoir produit des rapports, qui, quelles qu’en soient les sources, vont généralement tous dans le même sens.

Alors bien sûr, la voiture n’est pas seule responsable de cette pollution des tympans, mais il n’est pas très difficile d’imaginer dans un scénario d’anticipation qu’une grande ville dans laquelle ne circuleraient que des véhicules 100 % électriques (autos, utilitaires, transports en commun, 2 roues) serait débarrassée d’une part écrasante de son bruit, et que le calme qui y régnerait serait certainement très favorable à notre santé mentale collective.

D’ailleurs, le silence ou en tout cas les nuisances sonores réduites que produisent les véhicules électriques ne concernent pas que les citadins ou les riverains. Les occupants du véhicule en profitent également, puisqu’il est désormais acquis qu’à kilométrage et moyenne équivalents, un périple à bord d’une électrique est beaucoup moins fatigant qu’à bord d’une thermique, même réputée silencieuse. L’absence de vibrations dues au combo moteur à explosion plus transmission y est aussi certainement pour quelque chose. C’est la raison pour laquelle nous avons ajouté récemment la mesure de niveau sonore dans nos supertests.

En cela aussi, au-delà des comportements induits, la voiture électrique contribuera certainement à une société plus apaisée, moins agressive.

Source : www.automobile-propre.com

11 mai 2022par Manuèle Maniez
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UNE PLAQUE D’IMMATRICULATION À 8,9 MILLIONS D’EUROS ?

Lors d’une vente aux enchères à Dubaï, une plaque d’immatriculation a été vendue à un prix exorbitant, appelé Most Noble Numbers. Ne vous en faites pas, il s’agit ici d’une somme dans le but de financer des actions caritatives et humanitaires.

Dubaï, un 7 Emirats arabes unis, connu pour sa richesse, le bling-bling, les produits de luxe, ses extravagances. Bref, un pays où tout est démesuré. Le prix de cette plaque d’immatriculation vendue aux enchères ne fait que le confirmer ! Une simple plaque de voiture qui vaut un prix à sept chiffres…

Pourquoi dépenser une fortune pour une plaque d’immatriculation ?

À Dubaï, la plaque d’immatriculation est beaucoup plus importante que ce que l’on croit ! C’est un symbole définissant la classe sociale d’une personne. Plus la plaque est « vide », plus elle coûte chère. Les riches Emiratis ne se contentent pas d’avoir une supercar, mais souhaite également avoir la plaque qui l’accompagne. Cela joue un grand rôle sur leur paraître. On va même jusqu’à évoquer que, dans certaines limites, la plaque a plus d’importance que la voiture elle-même.

8,9 millions d’euros : un prix hors normes pour quelle cause ?

Non, il n’y a pas de zéro en trop ! Mais soyez-en sûrs, cela se justifie par une cause charitable. La plaque AA8 a été vendue aux enchères pendant le Most Noble Numbers. Des numéros (que ce soit un numéro d’immatriculation ou un  numéro de téléphone, etc.)  spéciaux y sont en vente. Et les bénéfices sont collectés dans le but d’offrir des repas à ceux qui sont dans le besoin et d’aider une cinquantaine de pays pauvres. La plaque vendue à ce prix-là est l’une des plaques d’immatriculation les plus chères au monde.

Source : https://www.autoplus.fr

3 mai 2022par Flora LEMBLE
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Bornes de recharge électrique pour voiture : tous les chiffres

Recourir à l’électricité pour remplacer les carburants traditionnels est une pratique écologique.

Rouler à l’électrique réduit en effet les émissions de CO2 causées par les transports et l’impact environnemental des activités humaines.

Depuis quelques années, la part de l’électrique a beaucoup progressé sur tous les marchés automobiles du monde. En France, les prix en baisse et les aides financières incitent de plus en plus de particuliers à acheter une voiture électrique à la place d’un véhicule à moteur essence ou diesel.

Alors, où en est-on exactement aujourd’hui ?

On fait le point sur l’électrique en France et dans le monde, en vous livrant, entre autres, quelques chiffres sur les bornes de recharge pour voiture.

Combien y a-t-il de bornes électriques en France ?

En France en 2021, on recensait plus de 610 000 bornes de recharge électrique en tout.

Ce chiffre comprend à la fois les bornes privées et publiques.

Les bornes à accès public en nette augmentation

Si les bornes privées dominent largement, les bornes publiques augmentent cependant d’année en année.

En 2020, on en comptait environ 32 000, alors que près de 50 000 étaient recensées début 2022.

Rien que sur les 6 premiers mois de l’année 2021, le nombre de bornes a augmenté de plus de 30%.

Par ailleurs, pour les nouvelles installations, on privilégie les bornes à haute puissance (>150 kW) qui sont les mieux adaptées aux dernières innovations du secteur automobile.

Ces bornes high tech permettent une recharge en accéléré. Moins de 20 minutes suffisent pour charger sa batterie électrique avec ce genre d’équipement performant.

Électrique vs. Carburant traditionnel

Avec une fin des moteurs thermiques programmée pour 2035, la France est forcée de s’adapter. En l’occurrence, elle semble le faire plutôt bien.

Actuellement, on estime en effet que l’Hexagone compte quatre fois plus de bornes de recharge électrique que de stations-essence classiques.

Combien tout cela coûte-t-il ?

L’avantage de l’électrique réside dans son bas coût. Alors que les carburants traditionnels coûtent cher – voire très cher -, l’électricité permet de rouler sans se ruiner.

Si les prix peuvent varier suivant les bornes, les opérateurs ou encore les horaires, les prix sont, la plupart du temps, inférieurs à 0,80€/kWh. Rouler à l’électrique a donc le double avantage de faire faire des économies tout en préservant l’environnement.

En rechargeant son véhicule à domicile, il faut compter entre 1,50€ et 2,90€ pour récupérer 100 km d’autonomie. Tentant, n’est-ce pas ? Pour installer une borne de recharge chez vous, comptez environ 1 000€, crédit d’impôt compris.

Pour des travaux en copropriété et en milieu professionnel, les frais sont plus élevés à cause de la configuration des biens immobiliers.

Combien de bornes pour combien de voitures électriques en moyenne ?

En 2019, on comptait approximativement 32 millions de voitures particulières en France. Plus de 200 000 roulaient alors à l’électrique.

En 2020, 185 500 véhicules propres supplémentaires ont été mis en circulation. Et pour 2021, on estime à 300 000 environ le nombre de voitures électriques et hybrides achetées en France.

Au mois de juin 2021, sur l’ensemble des ventes réalisées sur le marché automobile français, plus de 35% concernaient des véhicules fonctionnant à l’électrique ou hybrides. Et rien qu’en décembre de la même année, plus de 20 000 voitures électriques se sont vendues.

Désormais, une voiture sur cinq vendue est donc :

  • soit 100% électrique ;
  • soit hybride.

L’électrique représente un peu moins de 10% du marché automobile français.

Parmi les modèles les plus populaires et les plus plébiscités, on retrouve la Tesla Model 3, la Zoé de Renault ainsi que la Dacia Spring.

Bornes privées vs. Bornes publiques

Comme mentionné plus haut, l’Hexagone abrite donc plus de 600 000 points de recharge électrique.

Moins de 100 000 sont des bornes publiques. 15 000 supplémentaires devraient être installées d’ici 2025.

La majorité des points de recharge se trouve en fait dans des sites non accessibles au public, comme les parkings et garages des particuliers, des entreprises, des copropriétés…

L’État déploie néanmoins les efforts nécessaires pour rendre l’électrique de plus en plus accessible à l’ensemble de la population.

En plus des 15 000 bornes publiques supplémentaires prévues dans les années qui viennent, 500 millions d’euros pour le déploiement des bornes de recharge et la disparition des zones grises de mobilité ont été débloqués fin 2021. Les objectifs sont multiples :

  • Ouvrir de nouvelles bornes publiques, notamment dans les zones rurales ;
  • Installer des bornes supplémentaires dans le privé (copropriétés, parkings…) ;
  • Inciter à ouvrir des bornes semi-publiques chez les spécialistes en automobile ;
  • Favoriser l’électrification des poids lourds.

L’électrique en France : où en est-on par rapport au reste du monde ?

On le voit, la France s’engage dans le domaine de l’électrique et la population semble plutôt encline à revoir ses habitudes de circulation, avec un marché qui grandit d’année en année. La tendance semble la même partout dans le monde.

En 2021, à échelle internationale, plus de 4 millions de voitures électriques et hybrides ont été achetées par des particuliers. La Chine est le plus gros consommateur de véhicules roulant à l’électrique, avec près de 3 millions de ventes réalisées en 2021, pour une croissance estimée à 170%.

Autres bons élèves, la Norvège, les Pays Bas et la Suède. En Norvège, deux nouvelles immatriculations sur trois concernent des véhicules électriques ! Les Pays Bas et la Suède sont d’autres pays modèles dans le recours à l’électrique pour se déplacer.

Si la France ne se trouve pas sur le podium, elle compte toutefois parmi les pays d’Europe les mieux équipés en bornes de recharge.

Plusieurs centaines de milliers de bornes électriques sont en effet disponibles sur l’ensemble du territoire, ce qui représente plus de 20% des bornes de toute l’Europe.

Malgré le fait qu’ils hébergent d’importants constructeurs automobile, les États-Unis et le Japon sont un peu en retard sur l’électrique. Toutefois, aux États-Unis, le marché a explosé ces dernières années.

Au cours du premier semestre 2021, on comptabilise ainsi plus de 255 000 immatriculations de voitures électriques. La Californie pèse lourd dans le succès de l’électrique aux USA. L’État compte 36% des voitures électriques de tout le pays.

Source : www.captain-drive.com

27 avril 2022par Manuèle Maniez
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POLIR SA VOITURE : QUELLE EST LA BONNE MÉTHODE ?

Polir sa voiture consiste a enlever les imperfections de sa carrosserie pour un rendu impeccable. Cependant, il doit être réalisé avec soin.

Le polissage d’un véhicule consiste à éliminer toutes les traces et les rayures superficielles visibles, notamment sur la carrosserie et la peinture. Ces imperfections sont dues le plus souvent au passage d’un chiffon ou d’une éponge lors du nettoyage. Pour les enlever, il faut donc polir la surface du véhicule à l’aide de produits abrasifs et de mousses spéciales communément appelées pads. Il est également possible de polir d’autres parties du véhicule comme les clignotants, les phares, etc.

POUR POLIR, IL FAUT ÊTRE ÉQUIPÉ DES BONS OUTILS

Même s’il vaut mieux confier le polissage de son véhicule à un professionnel, vous pouvez polir vous-même votre voiture, à condition d’être bien équipé. Voici l’arsenal qu’il vous faut : une machine à polir (polisseuse), un disque de rotation, des éponges, des gants, un produit à polir (polish), une raclette et un seau d’eau.

QUELLES SONT LES ÉTAPES POUR POLIR SON VÉHICULE ?

Polir sa voiture n’est pas très compliqué, mais peut devenir long et fastidieux. La première étape est de shampooiner la carrosserie. Cette étape se fait manuellement. Il faut éviter à tout prix les lavages automatiques, ils engendreront d’avantages de rayures et donc plus de travail.

Ne faites pas de mouvements brusques, pour ne pas abîmer la peinture. Ensuite, il faut décontaminer la voiture pour enlever les impuretés. C’est n’est qu’après que vous pourrez prendre la polisseuse pour retirer les imperfections et faire disparaître les rayures.

IL FAUT LUSTRER APRÈS LE POLISSAGE

Une fois l’intervention terminée, il est conseillé de lustrer son véhicule. Cette intervention est essentielle pour assurer la longévité de la peinture d’un véhicule. Autre option, il est aussi conseillé d’appliquer de la cire de protection pour avoir un effet de brillance particulier.

Si jamais vous n’êtes pas sûr de vous, vous pouvez toujours regarder faire Louis de Funès, dans la scène du Corniaud. Sinon, il ne vous reste plus qu’à mettre un petit coup de polish !

Source : https://www.autojournal.fr
19 avril 2022par Flora LEMBLE
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VOITURE ÉLECTRIQUE : DES BORNES DE RECHARGE SUR LES LAMPADAIRES EN FRANCE ?

Une nouvelle technologie permet de brancher sa voiture électrique sur des lampadaires grâce à des chargeurs implantés sur les installations. l’entreprise Ubitricity qui conçoit cette technologie vient de signer un partenariat avec la ville de Berlin. Elle propose aussi un modèle en France.

Nouvelle avancée pour la recharge des véhicules électriques : l’entreprise ubitricity, filiale du groupe anglo-néerlandais Shell, a développé un système de bornes de recharge… à l’intérieur de lampadaire. Déjà installé dans les rues de Londres et d’autres villes du Royaume-Uni, le fabricant a remporté un appel d’offres pour équiper la ville de Berlin, en Allemagne.

 

200 BORNES DE RECHARGE DANS LES LAMPADAIRES PUBLICS

Dans un premier temps, ubitricity installera, en coordination avec le Département de l’environnement du Sénat de Berlin, 200 chargeurs lampadaires dans les quartiers de Steglitz-Zehlendorf et Marzahn-Hellersdorf. Si tout se passe bien, 800 bornes supplémentaires pourront être installées. Elles sont principalement destinées aux automobilistes allemands qui n’ont pas de parking privé pour aménager une borne de recharge à domicile (combien cela coûte-t-il ?).

UNE CAPACITÉ DE RECHARGE DE 3,7 KW

Le chargeur « Heinz » développé par ubitricity a été spécialement conçu pour le marché allemand. Les chargeurs lampadaires utiliseront l’infrastructure déjà existante du réseau d’électricité de Berlin. Les prises sont montées le long de la colonne pour éviter de gêner les piétons sur les trottoirs.

Ces bornes de recharge délivreront une puissance de 3,7 kW à votre véhicule. Un câble de recharge standard suffit donc pour se brancher. L’électricité fournie est produite exclusivement à partir d’énergies renouvelables, indique Shell.

DEUX MOYENS DE PAIEMENT

Pour pouvoir régler la facture d’énergie utilisée pour recharger votre véhicule, vous pouvez procéder de deux manières différentes. Soit vous utilisez le QR Code monté sur le lampadaire pour régler comme un plein d’essence, soit vous disposez d’un abonnement auprès d’un fournisseur de services de mobilité.

UBITRICITY PROPOSE AUSSI UN MODÈLE EN FRANCE !

L’entreprise a conçu aussi un chargeur lampadaire pour le marché français. Nommées « Étoile », ces bornes de recharge fonctionnent sur le même principe que celles en cours d’installation à Berlin. Leur puissance maximale est néanmoins plus importante (5,5 kW). Elles sont proposées aux mairies pour étendre le réseau de charges publiques.

Source : www.autojournal.fr

13 avril 2022par Manuèle Maniez
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À MUNICH, UN PREMIER BUS FONCTIONNANT À L’ÉNERGIE SOLAIRE EST QUASIMENT PRÊT À ÊTRE MIS EN SERVICE

Un bus hybride doté d’un moteur diesel et d’une batterie fonctionnant à l’énergie solaire a été développé par l’entreprise allemande Sono Motors. En partenariat avec la société des transports de Munich, celui-ci pourrait prochainement être utilisé afin de transporter des passagers tout en ayant une faible consommation de carburant et en rejetant moins de CO2.

Il y a quelques temps, Autonews vous parlait de la Sono Sion, ce petit monospace électrique dont la carrosserie renferme des panneaux solaires capables de recharger ses batteries et rehausser son autonomie. Le constructeur de ce véhicule électrique d’un nouveau genre annonce avoir noué un partenariat avec la société des transports de Munich – la MVG – pour installer cette technologie sur certains bus de la capitale bavaroise.

Un premier bus de ville appartenant à l’entreprise qui s’occupe des transports en commun de l’agglomération munichoise a en effet été équipé de vingt panneaux photovoltaïques semi-flexibles, capables de fournir “plus de 2 000 watts” d’énergie à sa batterie et ses différents systèmes électriques, comme la climatisation, le chauffage ou même la direction assistée.

Des économies de carburant et une baisse des rejets de CO2

Ce bus solaire n’est toutefois pas 100% électrique. Son capot renferme toujours un moteur diesel, associé à une batterie 24V. L’énergie solaire est donc utilisée afin d’économiser du carburant.

D’après Sono Motors, cette économie pourrait représenter “jusqu’à 2 500 litres de gazole” et empêcher l’émission de “6,5 tonnes de CO2” par an à l’échelle locale. Avec une flotte de 300 bus, ce sont “2 000 tonnes de CO2” qui ne seraient pas émises chaque année.

Utile pour les bus électriques dans le futur ?

Pour le moment, le bus développé par Sono Motors et la MVG semble encore en développement, mais le constructeur allemand assure qu’il pourrait débarquer sur les routes de Munich “dans un futur proche”. Comme pour la Sion, la technologie solaire pourrait aussi équiper des bus électriques à l’avenir afin de prolonger leur autonomie et réduire le temps passé à les recharger, selon les dires de Laurin Han, la cofondatrice de Sono Motors.

Source : https://www.autonews.fr

6 avril 2022par Manuèle Maniez
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LAVER SA VOITURE ÉLECTRIQUE : QUELLES SONT LES ERREURS À ÉVITER ?

Vous êtes propriétaire d’une voiture électrique et vous vous êtes déjà demandé si elle se lavait de la même façon qu’une thermique ? C’est ce que nous allons voir à travers cet article.

Vous n’êtes sûrement pas sans le savoir, mais l’eau et l’électricité ne font pas bon ménage. L’eau ne fait pas bon ménage avec grand-chose sur une voiture d’ailleurs, sauf si elle reste à la surface des organes importants, que ce soit sur une voiture thermique ou électrique.

 

Si vous êtes en possession d’une voiture électrique, vous vous êtes sans doute déjà demandé s’il était judicieux de passer votre véhicule aux rouleaux ou au jet d’eau.

Peut-on laver sa voiture électrique à l’eau ?

Comme une voiture thermique, il est parfaitement possible de passer une voiture électrique au nettoyage aux rouleaux, au jet d’eau ou bien à la main avec beaucoup d’huile de coude. Tous les éléments importants d’une voiture électrique sont bien évidemment étanches, y compris les câbles de recharge afin de pouvoir faire le plein d’électrons sous la pluie.

En revanche, passer un coup de Kärcher lorsque la voiture est en charge, donc chez vous normalement puisque les stations de lavage ne sont pas collées aux bornes de recharges, n’est pas franchement conseillé, la pression avec laquelle est envoyée l’eau peut causer des infiltrations au niveau de la prise.

Comme une voiture thermique, il n’est pas conseillé, et peut-être encore moins sur une électrique, de laver le compartiment moteur au jet d’eau. Même si les câbles sont censés être étanches, vous n’êtes jamais à l’abri d’un dysfonctionnement. Il est également recommandé d’éviter de laver à haute pression la partie située sous le châssis, généralement là où se trouve le pack batterie.

Pensez également à désactiver les éléments de confort, comme les essuie-glaces automatiques par exemple, au risque de causer un dysfonctionnement. Si vous disposez d’une Wallbox à la maison, éviter de la passer à l’eau également, tout comme vous ne nettoierez pas à l’eau la prise de courant de votre salon.

Pour résumer

  • Ne pas laver sa voiture électrique quand elle est en phase de recharge
  • Désactiver les équipements de confort
  • Ne pas nettoyer le moteur à l’eau et éviter de passer le jet haute pression sous la voiture
  • Ne pas nettoyer la borne de recharge à l’eau

Source : www.autoplus.fr

23 mars 2022par Manuèle Maniez
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Radars ZFE, covoiturage, sonore… Les nouveaux contrôles automatisés

Les contrôles automatisés ne vont plus seulement sanctionner les excès de vitesse. De nouveaux dispositifs vont permettre de contrôler les changements de voies inopinés, le téléphone en main, les véhicules trop bruyants ou encore les occupants d’une voiture. Tour d’horizon des nouveautés.

En matière de contrôle automatisé, la sécurité routière n’est plus la seule voie exploitable : d’autres opportunités sont apparues depuis l’adoption de la Loi d’orientation des mobilités (LOM). Voici quatre projets de dispositifs à partir de la captation des plaques d’immatriculation des véhicules qui sont bien avancés.

A LIRE. Radars. Ce qui vous attend en 2022

Respect des ZFEm

zfe contrôle verbalisation
Les accès aux ZFEm seront contrôlées via des systèmes de vidéo-verbalisation.

Afin d’exclure les véhicules les plus anciens, toutes les grandes agglomérations de plus de 150.000 habitants (d’ici à 2025), rebaptisées métropoles, doivent créer leurs Zones à faibles émissions mobilité où le trafic est interdit ou limité en fonction des pastilles Crit’Air. Comme

  • Métropole d’Aix-Marseille-Provence,
  • Grenoble-Alpes-Métropole,
  • Métropole de Lyon,
  • Montpellier-Méditerranée Métropole,
  • Métropole Nice-Côte d’Azur,
  • Ville de Paris,
  • Métropole du Grand Paris,
  • Métropole Rouen-Normandie,
  • Eurométropole de Strasbourg,
  • Métropole Toulon-Provence-Méditerranée,
  • Toulouse Métropole…

Pour le moment, les seuls contrôles sont visuels par les forces de l’ordre à partir des vignettes Crit’Air sur les pare-brise. Le futur dispositif consistera à relever aux entrées et dans les zones, les plaques d’immatriculation de tous les véhicules en mouvement à l’aide de caméras et de vérifier via le fichier cartes grises si elles ont bien le droit de circuler. Techniquement, rien de plus simple.

 

Radar de covoiturage

Plusieurs dispositifs sont déjà en test en vue de leur homologation : à Grenoble (A48), à Lyon (M6/M7), au péage de l’A14 dans l’ouest parisien, ainsi que sur le Périphérique de la capitale, porte de Montreuil. Le but est de compter automatiquement le nombre de passagers à bord afin de sanctionner les véhicules non autorisés (exception donc faite des taxis, véhicules pour handicapés, etc.) sur les files réservées au covoiturage à partir de leur immatriculation.

radar de covoiturage
Le radar de covoiturage contrôle le nombre d’occupants sur une voie réservée à ce type de déplacement.

Plus facile à dire qu’à faire, surtout pour déceler un enfant à l’arrière derrière une vitre fumée ou ne pas se faire avoir par un animal ou un mannequin, cela de jour comme de nuit et par tous les temps à n’importe quelle vitesse. Ce qui impose à un dispositif techniquement très complexe d’analyse par algorithmes d’une rafale de photos capables de reconstituer l’intérieur de l’habitacle à partir d’infrarouges ! Le système Covitus de Fareco revendique déjà 99% de réussite. Objectif de la ville de Paris : une mise en service pour les Jeux olympiques (26 juillet 2024). Autant dire qu’un tel barda peut aisément contrôler aussi le respect d’une ZFEm.

Radar de bruit

radar de bruit
Le radar de bruit est en expérimentation sur plusieurs sites en France.

La LOM prévoit d’expérimenter des radars acoustiques capables de flasher automatiquement et de verbaliser les véhicules débridés dépassant 90 décibels. Plusieurs dispositifs sont en test pour deux ans dans sept collectivités candidates :

  • Bron (Rhône),
  • Nice métropole,
  • Paris (x 2),
  • Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine),
  • Toulouse métropole,
  • Vallée de Chevreuse (Yvelines),
  • Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne).

L’appareil se compose de deux « méduses », ces modules à quatre micros qui captent les émissions sonores dans toutes les directions, et de deux caméras. Si les tests sont concluants, le feu vert pourrait être donné en 2024, en vue d’un réel déploiement national un an après. Dans le futur, on peut imaginer un dispositif plus sophistiqué comparant automatiquement le niveau sonore avec la donnée figurant sur la carte grise, comme cela se pratique actuellement pour les contrôles manuels.

Contrôle du pesage en marche

L’objectif de ce radar est de vérifier automatiquement le poids des camions et des autocars afin de sanctionner ceux en surcharge. Le dispositif recourt à des capteurs spécifiques installés dans la chaussée, complétés par des systèmes d’identification des silhouettes des véhicules en circulation. Rien de bien compliqué…

Source : www.largus.fr

2 mars 2022par Manuèle Maniez
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1 centime d’euro par km : des Français inventent le train le moins cher du monde

Initié par des étudiants d’écoles d’ingénieurs, le projet de transport public futuriste Urbanloop s’apprête à tenter de battre le record du monde de la plus faible consommation énergétique pour un véhicule autonome sur rails.

Pas rapide, mais pas cher. L’histoire est belle et elle ne fait que commencer. Après quatre années de développement, le concept de transport public électrique imaginé par les élèves d’écoles d’ingénieurs du Grand Est, intitulé Urbanloop, s’apprête à tenter de battre le record du monde de la plus faible consommation énergétique pour un véhicule autonome sur rails. Objectif de ce concept de capsules électriques sans batterie : passer sous la barre du 1 centime d’euro du kilomètre. Pour marquer les esprits, l’Urbanloop ambitionne d’atteindre ainsi les 60 km/h afin d’afficher sa capacité à transporter du public sur un kilomètre en une minute pour moins d’un centime d’euro. De quoi susciter l’intérêt de nombreux acteurs publics en France et pas seulement. Pour preuve, le projet a été retenu pour intégrer les innovations qui pourraient accompagner les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.

 

Pour briguer le titre de transport public le plus économique au monde, l’Urbanloop a été conçu en rupture avec les modes de transport de masse développés jusqu’à présent. Grâce à son concept de capsules intelligentes et interconnectées, dont la capacité ne dépasse pas deux voyageurs, Urbanloop traque la moindre perte d’énergie et peut ainsi afficher des performances économiques et écologiques inégalées.

Si, en soit, faire rouler des capsules sur un rail enfermées dans un tube n’est pas  révolutionnaire et rappelle l’hyperloop du patron de Tesla, Elon Musk, parvenir à faire circuler sans risque des milliers de ces engins sur un réseau interconnecté avec un temps d’attente par station ne dépassant pas une minute est une véritable prouesse. Ce tour de force est rendu possible grâce à l’intelligence artificielle et aux talents des petits génies de l’université de Lorraine et de neuf écoles associées (encadrés par leurs enseignants-chercheurs). Rendez-vous donc pris vendredi 28 mai sur le site de la Tomblaine en Meurthe-et-Moselle où le projet Urbanloop dispose d’une boucle d’essais de six kilomètres. Qui sait, c’est peut-être l’avenir du concurrent de la SNCF qui se dessine.

Source : detours.canal.fr

7 février 2022par Manuèle Maniez
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Recharge ultra-rapide : Fastned débarque dans le sud de la France

Le réseau de recharge ultrarapide Fastned annonce avoir remporté de nouveaux appels d’offres pour le lancement de nouvelles stations autoroutières. L’opérateur récemment débarqué en France va installer 3 sites supplémentaires dans la moitié sud de l’Hexagone.

Quelques semaines après la mise en service de ses 6 premières stations sur l’axe Lyon-Montbéliard, Fastned poursuit son développement plus au sud. Le réseau de recharge ultrarapide pour véhicules électriques a remporté une seconde volée d’appels d’offres lancée par les gestionnaires autoroutiers ASF et Vinci.

Ouverture d’ici la fin 2022

Trois nouvelles stations seront donc construites dans les mois à venir. Elles seront implantées sur l’A72 entre Saint-Étienne et Clermont-Ferrand (aire de la plaine Forez est), sur l’A9 entre Nîmes et Montpellier (aire d’Ambrussum nord) et sur l’A20 entre Brive-la-Gaillarde et Montauban (aire des Jardins des Causses du Lot). Chaque station sera équipée de 8 points de charge haute-puissance jusqu’à 300 kW et pourra être étendue en fonction de la fréquentation. Leur ouverture au public est prévue avant la fin 2022.

En parallèle, l’opérateur hollandais aménage actuellement deux stations au sud de Paris (aire des Jonchets sur l’A5 dans les deux sens) et prépare une troisième sur l’aire d’Achères la Forêt (A6). D’ici la fin de l’année, Fastned disposera d’un total de 12 stations autoroutières. Le réseau sera sans concurrence sur la totalité de ces aires de service. Il complète le maillage initié par Ionity, qui reste de loin le premier opérateur de recharge ultrarapide tous publics en France avec pas moins de 90 stations.

Tarification au kWh et paiement direct par carte bancaire

Pour rappel, Fastned applique un tarif de recharge clair et équitable de 0,59 €/kWh. Les habitués peuvent souscrire à un abonnement mensuel de 11,99 €/mois afin de réduire le prix du kilowattheure à 0,45 €. Il se distingue des réseaux concurrents en proposant le paiement direct par carte bancaire (sans contact uniquement), en plus des moyens traditionnels comme le badge d’opérateur de mobilité et le règlement par carte via smartphone.

Source : www.automobile-propre.com

24 janvier 2022par Manuèle Maniez
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ON NOUS PROMET TOUJOURS DES VOITURES AUTONOMES « D’ICI 5 ANS » !

Comment la révolution des voitures autopilotées pourrait encore bientôt commencer ? La conduite autonome va-t-elle vraiment arriver un jour ?

Après de nombreuses promesses, les voitures autonomes suscitent jusqu’à présent beaucoup de scepticisme. Pourtant, leurs concepteurs actuels y croient toujours dur comme fer et imaginent sauter le pas dans un futur proche. Mais cette fois-ci, ça serait pour de bon !

 

CES 2022 : la conduite autonome omniprésente

« Nous sommes toujours à cinq ans des voitures à conduite autonome« , c’est la formule que l’on entend depuis… 10 ans maintenant. Plusieurs délais de cinq ans se sont succédés, et pourtant, malgré toutes les démonstrations technologiques, les robotaxis se limitent aujourd’hui à quelques projets de test.

Lors de la grand messe technologique de Las Vegas, le CES 2022, plusieurs entreprises ont cette fois-ci affirmé que les choses allaient réellement changer, et ce, à nouveau dans quelques années ! Mais cette fois-ci, cela pourrait bien être le cas.

En effet, la technologie qui pourrait rendre la conduite autonome possible est sur le point d’être intégrée dans les voitures de différents constructeurs.

Ainsi, l’entreprise Mobileye, qui appartient à Intel et le spécialiste des puces Nvidia ont présenté au CES leurs nouveaux systèmes informatiques qui traitent les données de caméras et d’autres capteurs pour piloter les véhicules. Nvidia Drive Hyperion et Mobileye EyeQ devraient être disponibles dans les premiers véhicules de série au milieu de la décennie. « Je ne vois rien qui puisse nous arrêter, ni sur le plan réglementaire, ni sur le plan technique, ni sur le plan de l’acceptation par les clients« , a déclaré Johann Jungwirth, manager de Mobileye. Selon lui, l’heure des voitures autopilotées a bel et bien sonné.

Même si la technique de la conduite autonome est dans les starting-blocks, de nombreuses questions restent en suspens. La verrons-nous d’abord dans des robotaxis, des véhicules privés ou des camions ? A quelle vitesse et sur quelles routes se répandra-t-elle dans la vie quotidienne ?

Au moins dix ans avant de voir plusieurs véhicules autonomes circuler

« Je pense déjà qu’il faudra une période d’au moins dix ans avant de voir une part significative – environ cinq pour cent – de véhicules vraiment hautement automatisés ou autonomes« , a déclaré l’expert en mobilité Jürgen Reers de la société de conseil Accenture. « Il y a un grand écart entre ce qui est techniquement possible – et ce qui est réalisable dans la réalité des villes telles que nous les trouvons aujourd’hui ».

L’intelligence artificielle se heurte à plusieurs limites : il ne faut pas seulement équiper les véhicules, mais il est nécessaire de retravailler les infrastructures existantes et créer par exemple des voies de circulation spécifiques.

Ces dernières années, on a souvent prédit que le véhicule autonome du futur serait très probablement un robot-taxi. Il ne s’agirait donc pas d’une voiture que l’on possède, mais plutôt d’un service que l’on utilise uniquement en cas de besoin. Waymo, la société sœur de Google, et Cruise, la filiale de General Motors, entre autres, tentent déjà de mettre en place de tels services. La directrice de GM, Marry Barra, a toutefois annoncé lors de sa présentation en ligne au CES que le groupe américain souhaitait également lancer une voiture autonome pour les consommateurs au milieu de la décennie.

Source : www.autoplus.fr

20 janvier 2022par Manuèle Maniez
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GOODYEAR DÉVOILE UN PNEU ÉCOLO… AU RIZ ET AU SOJA !

Ce concept de pneu sert à explorer de nouveaux matériaux et procédés, pour remplacer les hydrocarbures et méthodes de production trop polluantes.

Dans le monde de l’automobile, il n’y a pas que les moteurs qui polluent. Dans leur fabrication comme dans leur utilisation, les pneus sont également d’importants contributeurs au réchauffement climatique et à la pollution en général, à cause d’une fabrication intense en hydrocarbures. Un problème auquel le manufacturier Goodyear a décidé de s’atteler, avec un nouveau concept de pneu, composé à 70 % de matériaux renouvelables.

 

Du riz et de l’huile de soja !

En particulier, Goodyear a travaillé à rendre le noir de carbone, un des composés principaux d’un pneu, plus écolo. Ce matériaux est généralement le résultat de la combustion d’hydrocarbures, ce qui est loin d’être idéal pour l’environnement. Dans ce pneumatique expérimental, il est composé à partir de trois nouveaux procédés : un issu du méthane, l’autre de dioxyde de carbone, et enfin le dernier d’huile végétale. En particulier, Goodyear a ici utilisé de l’huile de soja. Le soja est principalement utilisé dans l’agriculture pour nourrir les animaux, mais Goodyear précise que ce procédé laisse beaucoup de surplus. En récupérant ce surplus, le manufacturier peut donc construire son pneu avec un peu de matière végétale.

Ensuite, Goodyear a cherché à « végétaliser » le silice utilisé dans ses pneus. Ici, il est issu de cendre de balle de riz. La balle de riz est l’enveloppe protectrice du grain de riz, qui est généralement détruite dans la production de riz alimentaire. La cendre qui en est tirée est le sujet de nombreux travaux de recherche, notamment pour son utilisation dans le ciment. Ici, Goodyear s’en sert donc pour remplacer le silice, qui assure une plus grande longévité à la gomme des pneus.

Des pneus 100 % renouvelables d’ici à 2050 ?

Enfin, le polyester utilisé dans la carcasse des pneus est ici remplacée par du polyester recyclé, tiré de bouteilles en plastique usagées. Au total, Goodyear annonce que ce pneu est composé à 70 % de matériaux renouvelables, issus donc du monde végétal ou du recyclage. Le tout, avec des performances tout à fait correctes, d’après le manufacturier.

Une belle avancée, mais qui devrait encore prendre quelques années pour se retrouver sur vos roues. On imagine en effet que la production de ce type de pneus est pour l’instant beaucoup plus coûteuse que celle d’un pneu traditionnel. Mais alors que les différents gouvernements annoncent la fin des moteurs thermiques, le reste de l’industrie automobile va probablement devenir plus crucial dans la chasse aux émissions. Ce n’est donc pas une surprise que les manufacturiers cherchent à prendre de l’avance sur le sujet. En 2021, Michelin avait d’ailleurs annoncés que ses pneus seraient 100 % renouvelables d’ici 2050.

Source : www.autoplus.fr

Par Clément Raoul-Réa

10 janvier 2022par Flora LEMBLE
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Dans la ville la plus froide du monde, les voitures restent allumées tout l’hiver

Si vous pensiez, une fois l’hiver venu, que le froid sibérien risquait d’endommager votre voiture, attendez d’avoir découvert comment on vit dans le nord de la vraie Sibérie, à Iakoutsk, réputée pour être la ville la plus froide au monde. Un phénomène climatique qui n’épargne évidemment pas les voitures, et contre lequel certains des habitants semblent avoir trouvé une solution si ce n’est écologique, du moins originale.

80 degrés d’amplitude thermique. Presque 30° l’été, mais -50° l’hiver. Inutile d’imaginer à quoi ressemble la brochure touristique menant à Iakoutsk, capitale de la Iakoutie : il n’y en a pas. Et pour cause, cette ville perdue au nord de la Sibérie orientale est depuis longtemps connue comme l’un des endroits les plus froids au monde. Un record établi à -64° l’a propulsée sur la première marche du podium des congélateurs naturels (certains habitants accrochent même leurs vivres à la fenêtre en hiver) ; au point qu’on se demande comment les automobilistes parviennent à démarrer dès le début de l’automne. Spoiler alert : leurs voitures restent chaudes.

Plusieurs options contre la congélation. Face aux gelées et autres blizzards capables de congeler n’importe quelle paire de doigts en moins de cinq minutes, la résistance s’est organisée depuis des décennies. À Iakoutsk, certains “débranchent” tout simplement les voitures en ôtant les batteries tout au long de l’hiver ; d’autres disposent de garages chauffés ou de couvertures et de petites astuces comme le colmatage du tuyau d’échappement avec un bloc de caoutchouc.

Quant à ceux qui n’auraient pas les moyens, reste une option : laisser le moteur tourner dès les premières basses températures ! Ainsi, il n’est pas rare de croiser des épaves chauffées pendant plusieurs mois. Une décision radicale et aux antipodes des recommandations des écologistes, mais bon… la Russie dispose d’assez de réserves en hydrocarbure pour ne pas trop se préoccuper des pics de particules fines qui tous les ans surplombent la ville.

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Il n’est donc pas rare de découvrir des voitures vrombir toutes seules avec une alarme enclenchée, sans propriétaire à l’intérieur ; lesdits propriétaires disposant d’un double des clefs pour ouvrir le véhicule si nécessaire. Bien qu’on se demande à quoi serve une alarme antivol par -50°, la technique semble porter ses fruits puisque loin de toute tendance à la mobilité douce, les habitants continuent d’user de cette méthode improbable consistant à confondre sa voiture avec un chauffage thermique ambulant. Les autres, certainement refroidis par les températures hors-normes, utilisent quant à eux les transports en commun. Une sage décision dans cette ville de 300 000 habitants où le fleuve congelé devient occasionnellement une… route.

Source : https://detours.canal.fr

4 janvier 2022par Flora LEMBLE
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5 produits pour rendre votre voiture plus belle en hiver

Ce n’est pas parce que le temps est maussade qu’il faut négliger sa voiture ! Découvrez notre sélection de produits pour la chouchouter, même en hiver !

Polish lustrant Megiar’s – 15,99 € (au lieu de 20,40 €)

Apportant brillance et reflets, ce polish lustrant nourrit la peinture et élimine les micro-rayures. Donnant un coup de jeune à votre auto, il est recommandé en complément d’une cire de protection, pour un résultat optimal.

 

 

Shampooing lustrant Michelin – 5,30 € (au lieu de 6,90 €)

Nettoyez et lustrez votre voiture avec ce shampooing Michelin, conçu pour tous les types de peintures. Sans traces, il redonne de l’éclat à votre carrosserie pour longtemps !

 

 

Gants microfibre – 15,99 €

Un kit indispensable ! Chouchouter votre voiture avec ces deux gantsmicrofibre, livrés avec deux chignons. Idéal pour nettoyer la carrosserie tout en douceur.

 

 

Nettoyant jantes Facom – 8,90 € (au lieu de 11,90 €)

Prenez aussi soin de vos jantes avec ce nettoyant dégraissant. Très simple d’usage, il agit en une minute seulement et dissout toutes les saletés et résidus de plaquettes de freins.

 

 

Set d’entretien pour les pneus et jantes – 29,95 €

Faites un joli cadeau de Noël à votre voiture avec ce kit d’entretien pour jantes et pneus. Très complet, il comprend de nombreux produits, ainsi qu’une brosse spécifique. Un must have !

Source : www.auto-moto.com

20 décembre 2021par Manuèle Maniez
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LA ROUTE QUI RECHARGE LA VOITURE ÉLECTRIQUE PAR INDUCTION EST UNE RÉALITÉ

Afin de répondre aux enjeux futurs liés à la recharge des véhicules électriques, qui tendent à être de plus en plus nombreux en Europe, le groupe Stellantis a participé à un projet de route avec recharge par induction intégrée. “Arena del Futuro”, un circuit d’un peu plus de 1 km a été construit en Italie pour tester le système DWPT (Dynamic Wireless Power Transfer), une des technologies qui pourrait répondre aux problèmes d’autonomie qui préoccupent les clients.

Imaginez une route qui permettrait de recharger votre véhicule tout en roulant pour maximiser votre autonomie et ne plus se préoccuper de la recharge et des contraintes que cela implique ? C’est l’idée concrétisée avec le circuit “Arena Del Futuro” par A35 Brebemi, la liaison autoroutière directe entre Brescia et Milan, en coopération avec Stellantis et d’autres partenaires internationaux. En utilisant une technologie innovante de recharge par induction dynamique, le circuit de 1 050 m de long, situé dans une zone privée de l’autoroute A35, près de la sortie Chiari Ovest, permet de recharger les véhicules qui roulent dessus. Le DWPT (Dynamic Wireless Power Transfer), un système innovant de boucles placées sous l’asphalte, alimenté par une puissance électrique de 1 MW, permet de recharger sans fil les véhicules en mouvement.

Dans la stratégie d’électrification de Stellantis

Photo d'illustration - Arena del Futuro
Photo d’illustration – Arena del FuturoCredit Photo – Stellantis

La participation de Stellantis au projet “Arena del Futuro” s’inscrit dans le cadre de la stratégie d’électrification de l’entreprise, qui comprend la fabrication de véhicules électriques mais également le développement d’un écosystème complet de services en lien avec ces derniers. Pour passer outre la “range anxiety” ou la peur de la panne sèche qui freine les clients potentiels lors de l’achat d’un véhicule électrique, l’une des solutions avancées par le groupe Stellantis est la création de routes intégrant la recharge par induction. Une manière également de pallier aux problèmes d’autonomie pour les longs trajets et de limiter les temps de charge. Le circuit “Arena Del Futuro” a d’ailleurs été inauguré par la nouvelle Fiat 500 électrique et par un Bus Iveco E-Way pour tester le système DWPT. Il faut cependant que les véhicules soient équipés d’un récepteur spécial qui transfère l’énergie provenant de l’infrastructure routière à la batterie pour s’adapter à cette technologie. Avec des investissements de plus de 30 milliards d’euros d’ici 2025 dans l’électrification et le développement de logiciels, le groupe Stellantis pourra aussi offrir à ces véhicules une connectivité avancée permettant des échanges d’informations constants avec les routes connectées et électrifiées. Le revêtement sera lui aussi optimisé pour le rendre plus durable sans affecter l’efficacité de la recharge par induction.

Source : autonews.fr

14 décembre 2021par Manuèle Maniez
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Trois choses à faire pour préparer votre voiture à l’hiver

Alors que l’hiver s’approche à grands pas, découvrez les trois choses à faire pour être prêt à prendre la route malgré le froid et les intempéries.

Ça y est, l’automne est bel et bien installé, alors que les températures baissent, de même que la luminosité. Le froid aussi fait son grand retour, accompagné d’intempéries qui rendent parfois la conduite plus difficile. Bref, vous l’aurez compris, l’hiver se rapproche à grands pas, et avec lui tous les inconvénients, qu’il convient de prendre en compte pour rouler sereinement. Auto-Moto vous propose de découvrir trois choses à faire pour bien préparer votre voiture à la saison froide, afin d prendre le volant en toute sécurité durant la saison hivernale

Préparez vos pneus hiver 

Depuis le 1er novembre dernier, les pneus hiver sont obligatoires dans certains départements. Mais même si vous n’êtes pas concernés, l’idéal reste tout de même d’en installer sur votre véhicule, dès lors que la température passe sous la barre des 7°, et de les conserver jusqu’au passage à l’heure d’été, pour une sécurité optimale. Choisissez des gommes estampillées M+S ou mieux encore 3PMSF (3 Peak Mountain Snow Flake), également marquées du symbole alpin avec le flocon de neige et la montagne à trois sommets. Ceux-ci vous garantiront une adhérence maximale sur la neige et le verglas. Vous pouvez aussi opter pour des pneus 4 saisons à condition qu’ils possèdent bien ces marquages. Les chaines et chaussettes peuvent aussi constituer une bonne alternative, et doivent au moins être installées sur les roues motrices du véhicule.

Equipez-vous bien

S’il est tout à fait possible de partir en t-shirt et les mains dans les poches en été, la conduite en hiver demande un peu plus de précaution. Avant de prendre la route, pensez à vérifier que vous possédez les équipements nécessaires en cas de panne, afin de ne pas être pris au dépourvu, et équipez-vous afin de garantir votre sécurité et votre confort en toutes circonstances. Dans votre véhicule, il est donc conseillé de garder une raclette à glace ou un chiffon, des chaines ou des chaussettes, des sables de démarrage, des gants, des vêtements chauds et une couverture, ainsi que des choses à boire et à grignoter. Vous n’êtes en effet jamais à l’abri d’une panne et il est important de pouvoir rester au chaud en attendant un dépanneur qui peut se faire attendre !

Contrôlez votre voiture

Niveaux de liquides, pare-brise, batterie… bref, pensez à faire un check-up complet de votre voiture avant de prendre la route, surtout si celle-ci dort à l’extérieur, à la merci du froid et des intempéries. Pensez également à jeter un oeil à vos feux, ainsi qu’à votre chauffage et à votre climatisation. Bien entendu, actionnez aussi vos essuie-glace pour vérifier leur bon fonctionnement, mais ne le faites surtout pas si votre pare-brise est recouvert de neige, au risque de les casser. Si vous avez prévu de vérifier le niveau d’huile, roulez si possible entre 15 et 20 kilomètres avant d’ouvrir le capot, celle-ci étant alors plus visqueuse en hiver en raison des températures basses. Pensez aussi à opter pour du liquide lave-glace spécial hiver, permettant d’éviter le gel.

Source : auto-moto.com

6 décembre 2021par Manuèle Maniez
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Un nouveau standard pour la recharge sans fil des voitures électriques

La charge de voitures électriques par induction n’a jamais été aussi proche d’une commercialisation à grande échelle. L’organisation SEA International a mis au point un nouveau standard pour la charge sans fil dans l’industrie automobile.

“Un grand pas en avant vers la commercialisation de la charge sans fil pour les véhicules électriques”, voilà comment Jesse Schneider décrit le standard SAE J2954, résultant de plus de dix ans de recherche en partenariat avec de nombreux acteurs de l’industrie et des régulateurs. Il en a dirigé l’élaboration, au sein de SAE International, une organisation regroupant près de 200 000 ingénieurs, experts et volontaires “engagée à faire progresser les connaissances et les solutions en matière de mobilité au profit de l’humanité”, en développant notamment de nombreux protocoles dans le secteur des transports.

Le nouveau standard SAE J2954 détermine “une spécification à l’échelle de l’industrie qui définit des critères acceptables pour l’interopérabilité, la compatibilité électromagnétique, le champ électromagnétique, les performances minimales, la sécurité et les tests pour le transfert de puissance sans fil (WPT, pour wireless power transfer) des véhicules électriques légers rechargeables”. Ces spécifications comprennent une charge en courant alternatif de 3,7 kW (WPT1), 7 kW (WPT2), ou 11 kW (WPT3). Une standardisation de l’équipement de recharge sans fil de la borne (GA, pour ground assembly) et de l’équipement intégré au véhicule (VA, pour vehicle assembly) est prévue, afin de permettre à n’importe quelle voiture et à n’importe quelle infrastructure respectant ce standard de fonctionner ensemble.

Une simplification du processus de recharge

Afin que la charge puisse s’effectuer, le véhicule doit être équipé d’un pad récepteur et placé au-dessus du pad émetteur avec une tolérance d’environ 7,5 cm dans la direction longitudinale du véhicule et d’environ 10 cm dans la direction transversale au véhicule. La garde au sol de la voiture doit quant à elle être de l’ordre de 10 à 25 cm. Une fois le véhicule aligné aux bobines, la communication en Wi-Fi entre la voiture et la borne est automatique via le standard SAE J2847/6, mis à jour pour l’occasion. Reste la question de l’authentification et du paiement sur les bornes publiques, généralement bien plus complexes que le branchement en lui-même. Seul Tesla propose un système automatique pour le moment.

On peut s’interroger sur l’intérêt de la charge sans fil pour l’automobile, le branchement d’une voiture électrique n’étant pas particulièrement complexe. En outre, la charge par induction induirait des pertes d’énergie d’environ 6 % au minimum, d’après SAE International. Néanmoins, toute simplification liée à l’usage de véhicules électriques est bénéfique pour leur démocratisation. De plus, les véhicules hybrides rechargeables sont également concernés par cette technologie et cette simplification pourrait encourager leurs conducteurs à les recharger plus fréquemment.

Dernier point, mais non des moindres, la charge sans fil facilitera la recharge des véhicules autonomes, sans intervention humaine ou chargeur articulé complexe.

Source : www.lesnumeriques.com

8 novembre 2021par Manuèle Maniez
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En Norvège, les voitures à essence ne représentent plus que 10% du marché automobile

Après avoir annoncé la fin du thermique pour 2025, la Norvège accélère à un rythme effréné au point que la part des voitures à essence y est actuellement comparable à celle des voitures électriques en France.

La Norvège, bientôt sans essence. Le saviez-vous ? Il existe des pays réussissant à tenir leur promesses en matière de mobilité écologique. Spoiler alert : on ne parle pas de la France, mais de la Norvège. Vous savez, ce pays du nord de l’Europe qu’on n’arrive jamais à placer sur une carte. Les responsables politiques, eux, ont pourtant un très bon sens de la géographie : ils sont en train d’expulser la voiture à essence hors de leur frontière. C’est ce qu’indique les chiffres transmis par le marché automobile norvégien et surprise, c’est tout sauf une surprise.

Horizon 2025. Voilà déjà plusieurs années que le petit pays de 5,3 millions d’habitants a promis d’en finir avec la voiture thermique, et s’est donné jusqu’à 2025 pour y arriver. Pour cela, il s’est doté de moyens impressionnants (du moins pour un Français lambda) : primes à l’achat, péages et parkings gratuits pour les propriétaires de voitures électriques, etc. Conclusion : en 2018, un tiers des voitures neuves étaient déjà électriques ; un an plus tard, la part montait à 50%, puis 70% un peu plus tôt cette année, et enfin 90% depuis la rentrée 2021. Une progression astronomique qui fait de la Norvège l’un des pays les plus avancés dans sa transition énergétique. De quoi donner honte au reste de l’Europe.

La France a 10 ans de retard. Dans le reste du monde, et particulièrement en Europe, on table actuellement sur 2035 pour stopper la commercialisation de toutes les voitures à essence. Un délai jugé déraisonnable pour certains constructeurs, et désespérément trop lointain pour les écologistes. La Norvège ne l’entend pas de cette oreille, et même si sa faible densité de population permet de faciliter un changement des habitudes, n’en reste pas moins que personne, là-bas, ne semble prêt à descendre dans la rue pour manifester avec un bidon d’essence à la main. Depuis le début de l’année 2021, les voitures 100% électriques représentent 60% du marché, devant l’hybride avec 32%. Le thermique, lui, culmine à seulement 8%. Un chiffre qui fait saliver tous les pays voisins, incapables d’amorcer un tel changement.

Même si les voitures électriques restent polluantes (majoritairement lors de la construction des modèles), elles permettent de diminuer drastiquement les émissions de Co2 ainsi que la part budgétaire allouée au carburant. La Norvège semble l’avoir compris, et peut déjà se targuer d’être devenu la nation de l’électrique. Rappelons que le pays vient de lancer son premier cargo autonome alimenté 100% en électricité, qu’une première ligne électrique ouvrira en 2030 et que 100% des bateaux devraient être branchés sur une prise secteur d’ici à la fin de la décennie. Norvège 1, France 0.

Source : detours.canal.fr

26 octobre 2021par Manuèle Maniez
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Question de la semaine : êtes-vous, vous aussi, amoureux de votre voiture ?

La question de la semaine Turbo / RTL Auto Radio est maintenant terminée. Merci pour votre participation, voici les résultats :

A ce sujet : Les Français entretiennent une relation très particulière avec leur voiture. En effet, selon une étude CarNext, pour près de 8 français sur 10, c’est bien plus qu’un volant et 4 roues. Ils en sont même « amoureux ».

Ainsi, 76 % des personnes interrogées estiment ne pas pouvoir vivre sans leur voiture, un chiffre qui grimpe à 80 % pour les femmes ! La voiture, bien plus qu’un simple objet pour beaucoup de français, surtout quand 2 sur 5 n’hésitent pas à lui donner un petit nom.

Source : www.turbo.fr

18 octobre 2021par Manuèle Maniez
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Voitures électriques : un chargeur ultra-puissant, c’est pour bientôt

C’est l’un des principaux problèmes des véhicules électriques, la recharge. Cette dernière est encore souvent bien trop longue pour une autonomie réduite. Mais une entreprise pourrait bien révolutionner cela.

ABB est une société spécialisée dans la conception d’équipements électriques. Vous n’en avez probablement jamais entendu parler, mais cette entreprise suisse pourrait bien révolutionner l’industrie automobile de demain. Et ce, grâce à son nouveau chargeur ultra-puissant, le Terra 360.

Encore plus efficace que les superchargeurs de Tesla, cette borne indépendante permettrait à une voiture électrique de récupérer 100 km d’autonomie en seulement 3 minutes. Pas mal non ? À titre de comparaison, les fameux superchargeurs de Tesla, eux, tournent autour des 320 km en 15 minutes. Soit une recharge de 64 km pour 3 minutes.

Le progrès est donc potentiellement immense mais quelques obstacles se posent encore en travers du chemin du Terra 360.

Trop développé pour le moment

Le chargeur de chez ABB est encore trop puissant pour les véhicules actuels. Ce dernier peut injecter jusqu’à 360 Kw tandis que les modèles les plus puissants atteignent à peine les 300 Kw. Nous parlons ici de la Porsche Taycan et de la Lucid Air.

Cependant, le chargeur sera bientôt installé en Europe puis dans le monde. Il ne sera simplement pas utilisable à pleine puissance pour le moment mais comme nous vous le disions, son potentiel est saisissant.

Source : www.auto-moto.com

12 octobre 2021par Manuèle Maniez
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Les pneus « sans air » increvables Michelin Uptis ont été présentés à Munich

Quoi de plus frustrant qu’une crevaison sur son véhicule ? Pour répondre à ce problème, Michelin travaille depuis dix ans au développement d’un système increvable. Baptisé UPTIS, ce pneu sans air a été présenté pour la première fois sur un véhicule électrique à l’occasion du salon IAA Mobility 2021.

Chaque année, plusieurs milliards de pneus sont produits dans le monde par les manufacturiers. En créant un pneu increvable compatible avec les modèles électriques, Michelin renforce sa stratégie pour devenir une entreprise plus vertueuse à l’avenir.

Un pneu sans air plus durable

En 2017, Michelin présentait le Vision Concept et plaçait déjà la barre très haut. L’entreprise imaginait l’avenir avec l’impression d’une nouvelle structure sur les pneus pour les faire durer beaucoup plus longtemps. Le postulat est le suivant : sans air, il n’y a plus de risque de fuite ou de sous-gonflage provoquant une usure avancée du pneu.

Pour parfaire l’engagement de Michelin dans la durabilité, le Vision Concept reposait sur l’utilisation de matériaux recyclés et recyclables en fin de vie du pneumatique.

Uptis, sans air, mais aussi performant

Pour Michelin, le concept UPTIS (Unique Punctureproof Tire System), dans la lignée de son prototype Vision Concept, doit offrir les mêmes performances que les pneus traditionnels de l’entreprise qui ont contribué à forger sa réputation. Pour garantir un comportement équivalent, le pneu UPTIS est installé sur une roue en aluminium. L’air est remplacé par une structure porteuse composée de lames flexibles renforcées avec de la fibre de verre.

Lors de sa présentation au salon IAA Mobility de Munich, Michelin a permis à quelques visiteurs d’essayer le véhicule avec ce pneumatique. Les utilisateurs n’ont apparemment pas ressenti de différence avec un pneu classique équivalent.

Michelin n’a pas encore indiqué le prix de ce futur pneu, mais l’entreprise serait proche de sa commercialisation, qui pourrait débuter dès 2024. La composition des UPTIS comprend pour le moment une part de matériaux recyclés qui doit tendre progressivement vers 100 %.

Source : Interesting Engineering

Source : www.clubic.com

20 septembre 2021par Manuèle Maniez
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SAVIEZ-VOUS QU’UNE ROUTE PERMETTANT DE RECHARGER LES VOITURES ÉLECTRIQUES SERA BIENTÔT TESTÉE ?

Ce n’est plus une surprise, les véhicules électriques prendront bientôt le pas sur les véhicules thermiques. Mais même si leur autonomie ne cesse d’augmenter, leur temps de recharge est encore long et contraignant. Et si nous trouvions un moyen de recharger la voiture tout en conduisant ?

Pour l’instant, tout ce projet n’est qu’en phase de test mais si cela s’avérait rentable et efficace nous pourrions envisager d’appliquer ce nouveau type de routes un peu partout dans le monde.

C’est une société allemande, Magment, qui est à l’origine de cette technologie. Il s’agit finalement d’un béton conducteur d’électricité. Ce revêtement fonctionnerait, comme les chargeurs à induction sur votre smartphone, à l’aide de particules magnétiques transférées directement vers la voiture en mouvement.

Et si sur le papier, cette solution semble peu coûteuse, elle doit encore être soumise à une batterie de tests. C’est pour cette raison que l’État de l’Indiana (USA) ainsi que des chercheurs ont décidé de s’associer à l’entreprise allemande pour travailler sur cette technologie.

Une portion de route longue de 600 mètres sera bientôt mise en place afin de tester la véritable fiabilité de ce revêtement.

Une solution d’avenir ?

Même si tout ce projet semble très séduisant au premier abord, il y a malheureusement de nombreux paramètres à prendre en compte. Certes, l’entretien de ces routes n’est pas très cher, mais remplacer les anciennes routes par ce revêtement va avoir un coût faramineux que certaines collectivités ne pourront pas forcément assumer.

 

Source : www.autonews.fr

2 août 2021par Flora LEMBLE
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DÉPART EN VACANCES : POURQUOI LES FRANÇAIS PRÉFÈRENT-ILS LA VOITURE ?

L’entreprise NextBase a commandé une étude sur les habitudes des Français au moment des départs en vacances. Alors plus voiture que transports en commun ? Pourquoi, avec qui et où ça, nous allons tout décortiquer.

Zapping Autonews Autonews Daily #38 : l’actu auto de la semaine en vidéo

Selon cette étude réalisée par Opinion Way pour NextBase, 53% des Français interrogés ont prévu de partir cet été avec leur véhicule personnel. Un choix discutable pour certains, mais que nous allons tenter de comprendre grâce aux explications fournies.

Et le premier argument avancé évoque les activités organisées une fois sur place. 56% des sondés reconnaissent qu’avoir sa propre voiture est plus pratique en cas de sorties organisées.

Le deuxième argument qui vient en tête concerne les bagages. Dans un avion ou dans un train, le nombre de valises est forcément limité. Utiliser sa voiture permet donc d’amener davantage d’effets personnels avec soi dans le but de passer des vacances plus tranquilles.

Et enfin, argument inébranlable, les enfants. Lorsque ces derniers sont encore en bas âge, les faire voyager n’est pas simple. On déteste tous se retrouver à côté d’un bébé qui pleure dans l’avion. Et pour les parents, ce n’est pas plus agréable de devoir gérer les remarques d’inconnus. Faire le trajet tranquillement en voiture est donc plus pratique selon 44% des sondés.

 

Source : www.autonews.fr

Credit Photo – Yayimages

16 juin 2021par Flora LEMBLE
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ACTA INNOVE AVEC UN CHARGEUR MOBILE POUR VÉHICULES ÉLECTRIQUES

ACTA lance en France un inédit chargeur mobile pour véhicules électriques, fruit du partenariat entre ARC Europe Group et CLS.

L’électromobilité est une tendance majeure du secteur du transport. Nous sommes à l’aube d’une explosion des ventes de véhicules électriques, soutenue par les nombreux lancements de véhicules zéro émission chez les constructeurs automobiles. Cette évolution de l’énergie de nos véhicules va impacter tout l’écosystème, dont l’assistance.

ARC Europe Group et CLS ont anticipé cet enjeu, et ont décidé dès 2017 de nouer un partenariat afin de développer des solutions innovantes adaptées à l’électromobilité. ARC Europe Group apporte son expérience de leader de l’assistance en Europe. De son côté, CLS fait bénéficier de son expertise sur les solutions de recharge. La toute première réalisation de ce partenariat ambitieux est le lancement d’un inédit chargeur mobile pour véhicules électriques.

Toujours soucieux d’apporter des solutions innovantes à ses clients, ACTA, filiale française du groupe ARC Europe, a commandé ce chargeur mobile dès sa présentation. ACTA est ainsi heureux d’avoir reçu il y a quelques jours son tout premier exemplaire, solution inédite sur le marché français. Il sera opérationnel en région parisienne dès le mois de novembre.

Ce chargeur mobile est un système modulaire composé de 3 unités. 2 d’entre elles sont les batteries, composées chacune de 8 cellules Lithium. La 3ème unité est le module de commande. L’ensemble a été conçu pour s’installer rapidement dans n’importe quel véhicule d’intervention pour dépanner une voiture électrique en panne de batterie. Le poids et les dimensions de chaque unité sont adaptés au transport à la main. Comme il est en plus complètement autonome dans son fonctionnement, le système est utilisable dans un lieu non accessible par un véhicule d’intervention, comme un sous-sol. A la fin de la mission, les batteries se rechargent si nécessaire tout simplement dans le véhicule d’intervention sur le chemin vers la prochaine assistance. Ce chargeur développé conjointement par ARC Europe Group et CLS est compatible avec la plupart des véhicules électriques.

Cette solution innovante apporte de la sérénité au client final, qui est ainsi assuré de pouvoir disposer n’importe où et n’importe quand d’une solution de recharge pour son véhicule. Il retrouve plus rapidement sa mobilité. Le chargeur mobile est également une solution performante dans le cadre d’une utilisation BtoB, pour un constructeur automobile ou un loueur longue durée par exemple. Il évite des frais de remorquage et constitue une prestation différenciante et valorisante.

Cette nouvelle offre complète les nombreux services qu’ACTA propose déjà en lien avec l’électromobilité : dépannage et remorquage des véhicules électriques et hybrides par des techniciens certifiés, hotline client pour des réseaux de bornes de recharge, pour des véhicules électriques en autopartage, etc. ACTA souhaite à court terme étendre son offre de chargeurs mobiles et proposer des solutions complémentaires et innovantes pour l’assistance de l’électromobilité …

« CLS est fière de soutenir, en partenariat avec ARC Europe Group et ACTA, l’adoption des véhicules électriques en France. Il y a une centaine d’années, lorsque les premiers véhicules à moteur sont apparus sur les routes, les véhicules d’intervention ont été équipés de jerricans de carburant pour les automobilistes en panne. Aujourd’hui, les véhicules d’ACTA s’adaptent à la technologie et aussi à la demande de service », déclare Stuart DAVIES, CEO de CLS.

« Nous sommes fiers d’être pionniers, avec ACTA et CLS, dans l’industrie des véhicules électriques et de conserver notre position de leader dans l’assistance automobile. Cette position permet de faciliter la mobilité du client ainsi que de construire un nouvel écosystème dans lequel les constructeurs, les sociétés d’assistance et les infrastructures s’associent pour garantir un voyage sûr aux futurs conducteurs de voiture électrique en France et dans toute l’Europe », complète Stefano SARTI, Managing Director d’ARC Europe Group.

« ACTA continue d’innover et de s’engager en faveur de l’électromobilité. Nous proposons déjà à nos clients de nombreux services spécifiques pour les véhicules électriques : dépannage et remorquage avec des process spécifiques par du personnel habilité, un service clients pour l’autopartage, une hotline pour les bornes de recharge, etc. », conclut Raphaël GUIGNIER, Directeur Général d’ACTA.

Source : www.arceurope.fr

9 juin 2021par Flora LEMBLE
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Des chargeurs mobiles pour dépanner les voitures électriques

Le RAC, système d’assistance routière britannique, passe à l’heure de la voiture électrique. L’institution va équiper de chargeurs une partie de sa flotte de dépanneuses afin de relancer d’éventuelles voitures électriques en panne de batteries.

Considéré comme l’un des services de dépannage automobile leaders au Royaume-Uni, RAC entre pleinement dans la transition écologique. L’entreprise, qui expérimente la solution depuis 2014, a annoncé que 20 % de ses véhicules de dépannage recevraient d’ici à la fin 2022 un chargeur embarqué. L’objectif pour l’entreprise est de pouvoir dépanner des voitures électriques qui seraient tombées en panne de batterie.

Le système, RAC EV Boost, est apparu en avril 2019 sous la forme d’un chargeur de 3,5 kW. Deux ans plus tard, le chargeur fait 5 kW, et RAC veut l’utiliser pour permettre aux voitures électriques en panne de courant de récupérer l’autonomie nécessaire pour atteindre la borne de recharge la plus proche.

Le RAC EV Boost est aussi l’œuvre d’Original ADS, qui a travaillé avec RAC pour le développer. Les deux entreprises travaillent désormais sur une version du chargeur de 7,5 kW pour qu’il soit plus efficace.

RAC monte ses chargeurs embarqués dans les fourgons, et le générateur qui les alimente fonctionne avec le bloc thermique de l’utilitaire. RAC explique être la seule entreprise proposant un tel système aux automobilistes britanniques. Aux États-Unis, The AAA propose un système similaire.

Au total, 200 véhicules équipés de ce générateur pesant 35 kilos seront sur les routes d’ici la fin 2021. Le contrat d’exclusivité liant RAC et Original ADS prévoit que 120 systèmes supplémentaires seront ajoutés à la flotte en 2022.

Source : www.automobile-propre.com

8 juin 2021par Flora LEMBLE
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La voiture électrique au prix de la voiture thermique ? C’est pour bientôt

Selon une étude, les voitures électriques seront au même prix que les thermiques, sans les aides à l’achat, à partir de 2025.

Si les voitures électriques ont bien progressé en matière d’autonomie, elles gardent un gros handicap : leur prix d’achat. Par rapport à l’équivalent thermique, un modèle électrique reste bien plus cher. Exemple chez Peugeot : une 208 essence 130 ch GT est à 27 400 €, une e-208 136 ch GT est à 36 300 €.

Il y a bien sûr les aides à l’achat qui permettent de fortement réduire les écarts. Sur ce modèle, il y a ainsi un bonus pour tous de 7 000 €. Mais ces aides vont petit à petit baisser. Le 1er juillet 2021, ce sera 6 000 €. Et il est déjà prévu de diminuer le bonus à 5 000 € en 2022 et 4 000 € en 2023.

La bonne nouvelle, c’est que dans le même temps, le prix des voitures électriques va diminuer. Il va même rejoindre le niveau des véhicules thermiques plus rapidement qu’on ne le pense. Selon une étude réalisée par BloombergNEF pour l’ONG Transport & Environment, la parité des prix essence/électrique sera atteinte en Europe entre 2025 et 2027. Mieux, les courbes vont se croiser.

Batteries moins chères et effet volumes

Ainsi, en 2025, les véhicules électriques deviendront moins chers que les diesels sur le marché des utilitaires légers (Kangoo, Berlingo…). Avec l’essence, ce sera en 2026 pour les berlines compactes (Peugeot 308, Renault Mégane-e, Volkswagen ID.3…) et les SUV compacts (Peugeot 3008, Volkswagen ID.4…). Il faudra attendre 2027 pour les citadines (Opel Corsa, Peugeot e-208…).

La chute des prix va passer par trois aspects principaux. Le plus important, c’est le coût de la batterie. Il a déjà chuté de 89 % entre 2010 et 2020. Et cela va se poursuivre, malgré la hausse des cours des matières premières. Selon l’étude, les prix moyens mondiaux des batteries ont été de 120 euros par kWh en 2020. Ce serait 80 € en 2024 et même 50 € en 2030.

Ensuite, il y a les volumes de production. Les ventes ont cette fois décollé et ne retomberont pas. Mine de rien, en 2020, Renault a livré plus de 100 000 Zoé. Cela va de pair avec le dernier aspect, le partage d’une plate-forme pour de nombreux véhicules. Il y a par exemple la MEB pour le groupe Volkswagen et la CMF-EV pour l’Alliance Renault-Nissan. Plus un élément est produit, plus on l’amortit, ce qui permet de tirer les prix vers le bas.

Infographie BloombergNEF
Infographie BloombergNEF

Les prix ont déjà chuté

La révolution des prix est d’ailleurs en marche avec l’arrivée de la nouvelle génération de véhicules électriques. Hors bonus, une ID.3 commence à 34 300 € avec une autonomie de 350 km. Avec 231 km, la e-Golf coûtait en 2019 près de 43 000 € ! Et l’ID.3 coûte moins de 2.000 € que la e-208 de base, alors que la VW est d’une catégorie supérieure et mieux équipée.

De son côté, Renault promet une Mégane-e bien placée. Pour être compétitive, elle devra s’aligner sur l’ID.3… ce qui donnera des prix à peine plus élevés que ceux d’une Zoé ! Les tarifs de cette dernière pourraient sûrement être baissés en fin de carrière, avant l’arrivée d’une autre révolution pour le Losange : la R5 électrique, promise à partir de 20 000 €, soit moins qu’une Clio hybride. Et Luca de Meo, patron de Renault, pense que ce sera le premier modèle électrique aussi rentable qu’un thermique.

Source : www.caradisiac.com

8 juin 2021par Flora LEMBLE
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BONUS VOITURE ÉLECTRIQUE : LE TABLEAU DES AIDES AU 1ER JUILLET

On le sait depuis un moment, le montant du bonus écologique pour l’achat d’un véhicule 100% électrique va baisser au 1er juillet prochain. Découvrez le nouveau barème valable jusqu’au 31 décembre 2021.

Tour de vis pour le bonus écologique. Après être passé de 6.000 à 7.000€ au 1er juillet 2020 pour soutenir le secteur automobile, celui-ci va baisser. À partir du 1er juillet 2021, il sera de 6.000€ pour l’achat d’un véhicule électrique neuf d’une valeur inférieur à 45.000€. Il sera de 2.000€ pour un véhicule électrique neuf d’une valeur comprise entre 45.000 et 60.000€.

Les professionnels aussi sont impactés par cette diminution du bonus écologique à partir du 1er juillet. Il s’élèvera à 4.000€ pour les véhicules électriques neufs dont le prix est inférieur à 45.000€. Pour l’achat d’un utilitaire 100% électrique, le bonus sera de 2.000€. Il sera valable pour les véhicules ayant un prix supérieur à 60.000€.

CIBLE BONUS FOURCHETTE DE PRIX
Particuliers 6.000€ -45.000€
Particuliers 2.000€ entre 45.000 et 60.000€
Professionnels 4.000€ -45.000€
Professionnels 2.000€ –

Pour rappel, le montant du bonus écologique auquel vous êtes éligibles pour l’achat d’un véhicule électrique neuf dépend de la date à laquelle la commande a été passée et non de la date de livraison.

Source : www.autonews.fr

31 mai 2021par Flora LEMBLE
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Réussir le son d’une voiture électrique est bien plus important que vous ne le croyez

L’artiste et designer audio Yuri Suzuki a créé des sons de voiture électrique fabuleux. Un travail à la fois bien plus important et bien plus complexe qu’à première vue.

Si les constructeurs font appel à des stars comme Hans Zimmer pour composer le son de leurs voitures électriques, ce n’est pas un hasard. On ne le réalise pas, mais créer un son réussi pour ce type de véhicule est extrêmement complexe.

Dans Dezeen, l’artiste et designer audio Yuri Suzuki a dévoilé, le 14 mai 2021, la manière dont il a créé de fabuleux sons de voiture électrique dans le cadre d’un projet de recherche. Le premier s’inspire du son d’un moteur thermique, tandis que le deuxième prend plus de liberté, et s’en éloigne davantage en misant sur une fréquence plus élevée et un son plus clair.

https://ds-tressol-chabrier.com/wp-content/uploads/2021/05/yuri-suzuki-composes-soundscape-for-electric-cars-that-adapts-to-the-driver.mp3

 

ÉVALUER LA VITESSE DU VÉHICULE AVEC LE SON

Il est crucial que le son du véhicule aide la conductrice ou le conducteur à évaluer la vitesse à laquelle il roule. Un bruit trop faible ou trop mou peut vite donner la sensation que la voiture avance plus lentement qu’en réalité. Or, mets en garde, Yuri Suzuki dans Dezeen : « Être en mesure d’évaluer la vitesse du véhicule grâce à la fréquence du son qu’il émet est important en termes de sécurité, aussi bien pour le conducteur que pour les autres usagers ». Sans cela, les conducteurs et conductrices risquent de dépasser les limites autorisées, sans même s’en rendre compte. Et les piétons de ne pas apprécier correctement le danger que représente un véhicule en approche.

Le designer audio explique également avoir travaillé les sons afin que des personnes malentendantes puissent malgré tout les discerner. Chaque son intègre diverses fréquences, afin de rester audible par les personnes qui n’en entendraient pas certaines. Un filtre à fréquence a été utilisé, à chaque stade de la production, pour s’assurer de ce point.

 

RÉDUIRE LA POLLUTION SONORE DES VOITURES

S’il est vital que le véhicule soit audible, il reste malgré tout important de limiter la pollution sonore qu’il produit. Dezeen explique ainsi que le designer Yuri Suzuki a opté pour des transitions sonores « organiques » afin qu’elles soient plaisantes à l’oreille.

Dans le domaine des véhicules électriques, le dernier enjeu — et non des moindres — est de créer un son qui séduira les acheteuses et acheteurs potentiels. Le véhicule le plus performant, le plus endurant, le plus esthétique sera snobé s’il produit un bruit ridicule ou déplaisant. À l’inverse, un paysage sonore agréable peut être un argument de vente très fort.

Le son d’une voiture électrique doit aider à évaluer correctement la vitesse du véhicule. 

En plus des deux sons de moteurs, Yuri Suzuki a par exemple élaboré toute une série de bruits (démarrage, activation des clignotant, klaxon, etc.) qui s’adaptent à l’heure, à l’endroit et aux habitudes de la personne qui conduit (grâce aux données de son calendrier). La voiture privilégiera par exemple des sons légers et joyeux le matin, et des sons plus bas et plus doux le soir. Tous ne sont pas réussis — même si tout est affaire de goût. L’idée générale est toutefois très intéressante. En proposant une expérience digne de certains jeux vidéo, les constructeurs automobiles pourraient à coup sûr convaincre certains acheteurs hésitants.

Source : https://www.numerama.com

18 mai 2021par Flora LEMBLE
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Les feux radars intelligents qui passent au vert si vous respectez la vitesse, désormais autorisés en France

Les feux radars qui passent au vert en fonction de la vitesse des automobilistes sont désormais autorisés. Leur réglementation vient d’être définie par l’Instruction Interministérielle sur la Signalisation Routière. Ce dispositif « récompense » ne peut être installé qu’en agglomération. 

Malgré leur illégalité, les feux radars intelligents ont fleuri ces derniers mois sur le territoire. Dénoncés par de nombreux automobilistes, ils viennent pourtant d’être autorisés, rapporte Radars-auto.com.

Le feu récompense et le feu sanction

Ces feux dits « comportementaux » changent de couleur en fonction de la vitesse des automobilistes. Il existe deux dispositifs : le feu récompense et le feu sanction. Seul le premier a été légalisé. Dès que l’appareil, toujours au rouge, détecte un véhicule approcher à une vitesse réglementaire, le feu passe au vert sans que le conducteur ait besoin de s’arrêter.

A l’inverse, le feu sanction passe au rouge quand les automobilistes arrivent à trop grande vitesse. Ce dispositif soulevant des questions de droit, tous ces feux doivent être désactivés.

En agglomération uniquement

L’Instruction Interministérielle sur la Signalisation Routière a défini plusieurs règles d’implantation. Ces feux radars ne doivent être installés qu’en agglomération. Ils ne peuvent en revanche pas se trouver aux intersections ou au niveau des passages piétons, ni à proximité du panneau d’entrée dans une commune. Comme les ralentisseurs, ils sont plutôt disposés au milieu d’une route, dans des zones limitées à 30 ou 50 km/h.

Signaler la présence de ces feux n’est pas une obligation pour les villes. Chacune d’entre elles est donc libre de prévenir ou non les automobilistes. Ces derniers, s’ils ne respectent pas l’arrêt au feu rouge, reçoivent la même amende qu’un feu tricolore classique, à savoir 135 € et quatre points en moins sur leur permis de conduire.

Source : www.midilibre.fr

3 mai 2021par Flora LEMBLE
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Ces habitudes à bannir avec une boite automatique

De plus en plus appréciée par les automobilistes, la boite automatique nécessite cependant quelques précautions pour éviter une casse qui peut vous coûter cher.

Cela fait des années que la boite automatique a le vent en poupe. Plus pratique, notamment pour la conduite quotidienne dans les bouchons, elle est également moins sujette aux pannes que la boite manuelle, dépendant moins de l’usage du conducteur. Enfin, en théorie, car certains gestes qui semblent anodins peuvent en réalité causer une casse de votre boite, ou du tout moins l’endommager très sérieusement. Auto-Moto vous donne quelques conseils pour protéger la mécanique, et vous énumère les habitudes à bannir définitivement une fois derrière le volant !

Passer la marche arrière alors que la voiture avance

Cela semble évident, et pourtant beaucoup d’entre nous le font quand même, histoire de gagner quelques secondes, notamment lors d’une manoeuvre de stationnement. Vous savez, lorsque vous enclenchez la marche arrière, alors que votre voiture avance encore légèrement. Et bien sachez que ce geste peut être fatal pour votre boite automatique, car il force son mécanisme, pouvant alors entraîner une casse de certains composants, vous obligeant parfois à appeler une dépanneuse pour vous emmener au garage. Tout ça, alors que vous voulez simplement gagner un peu de temps… Bref, oubliez ce réflexe pour le bien de votre auto, et de votre porte-monnaie !

Rester en mode D à l’arrêt

Vous pensiez repartir tout de suite, et vous avez donc logiquement laissé enclenché le mode D (Drive), afin là encore de gagner quelques secondes. Sauf que finalement, votre ami prend tout son temps pour arriver, et cela fait une dizaine de minutes déjà que vous êtes arrêté, la boite toujours en position D. Un conseil, passez en P (Parking), afin de préserver la mécanique, sollicitée inutilement. A l’inverse et comme pour le point précédent n’activez jamais le mode P tant que vous n’êtes pas totalement arrêté, ce qui a alors pour effet de forcer là encore sur le mécanisme de la boite.

Mettre le mode N en pente

C’est un réflexe a bannir tout de suite : activer le mode N (Neutre), lorsque vous descendez une pente. Si beaucoup d’automobilistes le font, en pensant économiser du carburant, et donc de l’argent, il vaut mieux oublier cette habitude tout de suite. Car en mode Neutre, la voiture est alors en roue libre, et n’est donc plus retenue par le frein moteur. Le véhicule n’est plus ralenti par la boite de vitesse, et il faut donc presser la pédale de frein pour réduire sa vitesse, ce qui a logiquement tendance à user le système de freinage plus rapidement. De plus, il vous sera impossible de d’accélérer à nouveau si besoin, ce qui peut causer des difficultés en cas d’urgence.

 

Source : https://www.auto-moto.com

3 mai 2021par Flora LEMBLE
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Connaissez-vous ces modes de recharge alternatifs pour voiture électrique ?

Différentes solutions émergent pour la recharge de véhicules électriques. Le point sur ces aides à l’électromobilité.

Il n’y a pas que les Superchargeurs, les stations Ionity ou les bornes de parkings pour recharger sa voiture électrique. Des solutions alternatives – et parfois inattendues – commencent à émerger, et elles pourraient bien dans un avenir proche réduire encore un peu l’inévitable range anxiety qui tenaille toujours certains électromobilistes. État des lieux.

V2V, la recharge de véhicule à véhicule

Variante du V2G (Vehicle to Grid), la recharge V2V permet comme son nom l’indique de recharger une voiture à partir d’une autre voiture, de façon extrêmement simple, reprenant la bonne vieille pratique du siphonnage de réservoir d’une voiture à l’autre, connue du temps déjà lointain de l’automobile dite « thermique ». Enfin, simple, façon de parler. Car si le principe semble évident (il existe déjà désormais entre smartphones), la mise en application technique de la charge bidirectionnelle n’est pas aussi facile (quoique…). Cela étant, certains constructeurs se sont déjà penchés sur la question, et promettent d’offrir prochainement ce service dans certains modèles, comme Hyundai avec le Kona. Certes, l’usage de ce type de dispositif sera occasionnel, mais l’idée de pouvoir dépanner un automobiliste à court d’énergie en lui envoyant un peu de jus quand on a les batteries pleines et une réserve de plusieurs centaines de kilomètres pour qu’il puisse rejoindre une borne de recharge est séduisante. Quitte à ce que le processus soit géré via une app (smartphone ou embarquée dans l’OS de la voiture) et permette même de facturer la prestation entre particuliers.

Recharge véhicule à véhicule v2v

Image : Insideevs

Le robot chargeur

Si tu ne viens pas au chargeur, c’est le chargeur qui viendra à toi. Voici, en quelques mots, résumée la philosophie de ce nouveau service mis au point par Aiways ou le français Mob-Energy, en cours d’expérimentation dans certains parkings de Lyon. Le principe est celui de la recharge mobile, qui permet avec une seule machine, donc un seul chargeur, de recharger plusieurs voitures à la suite pendant leur immobilisation, quelle que soit la place où elles sont garées dans le parking. Une solution qui offre davantage de flexibilité, tout en offrant une possibilité de recharge dans des lieux qui ne sont pas équipés de bornes. Un inconvénient cependant, celui de ne pouvoir charger qu’une voiture à la fois, donc un dispositif qui doit être vu comme complémentaire à une offre de recharge fixe.

Robit chargeur Charles

La station de recharge mobile

À l’instar d’une batterie externe pour smartphone que l’on utilise quand on est à court de jus et qu’on ne dispose pas de prise électrique à proximité, la station de recharge mobile permet de dépanner une voiture avec les batteries à plat sans avoir à déplacer un camion plateau. C’est par exemple ce que propose la start-up américaine SparkCharge avec ce système compact capable de fournir jusqu’à 25 km d’autonomie supplémentaire en 15 minutes, ce qui permet à un véhicule électrique d’ajouter un peu d’autonomie pour rejoindre la borne de recharge la plus proche. Le chargeur mobile « The Roadie » intègre des batteries cylindriques lithium-ion d’une capacité totale de 3,5 kWh et fonctionne avec une tension de 500 volts sous 40 ampères ce qui lui permet de recharger l’équivalent de 1,6 km par minute. Le chargeur peut tenir dans le coffre d’une voiture et il pèse moins de 23 kg. Une solution qui concernera davantage les dépanneurs que les particuliers.

Station recharge mobile

Les camions chargeurs

Essentiellement destinés aux sociétés de dépannage, ces « prolongateurs d’autonomie » peuvent se déplacer pour recharger rapidement un véhicule électrique en manque d’énergie. Dans un registre et un usage un peu différents, Audi et Porsche ont développé une solution de recharge rapide intégrée dans un container embarqué sur un camion. Audi a développé une solution mobile via un container de batteries ou modules usés. Délivrant jusqu’à 1,2 MW, celui-ci peut recharger jusqu’à 8 véhicules électriques simultanément. Quant à Porsche, la marque utilise un mégapack mobile embarquant 2,1 MWh de batteries, ce qui lui permet de recharger jusqu’à 10 véhicules simultanément. Baptisé Porsche Turbo Charging, ce système mobile a été conçu en partenariat avec la société allemande ADS-Tec. Il est installé à bord d’une remorque de poids lourd et embarque 2,1 MWh d’énergie, soit de quoi ravitailler l’équivalent de 30 Porsche Taycan. Le dispositif est utilisé par la marque lors d’évènements avec des clients.

Porsche chargeur mobile

Le partage de charge à domicile

Pour rouler l’esprit tranquille en électrique, pouvoir se reposer sur une communauté est un véritable atout. Fondée en partie sur l’idée du crowdsourcing, l’application PlugShare permet aux particuliers de référencer une borne de recharge privée (généralement celle de leur domicile) afin d’étoffer l’offre de fourniture d’électricité aux voyageurs de passage. Une façon de s’entraider entre électromobilistes, et d’en profiter pour partager des moments de convivialité pendant la recharge.

PlugShare

D’autres possibilités alternatives existent, comme les fameuses recharges à destination popularisées par Tesla puis maintenant par Porsche, ou encore les bornes de recharge au sein des réseaux de concessionnaires automobiles (Porsche également, mais bientôt de nombreux autres très probablement), sans parler des alternatives aux alternatives, à la fiabilité probablement plus discutable…

Source : www.automobile-propre.com

20 avril 2021par Flora LEMBLE
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Carte grise. Elle devient (presque) gratuite pour les hybrides !

La carte grise devient presque gratuite pour les véhicules hybrides, rechargeables ou non, grâce à l’exonération de la taxe au cheval fiscal votée par la quasi-totalité des régions de France. Cela peut s’apparenter à un « bonus » de plusieurs centaines d’euros à l’immatriculation pour ces modèles.

Parmi toutes les évolutions réglementaires relatives à l’automobile de ce début d’année 2021, une bonne nouvelle est passée quelque peu inaperçue. Elle est d’autant plus remarquable que celles-ci ne sont pas nombreuses, surtout lorsqu’il s’agit des frais liés à la possession d’une voiture. Au même titre que les véhicules « zéro émission » (électrique, hydrogène), les hybrides peuvent désormais être exonérées de la taxe régionale qui compte pour la quasi-totalité du prix du certificat d’immatriculation, comme ceux qui carburent au super-éthanol E85. Seuls restent donc à payer les 14 € de taxe fixe et redevance.

 

Un plafond pour les conversions E85

carte grise hybride rechargeable
La mesure concerne les hybrides rechargeables….
carte grise hybride full
…comme les modèles non-rechargeables…

L’exonération de cette taxe est décidée annuellement, comme son montant, par chaque conseil régional ou administration correspondante dans les territoires d’outre-mer. Elle concerne précisément « les véhicules dont la source d’énergie comprend l’électricité, l’hydrogène, le gaz naturel, le gaz de pétrole liquéfié ou le super-éthanol E85 » selon les textes officiels. L’abattement est plafonné à 750 € pour les véhicules ayant été convertis à l’E85 depuis la délivrance de la précédente carte grise, quelle que soit la région. Les hybrides, rechargeables ou non, ne sont pas concernés par cette limite.

conversion E85 carte grise
Les véhicules convertis à l’E85 bénéficient aussi d’une exonération.

Exonération à 100 % presque partout

Toutes les régions métropolitaines ont voté pour l’exonération à 100 % de la taxe régionale pour ces « véhicules propres » à l’exception de la Bretagne et du Centre-Val de Loire qui n’accordent qu’une réduction de 50 %. Aucune exonération n’a été adoptée dans les DOM (Guadeloupe, Guyane, Réunion, Martinique, Mayotte). Vous pouvez retrouver le détail des taxes et exonérations dans chaque région sur le site Internet de l’ANTS (Agence Nationale des Titres Sécurisés).

 

Pas de taxe non plus pour les hybrides légers

exoneration carte grise hybride leger
… et les modèles équipés d’une hybridation légère qui se généralise sur les modèles à essence.

Bonne nouvelle, les hybrides légers sont aussi exonérés. A l’image du Stop&Start, ce système permet aux constructeurs de réduire la consommation de carburant de leurs véhicules et il se généralise sur les modèles à essence. Ce qui explique d’ailleurs la flambée des chiffres de ventes des hybrides depuis quelques mois. Mais techniquement parlant, l’hybride léger n’a rien de comparable avec un full hybrid (type Renault Clio E-Tech ou Toyota Yaris) puisque la petite machine électrique ne permet aucun roulage en 100% électrique. Néanmoins, les acheteurs d’un véhicule à essence équipé d’un MHEV (mild-hybrid) auront la surprise de ne pas payer de carte grise. Ce qui permettra au moins d’amortir le surcoût lié à cette

12 avril 2021par Flora LEMBLE
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Une belle et fidèle réplique de la mythique Batmobile

Une réplique grandeur nature de la Batmobile, celle-là même qui apparait dans les films « Batman » et « Batman : le défi » de Tim Burton, sera proposée à la vente par la maison Bonhams le samedi 20 mars 2021. Elle est estimée entre 23 000 et 35 000 euros.

Le modèle mis en vente a été construit il y a quelques années par la société britannique Z Cars sur la base d’une Ford Mustang de 1965. La sportive originale a été dotée d’un châssis de type spaceframe et d’une carrosserie en fibre de verre. Le tout est propulsé par un V8 Chevrolet de 5,7 litres de 380 ch. L’intérieur est également fidèle à l’habitacle mis au point par le super-héros. Attention toutefois : si les boutons demeurent, aucun « gadget » n’a été installé sur la voiture.

Avec ses 6,7m de long, cette « Batmobile » a été réalisée sur le modèle de celle qui apparait dans les deux films de Tim Burton consacrés à l’homme chauve-souris. A noter qu’elle est homologuée pour rouler sur la route (du moins en Angleterre).

Cette réplique sera vendue dans le cadre d’une vente rassemblant une centaine de voitures, le 20 mars 2021. Il est bien sûr possible d’enchérir en ligne sur le site de Bonhams si vous souhaitez l’acquérir.

Cette Batmobile n’est pas un modèle original utilisé dans les deux Batman de Tim Burton, mais une réplique fidèle. © Bonhams 

25 mars 2021par Flora LEMBLE
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LES BORNES DE RECHARGE RAPIDE RENDUES OBLIGATOIRES SUR AUTOROUTE

Le réseau de recharges poursuit son développement

En 2020, les véhicules 100% électriques ont atteint 6% de part de marché. En 2022, un million de véhicules branchés sur les routes sont annoncés. Malheureusement, le réseau de bornes de recharge n’est pas encore adapté à cet usage. 

Pour pallier cette carence, Bercy et le bureau du Ministre des Finances ont précisé que le gouvernement a signé un décret rendant obligatoire l’équipement en borne de recharge rapide les stations services présentes sur l’autoroute. 

Les services de l’Etat ont d’ailleurs précisé que ce décret oblige « la distribution de l’ensemble des sources d’énergies usuelles ».

En outre, chaque station service sur le réseau autoroutier devra fournir d’ici le 1er janvier 2023 une solution de recharge pour les véhicules électriques !

QU’EN EST-IL POUR LE RESEAU ROUTIER NATIONAL ?

Autre bonne nouvelle à connaître : ce décret n’oublie pas non plus le réseau routier national qui lui aussi devra se plier à cette obligation. Par conséquent, le gouvernement a décidé d’attribuer une enveloppe de 100 M€ pour procéder au développement des bornes de recharge rapide sur le réseau routier national.

Ces stations comporteront au minimum 4 points de recharge avec une installation permettant une recharge de 150 kW minimum.

De quoi offrir une centaine de kilomètres en 8 minutes, si le chargeur embarqué de la voiture le permet !

Source : DS automobile

 

18 mars 2021par Flora LEMBLE
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Musique maestro !

Dans notre quotidien, nous écoutons de la musique continuellement : à la maison, dans les boutiques, pour faire votre sport, dans les rues, les grandes surfaces, en dinant etc. Les supports et accessoires pour l’écouter se multiplient également ; téléphones, tablettes, enceintes, écouteurs. Nous y avons accès à volonté, partout et tout le temps. Les constructeurs automobiles ont bien compris la place qu’occupe désormais la musique et s’associent à des enseignes incontournables de la hi-fi afin de développer des systèmes plus performants de retranscrire un son 3D et spatialisé. 

Mais quelles sont les conséquences de cette nouvelle auto sphère ? La musique a-t-elle un impact réelle sur votre façon de conduire ? Il ne faut pas être un génie pour l’affirmer ! Mais découvrons plus précisément ce qui provoque ce changement de comportement.

Il est évident que la musique agit sur l’humeur et la concentration. Son effet est mesurable au niveau du cerveau, écouter de la musique augmente la production de l’hormone du plaisir, la dopamine. Tout part du RYTHME de la musique : à l’écoute d’une musique égalant ou dépassant les 120 BPM (Battements Par Minute), les chercheurs ont remarqué que les conducteurs avaient tendance à rouler plus vite, leur parcours s’achevant en moyenne 5 minutes plus tôt. Mais ce n’est pas tout. Comme le relève Trax Magazine en relayant cette étude, les automobilistes placés dans de telles conditions sont aussi sujets à dépasser deux fois plus les autres conducteurs, avec en moyenne 140 dépassements en 20 minutes sur musique rapide, contre 70 sur un tempo plus doux. Un rythme musical énergique vous poussera donc inconsciemment à augmenter votre allure, et à adopter une conduite plus « nerveuse ».

Le choix de la musique est capital, si vous vous retrouvez en pleine heure de pointe dans les bouchons par exemple, il sera bien moins énervant d’écouter un fond sonore apaisant. Passer un bon moment en écoutant son morceau « énergique » préféré en conduisant, pourquoi pas, mais il ne faut pas non plus s’emballer et adapter son allure à la musique. Faites le test ! En restant prudent bien sûr !

 

Ecouter de la musique en voiture est autorisé, mais toutes les musiques n’ont pas le même effet sur le conducteur et son comportement.

 

« Psychomusicology: Music, Mind and Brain a mené une étude sur 140 personnes âgées de 18 à 29 ans 97% d’entre eux déclarent écouter de la musique lorsqu’ils conduisent. 80% des adeptes de cette pratique courante ajoutent qu’il est impossible pour eux de se concentrer sur la route sans musique. « Selon Warren Brodsky, directeur du BGU Music Science Lab à l’université Ben Gourion du Néguev, « Pour les jeunes conducteurs de 18 à 29 ans, la musique dans la voiture n’est pas seulement un divertissement, elle fait partie de leur auto sphère, qu’ils soient seuls ou non ». » En effet, le chercheur statue : « Ils sont tellement habitués à être constamment stimulés et à absorber de grandes quantités d’informations tout au long de la journée, qu’ils ne se demandent pas comment le type de musique qu’ils jouent peut affecter leur concentration, induire un comportement agressif ou les amener à mal calculer les situations à risque ». »

  • Une étude anglaise a déterminé que les accidents de circulation étaient nettement moins nombreux chez les conducteurs qui n’écoutent pas de musique au volant. 

FOCUS REGLEMENTATION : écouter de la musique à un niveau sonore trop élevé est passible de sanction cette infraction peut être sanctionnée d’une amende de 75 € (article R412-6). Mais sans niveau clairement défini, cette sanction est laissée à l’appréciation de l’agent de police verbalisateur. Téléphoner ou conduire, il faut choisir : il est formellement interdit de porter des écouteurs, passible d’une amende de 135 € et d’un retrait de 3 points sur le permis de conduire.

Vous voila prévenu ! Pour mettre toutes les chances de votre coté, éviter les excès de vitesse et accrochages qui peuvent en découler, choisissez des musiques adaptées! Chaque moment ou trajet a une musique indiquée, dont le but n’est ni d’énerver, ni d’endormir, mais au contraire de stabiliser le conducteur dans un état de concentration paisible.

Cette playlist vous emmènera au bout du monde 😉:

L’info en plus : Écouter de la musique à des bénéfices incroyables. Cela peut aider à réduire l’anxiété, le stress, la douleur ou à se motiver pour faire du sport. La musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui nous fait nous sentir mieux. Alors… à vos playlists !

 

 

12 mars 2021par Flora LEMBLE
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Production automobile : que reste-t-il du « made in France » ?

Avec la chute des assemblages en 2020, la production automobile française a du plomb dans l’aile. Un repli qui devrait s’atténuer cette année. Voyons quels seront les modèles « made in France » en 2021.

Malmené par la crise sanitaire et les délocalisations, « l’assemblé en France » fait grise mine.

Selon le cabinet d’analyse automobile Inovev, dans l’Union européenne, c’est l’Hexagone qui accuse le plus gros recul du nombre de véhicules fabriqués sur son territoire. Avec moins de 750.000 voitures sorties des usines françaises sur les dix premiers mois de l’année 2020, la production nationale enregistre une baisse de 47 % par rapport à la même période de 2019, contre « seulement »- 28 % en moyenne pour les autres pays de l’UE. Une débâcle ! Si la pandémie explique en partie ce repli, les chaînes de montage ayant été à l’arrêt plusieurs fois en 2020, c’est surtout le transfert à l’étranger en 2019 de la fabrication de certains modèles populaires qui a contribué à la dégringolade.

Ainsi, les quelque 42.000 Renault Clio encore produites dans l’Hexagone en 2019 ont déserté l’usine de Flins pour être désormais totalement assemblées en Turquie et en Slovénie. Chez Peugeot, c’est la 208 – dont plus de 42.000 unités étaient produites à Poissy en 2019 – qui a migré vers la Slovaquie. En outre, le 2008 (180.000 exemplaires l’an dernier à Mulhouse) sort maintenant d’une usine espagnole et l’Opel Grandland (65.000 unités en 2019) n’est plus assemblé à Sochaux. Soit, au total, près de 330.000 unités délocalisées !

Une embellie en 2021

Si la tendance est sans conteste à la décrue, le « made in France » n’a pas dit son dernier mot. Inovev, qui estime la production française totale en 2020 à 980.000 autos, table ainsi sur 1,2 million d’unités cette année,et même 1,5 million en comptant les utilitaires. Certes, on est loin des années fastes (3,5 millions/an en moyenne au début de la décennie 2000), mais la fabrication de certains modèles va être transférée, renouvelée ou accrue en France en 2021.

C’est notamment le cas du nouvel Opel Mokka, qui sera assemblé à Poissy, et de la Toyota Yaris Cross, qui le sera dans le Nord (95.000 exemplaires chacun sur l’année environ). A Maubeuge, Mercedes produira plus de 15.000 unités de son ludospace Citan (rebaptisé Classe T), le cousin du Kangoo. Ce dernier va d’ailleurs progresser de 20.000 unités en 2021, selon les prévisions d’Inovev. Même son de cloche pour la Peugeot 308, dont la production, transférée de Sochaux à Mulhouse, doit augmenter de 30.000 unités cette année. Enfin, l’assemblage de la CitroënC5, dont la nouvelle génération est prévue pour fin 2021, va revenir en France.

 

En 2021, vingt modèles « made in France »

Le cabinet Inovev a fourni à Auto Plus ses prévisions de production pour chaque modèle, y compris les quatre nouveaux (en gras) qui entrent dans le giron de l’industrie française cette année.

> Marque, modèle / Usine de production / Volume prévisionnel

  • Alpine A110 / Dieppe / 2.034
  • Citroën C5 / Mulhouse / 16.382
  • Citroën C5 Aircross / Rennes / 69.383
  • DS 3 Crossback / Poissy / 28.240
  • DS 7 Crossback / Mulhouse / 27.376
  • Mercedes Classe T / Maubeuge / 15.074
  • Nissan Micra / Flins / 51.811
  • Opel Mokka / Poissy / 95.211
  • Peugeot 308 / Mulhouse / 136.706
  • Peugeot 3008 / Poissy / 189.130
  • Peugeot 508 / Mulhouse / 39.378
  • Peugeot 5008 / Rennes et Sochaux / 58.748
  • Renault Espace / Douai / NC
  • Renault Kangoo / Maubeuge / 101.848
  • Renault Scénic / Douai / 60.934
  • Renault Talisman / Douai / 8.731
  • Renault Zoe / Flins / 93.661
  • Smart Fortwo / Hambach / 20.332
  • Toyota Yaris / Valenciennes / 96.950
  • Toyota Yaris Cross / Valenciennes / 96.950
3 mars 2021par Flora LEMBLE
CHEZ DS

DS 4 se révèle…

LE nouveau modèle au look de baroudeur chic de la marque DS AUTOMOBILES.

Des roues très imposantes afin de lui donner de « l’élégance » et une petite forme « aérienne ». Des dimensions imposantes apportent tout de même un vrai dynamisme grâce à ses lignes sculptées et graphiques en forme de X. Ses toutes nouvelles signatures lumineuses à l’avant et à l’arrière et sa calandre spécifique valident également son fort caractère et rajoute un côté raffiné au véhicule

La marque a voulu mettre en avant,  une signature lumineuse avec le nom « DS matrix led version ».

La nouvelle DS 4 Cross back qui est la petite surprise de cette présentation officielle. Ce modèle se rapproche du segment d’un SUV, bien marqué par les boucliers inférieurs. Des barres de toit viennent également compléter ce nouveau modèle.

Il existe une version performance du DS 4 Line, cette version est surtout une grosse amélioration du confort avec notamment un éclairage d’ambiance personnalisable, une ambiance sonore et quatorze haut-parleurs accompagné de vitres latérales avant et arrière acoustiques. L’Alcantara est mis à l’honneur sur la sellerie et la planche de bord.

Toujours plus de technologies high tech, et toujours plus de raffinement dans les moindres détails…

L’autonomie et la conduite semi-autonome de niveau 2, déjà proposées sur le restant de la gamme DS, DS 4 reçoit une évolution majeure.

Sur le plan dynamique, le nouveau véhicule espère figurer parmi les références grâce à sa suspension pilotée DS Active Scan Suspension. Il s’agit d’une exclusivité dans le segment, grâce à l’utilisation d’une caméra. Placée en haut du pare-brise, elle visionne et anticipe les irrégularités de la route et transmet les données à un calculateur qui agit sur chacune des roues indépendamment, pour optimiser le confort quel que soit l’état de la route.

Présentée le 3 février 2021, la nouvelle DS4 sera commercialisée pour la fin de cette année puisque la production débutera seulement en août 2021.

En attendant la sortie du véhicule voici quelques photos en avant-première…

 

4 février 2021par Carla Leconte
CHEZ DS

DS Carcassonne & Anne Surry Creation

La marque DS Automobiles cultive la mise en valeur des meilleurs du savoir-faire Français ! C’est pourquoi, au DS SALON CARCASSONNE nous avons décidé de collaborer avec la marque made in France Anne Surry Creation.

Anne Surry Création est une marque française de vêtement en Cuir et Peau Lainée véritable. Les peaux sélectionnées pour les vêtements sont issues d’un savoir-faire français, transmis de génération en génération, travaillées et transformées en France. La confection de ses vêtements se fait dans ses ateliers certifiés Métiers d’Arts. Sa boutique se trouve sein de la cité Médiévale de Carcassonne.

Retrouvez l’exposition de 3 modèles féminin et 1 modèle masculin au DS SALON CARCASSONNE !

Une alliance parfaite entre deux marques aux Valeurs partagées. 

Le savoir-faire français existe et il est synonyme de Luxe. 🇫🇷

 

 

 

26 janvier 2021par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

6 innovations pour améliorer votre sécurité

Signalisation : le triangle-robot

Lorsqu’une panne survient ce n’est jamais le bon moment ni le bon endroit et courir 50 m pour positionner son triangle de présignalisassions (obligatoire, sauf sur l’autoroute) peut s’avérer dangereux. C’est à ce moment que le triangle-robot entre en scène ! Installé sous le véhicule, il se détache et va se positionner à bonne distance. Il ne reste plus qu’a vous mettre en sureté, derrière la glissière de sécurité.

Quand ? Pas de date annoncée

 

 

Airbag : A l’abri dans mon cocon

 

Un airbag qui vous enveloppe complètement en cas d’accidents, il fera tout le tour de votre corps. De plus un second airbag sera placé dans le siège de

devant (ou tableau de bord déjà existant) en face de vous. Ce qui vaudra de vous retrouver dans un écrin de sécurité ! Tonneaux, chocs et collisions n’ont qu’a bien se tenir,  nous seront protéger à 360 degrés dans notre cellule de survie.

Quand ? Avec l’arrivée des voitures autonomes.

Visibilité : Le hayon-écran

Cet ingénieux prototype va vous permettre d’avoir une visibilité parfaite sur la route, plus précisément sur ce qui se passe devant vous. Le hayon-écran consiste à installer une caméra qui va filmer devant le véhicule et diffuser à l’arrière pour que les automobilistes aient connaissance de ce qu’il se passe en amont de la route. Plus de visibilité = Plus de sécurité

Quand ? Ce n’est encore malheureusement qu’un prototype. On espère voir rapidement cet technologie sur les routes !

 

 

Marquage au sol : Lumière sur

 

Passages piétons, ralentisseurs ; intersections ; voies réservées … La signalisation lumineuse dynamique Flowell de Colas va débarquer dans nos villes !  Ce sont des dalles composées de LEDs encapsulées dans un substrat multicouche et raccordées à un réseau électrique. Pour un marquage au sol dynamique des zones ou la visibilité sera optimisée et donc plus sécure !

Quand ? En phase de développement

 

Ceinture : Tout le monde est blanc ?

Tout le monde à bien mit sa ceinture ? C’est LA question que nous avons tous posé au moins une fois. Cette innovation vous permettra de boucler votre ceinture en un temps record mais également de vous assurer en un clin d’œil que tous les occupants soient bien attachés.

Blanc lorsqu’un siège est inoccupé, rouge si le capteur du siège détecte un passager : il n’y a plus qu’a boucler !

Quand ? La règlementation ne permet pas de lancer cette innovation car une boucle doit être obligatoirement rouge et ne peut être éclairée…

 

Eclairage : Digital Matrix Led

La technologie Digital Matrix Led : chaque optique est dotée de 1,3 million de micromiroirs capables de faire varier l’intensité lumineuse point par point, un peu comme un projecteur de cinéma. Le faisceau lumineux peut diffuser un logo, être plus intense sur la voie dans laquelle le véhicule circule, indiquer la direction à suivre et, surtout, atténuer localement sa puissance pour ne pas éblouir les autres usagers de la route. Tout simplement bluffant !

Quand ?

Audi Matrix LED : des phares à diodes à faisceau matriciel - Challenges

20 janvier 2021par Flora LEMBLE
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Assurance auto : comment bien choisir ?

L’assurance automobile est obligatoire

Il faut savoir que la législation impose la possession du permis de conduire, et l’obligation d’assurer tout véhicule à moteur.

En cas de défaut d’assurance vous êtes passible d’une amende de 3.750 €, qui peut même être assortie de trois ans de suspension de votre permis de conduire, ou de la confiscation du véhicule concerné, avec l’obligation d’accomplir (à vos frais) un stage de sensibilisation à la circulation routière.

Le plus important est que s’il vous arrive un accident alors que vous n’êtes pas assuré, un fond spécial mis en place par l’état indemnisera la victime, mais si, en tant que conducteur non assuré, vous êtes à l’origine de cet accident, ce fond de garantie se retournera directement contre vous pour obtenir le remboursement des indemnités perçues par la victime de cet accident. Et ce remboursement pourrait vous coûter très cher !

Attention à bien vérifier les informations fournies

Il est important de vérifier toutes les informations fournies à votre assureur, en particulier :

  • Vos coordonnées (nom, prénom, adresse, etc.) ;
  • Le véhicule assuré (modèle, kilométrage, puissance, etc.) ;
  • L’usage du véhicule (nature des trajets, kilométrage moyen, etc.) ;
  • Les identités du ou des conducteur(s).

Si des informations sont erronées, vos démarches pour obtenir une indemnisation en cas de sinistre pourront être plus compliquées. En cas d’erreur, d’omission ou fausse déclaration, votre contrat peut être résilié par l’assureur.

Les types de contrats

Il existe trois types de contrats d’assurances suivant vos besoins ou votre budget :

L’assurance au tiers, elle ne comporte que la responsabilité civile, couvre les dégâts causés à une personne lors d’un sinistre, il s’agit du minimum réglementaire.

L’assurance au tiers plus ou intermédiaire, comporte davantage de prestations.

L’assurance tous risques est celle qui vous couvre le plus, bien qu’elle ne vous assure pas pour tout, contrairement à ce que son nom laisse penser.

Attention, chaque contrat est différent, il ne faut pas penser qu’une assurance tous risques ou intermédiaire vous propose automatiquement telle ou telle garantie alors qu’au final, elle n’était qu’en option dans le contrat en question. Soyez attentif aux garanties proposées sur le contrat, surtout si elles vous sont importantes : garantie vol, remorquage, prêt d’une voiture, bris de glace, incendie, etc.

Même dans le cas d’une assurance « tous risques », le véhicule n’est pas protégé contre tous les risques. Le plus important est de s’assurer que les garanties les plus indispensables, notamment la garantie dommages matériels subis et la garantie conducteur, sont bien présentes. Mais d’autres garanties peuvent aussi avoir leur importance, comme celles protégeant contre le bris de glace, les catastrophes naturelles, le vol ou encore l’incendie.

La plupart des assurances auto prévoient également des prestations d’assistance, il est important de les vérifier afin de connaitre les services auxquels vous pouvez prétendre en cas de sinistre. Les plus importants sont l’assistance, le remorquage du véhicule et le prêt d’un véhicule de remplacement. Ces prestations permettront bien souvent à l’assuré de faire son choix entre différents contrats.

Une attention particulière doit aussi être portée aux montants des franchises. La franchise correspond à la somme qui reste à votre charge et qui n’est pas assumée par votre assureur. Il arrive que des organismes proposent une prime d’assurance abordable mais qui cache en contrepartie des franchises exorbitantes qui vous coûteront cher le jour où un sinistre se produit.

En cas de besoin, faite simuler par votre compagnie votre reste à charge ou vos prestations en imaginant un sinistre.

La résiliation de contrats

Sachez enfin qu’il vous est possible de résilier votre contrat d’assurance après sa première année ou lors du remplacement de votre véhicule, n’hésitez pas alors à demander plusieurs devis.

Lors de votre prochain achat, renseignez-vous auprès de votre conseillé commercial

16 décembre 2020par Flora LEMBLE
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Comment recycler ses pneus ?

Les obligations de recyclage

Depuis la publication du décret du 24 décembre 2002  le Code de l’environnement est clair sur le sujet : « Il est strictement interdit d’abandonner, de mettre en décharge ou de brûler à l’air libre des pneus usagés. Afin d’éviter les nuisances créées par les dépôts et les risques d’incendie ».  

La fin de vie d’un pneumatique est donc avec une obligation de recyclage !

Bon à savoir: Dans un pneu, on trouve quantité de matériaux : des élastomères naturels ou synthétiques, du noir de carbone, des plastiques, de la silice, du soufre, de l’acier ou encore divers textiles.

Auprès de qui doit on se débarrasser de ses pneus usagés ?

On ne se débarrasse pas d’un pneu comme ça ! Les pneus ne sont plus acceptés dans les décharges, ils sont soumis à une obligation de reprise par tous les professionnels de la filière, les détenteurs et consommateurs de pneus usagés doivent donc faire appel aux professionnels agréés.

Les professionnels soumis à cette obligation de reprise sont :

  • Les producteurs /importateurs de pneumatiques
  • Les distributeurs (garages, centres autos…)
  • Les collecteurs, tels que la société Aliapur, doivent se charger du ramassage, du regroupement, du tri ou du transport des déchets
  • Les exploitants d’installation de traitement

Une seconde vie pour ses pneus usagés ?

Il y a des façons ingénieuses pour réutiliser les pneus usagés, pour les plus créatifs et bricoleurs voici quelques idées  qui permettent de recycler les pneus et ainsi éviter qu’ils polluent les sols.



Source Photos : https://www.demotivateur.fr

9 décembre 2020par Flora LEMBLE
CHEZ DS

Les premières infos sur la nouvelle DS4 !

La DS 4 nouvelle génération est en phase d’approche. La marque débute le 2 décembre 2020, sa communication sur sa berline compacte dont la révélation officielle doit intervenir en février 2021. Quant à sa commercialisation, elle est prévue pour la fin de cette même année puisque la production dans l’usine Opel de Rüsselsheim, en Allemagne, débutera en août 2021. A noter qu’il s’agira de la seule usine d’assemblage pour l’ensemble des marchés, y compris pour la Chine.

ds aero sport lounge
Côté style, la DS4 s’inspire du concept Aero Sport Lounge.

Son design s’inspirera de l’original concept Aero Sport Lounge, présenté au printemps 2020. Par ailleurs, cette DS 4 ne sera pas toute seule, d’après Marion David, directrice du produit, « il y aura deux versions, mais cela ne fait toujours qu’un seul véhicule ». Comprenez par-là que sous le label DS 4, il y aura une berline, et une autre silhouette plus baroudeuses (la Crossback), mais que dans l’objectif de 6 véhicules dans la gamme fixé par Carlos Tavarès, patron du groupe PSA, cela ne compte que pour un seul modèle… Enfin, la française disposera d’équipements technologiques apparus sur les segments supérieurs, mais également d’éléments innovants.

 

Au rayon mécanique

ds 4 2021 plateforme emp2
La DS 4 reposera sur une évolution de la plateforme actuelle, elle est baptisée EMP2V3.

Pour cette première prise de parole sur la DS 4 deuxième du nom, le constructeur a choisi de se focaliser sur la technologie embarquée à commencer par base technique EMP2V3. Comme son appellation l’indique, il s’agit d’une évolution de l’actuelle plateforme inaugurée en 2013 par le Citroën C4 Picasso et la Peugeot 308 II. Dans la course à la réduction des CO2, les ingénieurs ont optimisé la masse par l’emploi de nouveaux matériaux composites. La technique du soudo-collage a été accentuée afin d’améliorer la rigidité du châssis.

ds 4 2021 phev
Le catalogue pourra compter des versions hybrides rechargeables avec un bloc essence associé à un électromoteur placé à l’avant.

Sans surprise, la DS4 disposera d’un moteur hybride rechargeable de 225 ch, dont la batterie, d’une capacité brute de 12,4 kWh permettra une autonomie en tout électrique de 50 km, version évoluée de celle déjà en poste sur les DS7 Crossback et DS9. Par ailleurs, Sébastien Jacquet, directeur projets véhicules DS Automobiles, nous a confirmer l’arrivée, par la suite, d’une autre version PHEV « moins puissante, notamment pour viser les flottes, en revanche, il n’est pas prévu d’en proposer une plus puissante ». Selon nos informations, la puissance de cette version hybride rechargeable sera de 180 ch. La gamme comptera également des versions thermiques simples allant de 130 à 225 ch, toutes associées à une boîte automatique EAT8, et recevra l’appui, dès 2022, d’une hybridation légère (MEHV) sur les essence à boîte manuelle. Ces derniers seront associés à une nouvelle boîte à double embrayage électrifiée développée par Punch Powertrain.

 

Un véritable assistant personnel

ds 4 2021 affichage tête haute
La DS 4 pourra disposer d’un affichage tête haute par projection des informations.

A bord, la DS 4 disposera d’un large écran tactile fonctionnant, selon la marque, comme un téléphone portable. Il disposera de widgets, comprenez des zones personnalisables et modifiables. L’ensemble est baptisé « DS Iris System », du nom de l’assistant personnel proposé à bord du concept DS X E-Tense (Mondial de Paris 2018). Il fonctionnera aussi bien via des commandes vocales ou gestuelles. Elle pourra également recevoir un affichage tête haute projetant les informations (vitesse, aide à la conduite, navigation, téléphone, radio…) sur sur une surface de 21 pouces du pare-brise. A noter que le système d’info-divertissement ainsi que la cartographie GPS pourront être mis à jour à distance.

ds 4 2021 assistant personnel
DS Iris System est un véritable assistant personnel.

Selon nos informations, en plus des écrans pour les compteurs et pour le système d’info-divertissement, la DS 4 disposera d’une troisième dalle placée à la base de la console centrale, c’est elle qui servira aux différentes commandes gestuelles (zoom et reconnaissance d’écriture…). Sa présence empêchera la DS4 de recevoir un levier de vitesses manuelle. Quant à la version automatisée, elle sera proposée sous la forme d’une manette comme sur la récente Citroën C4.

Une conduite toujours plus autonome

ds 4 2021 adas
Le DS Drive Assist 2.0 n’est autre que le système de conduite semi-autonome de niveau 2…

 

ds 4 2021 pilote automatique
…une simple pression sur le clignotant et la voiture opérera un dépassement toute seule.

 

 

 

Pour la partie aides à la conduite, la DS 4 reprend ce qui se fait déjà à bord de ses grandes sœurs, en l’améliorant. Ainsi, la conduite semi-autonome de niveau 2 (régulateur adaptatif avec fonction embouteillage et maintien actif dans la voie de circulation) dispose du choix du positionnement dans la voie, comme sur les DS 7 Crossback et DS 9. Il offre de nouvelles fonctionnalités correspondant au système DS Drive Assist 2.0 :

  • dépassements semi-automatiques (le conducteur devra simplement actionner le clignotant),
  • adaptation de la vitesse dans les courbes,
  • préconisation anticipée de la vitesse via la lecture des panneaux de signalisation.
ds 4 2021 suspension adaptative
La suspension avec caméra, permettant d’anticiper les mauvais revêtements de la chaussée, sera disponible.

Comme ses aînées, la DS 4 pourra également recevoir le « DS Active Scan Suspension » ainsi que le « DS Night Vision ». Au moyen d’une caméra située au sommet du pare-brise, le premier système anticipe les irrégularités du revêtement et agit sur l’amortissement des quatre roues de façon indépendante. Le second, grâce à une caméra infrarouge placée dans la calandre, détecte dans la nuit ou par faible luminosité, les piétons et animaux à une distance de 200 m, et permet au conducteur de les visualiser sur l’écran des compteurs numériques. Une alerte est également visible dans l’affichage tête haute. Pour clôturer le chapitre visibilité, la DS 4 pourra compléter sa panoplie avec le « DS Matrix Led Vision » adaptant automatiquement le faisceau lumineux en fonction des autres usagers, des conditions météorologiques ainsi que du profil sinueux de la route.

Source : https://www.largus.fr

9 décembre 2020par Flora LEMBLE
CHEZ DS

DS-Techeetah prête pour la défense de ses titres en Formule E

Une technologie victorieuse avec la gamme électrifiée E-TENSE

La 6ème saison du championnat Formula E* a terminé en beauté pour l’équipe DS TECHEETAH et la Marque DS Automobiles. Cette dernière accumule les records, conserve et célèbre ses titres Pilote et Equipe suite aux exploits d’Antonio Felix Da Costa, Champion, et Jean-Eric Vergne, troisième, à bord de DS E-TENSE FE20.

Une victoire qui s’explique par la volonté de DS Automobiles de développer des modèles électrifiés puissants et représentatifs d’un savoir-faire technologique, savoir-faire que l’on retrouve dans l’ensemble des modèles E-TENSE de la Marque.

*La Formule E, est une catégorie de compétition automobile de type monoplace électrique réglementée par la Fédération internationale de l’automobile. La seule catégorie de monoplace actuellement en compétition équipée d’un moteur électrique.

Cette saison 2019-2020 restera mémorable pour DS Automobiles et DS TECHEETAH  : avec 4 victoires, 9 podiums, 5 pole positions et 3 meilleurs tours en course en onze E-Prix, les DS E-TENSE FE20 ont devancé leurs concurrentes Nissan IM02, Mercedes-Benz EQ Silver Arrow 01, Audi e-tron FE06, BMW i.FE20, Jaguar I-Type IV, Porsche 99X Electric, Mahindra M6Electro, PENSKE EV-4 et NIO FE-005.

 

Le mercredi 25 novembre DS Techeetah a lancé sa saison 2021 de Formule E*.

L’écurie a organisé un live depuis un studio parisien proche de Versailles avec ses deux pilotes, le Français Jean-Eric Vergne et le Portugais, Antonio Da Costa.

Une véritable machine à gagner qui rafle tout depuis deux saisons en Formule E, léquipe DS-Techeetah annonce qu’elle est prête à défendre ses titres lors de cette nouvelle saison de Formule E qui commencera le 16 Janvier 2021 à Santiago au Chili.

Source calendrier 

7 décembre 2020par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Des pneus, écolos, connectés et increvables dans un avenir proche ?

Le monde de l’automobile opte pour un futur de plus en plus vert afin de réduire l’empreinte écologique globale de la voiture.

On a commencé avec la chasse au diesel pour réduire les émissions de CO2 et aujourd’hui le gouvernement nous incite à acheter des véhicules hybrides ou électriques. Mais l’entretien auto va-t-il aussi devenir plus écologique à son tour ?

Le géant des pneumatiques Michelin voit le futur pneu : connecté, increvable et conçu à partir de produits naturels et recyclés. Il s’agit du concept Vision un pneu auto révolutionnaire qui devrait bouleverser le marché et l’entretien de nos pneumatiques dans les années à venir.

Imaginez un pneu qui possède des capteurs pour vous informer de l’état d’usure produit à partir de matière recyclées comme du bambou, des pelures d’oranges, des copeaux de bois, du carton… Sans jante avec une structure alvéolée, ce pneu ne craindra pas la crevaison et pourra s’adapter à plusieurs types de revêtements routiers via des bornes d’impression 3D. Un choix de conception innovant qui peut offrir une durée de vie impressionnante et facilement adaptable via des bornes 3D pour modifier la sculpture de la bande de roulement du pneu en seulement quelques minutes.

Un concept prometteur pour un avenir plus vert auprès de nos autos, il faudra tout de même attendre plusieurs années avant de voir ce pneu se réaliser. Affaire à suivre…

18 novembre 2020par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Pleins phares sur la location longue durée (LLD)

 

Apparue à la fin des années 70, la location longue durée (LLD) a fait sa route et n’a cessé d’évoluer. Ce mode de location, qui consiste à louer une voiture sur une durée déterminée avec un kilométrage fixe, attire professionnels et particuliers. Entre leasing, location avec option d’achat et LLD, nous tentons d’éclaircir le sujet.

 

Comment fonctionne la location de voiture en contrat longue durée ?

La location longue durée, aussi appelée LLD, est l’opportunité de louer un véhicule pour une période et un kilométrage donnés contre le versement d’un loyer mensuel. Ce véhicule est ensuite restitué à l’organisme financier auquel il appartient.

La location de voiture longue durée et ses avantages

Les avantages de ce mode de financement sont divers. Tout d’abord, il permet d’éviter de subir le coût d’un achat et de s’équiper d’un véhicule neuf pour une durée et un kilométrage adaptés à ses besoins.

Le contrat de location peut ensuite être renouvelé avec une nouvelle voiture neuve : il est donc possible de changer régulièrement de véhicule à moindre coût. Et avoir un loyer mensuel, c’est aussi avoir une maîtrise optimale de son budget automobile.

Un contrat de location longue durée comprend également des services associés qui représentent un gage de sérénité, l’assurance d’avoir un véhicule sans se soucier de tous les coûts annexes.

Évidemment, la LLD n’a pas que des atouts. Le kilométrage fixé lors de la signature du contrat peut être contraignant, et des frais de remise en état du véhicule peuvent survenir en fin de location.

La location longue durée sans apport, c’est possible

Alors que l’achat représente une dépense directe importante, la plupart des contrats de LLD sont souscrits sans apport.

Dans le cas contraire, cela se traduit par une majoration du premier loyer : une dépense qui reste bien moins élevée que dans le cas d’un achat et n’affecte pas le prix total de la LLD puisque cette majoration impacte les loyers suivants à la baisse. La location longue durée, sans apport, permet ainsi de préserver sa trésorerie.

LLD et leasing : quelle différence ?

La LLD n’est autre qu’un type de leasing. En effet, derrière l’appellation fréquemment utilisée se cachent la location longue durée et la location avec option d’achat (LOA). Ces deux modes de location se distinguent par la possibilité de rachat du véhicule loué.

En LLD, la voiture est restituée au loueur mais il est possible d’effectuer une demande de rachat 6 à 8 semaines avant la date de fin de contrat. Le prix d’achat est estimé en fonction des prix du marché au moment du rachat.

En LOA, le prix est calculé dès l’établissement du contrat, soit deux à quatre ans plus tôt, et la restitution du véhicule n’a pas lieu si l’option d’achat est levée.

Si elle est encore à l’origine de nombreux questionnements, la location longue durée prend de plus en plus d’importance face à l’achat. Elle peut également représenter l’occasion de tester durant quelques mois des véhicules électriques ou hybrides ! Des véhicules verts qui ont, eux aussi, de belles années devant eux ? Affaire à suivre !

SOURCE : https://www.auto-moto.com/

10 novembre 2020par Flora LEMBLE
CHEZ DS, CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Relooking signé Ines de la Fressange pour DS3 CROSSBACK

Nouvelle collaboration pour DS AUTOMOBILES X Ines de la Fressange après la serie limitée de l’iconique DS3 en 2017. C’est aujourd’hui le DS3 CROSSBACK qui va s’offrir le chic à la Parisienne !

Style / Élégance / Modernité

La rencontre de deux marques aux univers communs : savoir-faire Français et innovation ! La spécificité visuelle de ce modèle est la teinte bleue encre et de son toit noir perla nera. Pour rehausser le tout, quelques touches de couleur Rouge Ines sur les coques de rétroviseurs ou encore les centres de roues.

Cette série spéciale dispose d’un volant cuir, d’un pédalier aluminium, des aides à la conduite (régulateur, freinage d’urgence jusqu’à 140 km/h, alerte franchissement de ligne …), des feux matriciels DS Led Vision, de l’aide au stationnement et d’un écran tactile 10,3 pouces.

L’artisanat Français est à l’honneur sur cette série limitée

A l’intérieur, la sellerie est exclusive à cette série, conçue en collaboration avec la maison de couture d’Ines de la Fressange. C’est dans un atelier Ariégeois que des tisserands se sont inspirés de techniques de tressage du cuir pour réaliser une confection spécifique de l’assise et du dossier des sièges. Un tissu nouvelle génération, exclusivement français pour un résultat souple et résistant, surprenant au toucher et particulièrement élégant.

Chaque exemplaire de cette édition sera livré avec un porte-monnaie 100% cuir de veau de la ligne « Marcia » signé Inès de la Fressange…Le Comble du chic !

Motorisation & Tarif

La série spéciale Ines de la Fressange est disponible sur les essences 130 et 155 ch, sur le diesel 130 ch et sur l’électrique E-Tense. Des tarifs démarrant à 36 400 €.

Attention seulement 1500 exemplaires seront produits au total sur cette série Féminine, Française et Distinguée ! Venez la découvrir prochainement dans nos DS STORES/ DS SALONS.

6 novembre 2020par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Les véhicules hybrides, le meilleur des deux mondes

Les véhicules hybrides font parties de la famille des véhicules électriques, peu nombreux il y a quelques temps, ils sont désormais courant. Mais il est encore difficile de s’y retrouver ; hybrides légers, hybrides rechargeables ou encore juste hybrides. Faisons le point ensemble sur ces véhicules mêlant technologie électrique et moteur thermique. Un compromis écologique et économique !

 

Donc, l’hybride qu’est ce que c’est ?

Les véhicules classiques hybrides ou full hybrid possèdent un moteur classique, moteur principal qui peut être à essence ou au diesel et un second moteur électrique en complément de puissance. Ces deux moteurs sont reliés à une batterie commune et peuvent fonctionner ensemble ou séparément.

Pour les recharger , il suffit de rouler ! L’énergie cinétique émit lors de décélération ou/et de freinage est stockée dans la batterie, lorsque au contraire vous accélérez, cette énergie vient relayer le moteur thermique.

 

Voiture hybride : fonctionnement, avantages et inconvénients

 

L’objectif d’un véhicule hybride est d’utiliser de façon optimale chacune des sources d’énergie électrique et thermique afin de limiter les émissions de CO2 et réduire la consommation énergétique. 

 

L’hybride léger

Moins couteuse que l’hybride, les véhicules dit micro Hybrid ou Mild Hybrid possèdent aussi un moteur thermique et même principe que pour le full hybride, lors des freinages et décélérations, l’énergie cinétique est aussi stockée mais cette fois dans une plus petite batterie de 12 ou 48 V. Il est en revanche impossible de rouler en tout électrique avec ce type de véhicule.

Pour finir, l’hybride Rechargeable

C’est l’hybridation qui se rapproche le plus d’un véhicule électrique. Plus couteuse que les versions que nous avons vu précédemment cette technologie est la plus aboutie en terme d’électrification. La batterie est plus grosse et permet de rouler pendant un peu plus d’une cinquantaine de km en full électrique. La batterie peut se recharger sur les bornes rapides ou sur une prise secteur. Le coté pratique c’est que pour les trajets quotidiens l’hybridation rechargeable permet de rouler sans utiliser d’essence. Et contrairement à un véhicule tout électrique, aucune limitation d’autonomie le moteur essence ou diesel prend le relai.

EN BREF, un véhicule Hybride (HV) n’a pas besoin de se brancher. Un véhicule Hybride rechargeable (PHEV) se recharge grâce à une prise de courant, et permet de rouler en tout-électrique sur de plus longues distances.

JE SOUHAITE DECOUVRIR LES VEHICULES HYBRIDES DS

28 octobre 2020par Flora LEMBLE
CHEZ DS, CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Le DS3 CROSSBACK E-TENSE, le SUV 100% électrique avec une autonomie impressionnante

La marque française DS Automobiles a conçu et développé son premier SUV 100% électrique, le DS3 Crossback E-Tense, qui est à la fois élégant et surprenant

 

Design et équipement

Il arbore un design premium, élancé, avec une calandre imposante, des lignes sportives, des feux DS Matrix LED Vision, des poignées de porte affleurantes et les vitres arrière sur teintées.  Avec une longueur de 4,12m, une habitabilité conséquente et un coffre de 350 litres, ce SUV combine compacité et espace. A l’intérieur, un design raffiné et des matériaux nobles. Les sièges à l’avant sont électriques et celui du conducteur est massant. L’instrumentalisation est 100% numérique avec un affichage tête haute et un écran tactile réactif et intuitif de 10“ avec de nombreuses fonctionnalités : GPS, contrôle de la climatisation, radio, Android Auto et Apple CarPlay et le contrôle de sièges chauffants.

Les haut-parleurs « FOCAL » offrent un son spatialisé et de haute qualité. De nombreuses aides à la conduite sont disponibles comme le maintien sur la voie, le détecteur d’angle mort, la vitesse adaptative avec à la reconnaissance des panneaux, l’aide au stationnement et la conduite semi-autonome.

L’application MyDS est disponible sur iOS et Android pour déverrouiller la voiture, suivre les processus de recharge, voir les informations détaillées sur la consommation, le kilométrage et l’autonomie, mais également elle permet de programmer à distance le chauffage ou la climatisation en amont d’entrer dans le véhicule.

Motorisation, autonomie et charge

Le DS3 Crossback E-Tense possède un puissant moteur de 136ch/100kW avec trois modes de conduite : le mode “Sport“ pour la performance, le mode “Normal“ avec un réglage adapté à l’utilisation quotidienne et au confort, et le mode “Éco“ favorisant l’optimisation de l’autonomie.

Ce véhicule propose une autonomie de plus de 300km (selon la norme WLTP), autonomie qui est importante et qui est une des meilleures de sa catégorie. Les batteries sont logées sous les sièges avant permettant une stabilité et un habitacle spacieux.

Le temps de charge varie en fonction de la puissance de la borne. On peut recharger le DS3 Crossback E-Tense en 30 minutes pour 80% sur une borne ultra puissante de 100kW, ou en 7h30 sur une prise domestique complète (DS Wall Box).

 

Une auto avant-gardiste en phase avec les besoins des clients

Le DS3 Crossback E-Tense est fabriqué en France, sur le site de Poissy en Ile-de-France.

C’est un petit SUV haut de gamme, qui peut convenir à une très grande partie de la population. Ce véhicule 100% électrique permet d’obtenir des aides financières de l’État en profitant du bonus écologique.

Élégant, imposant, raffiné et respectueux de l’environnement, le DS3 Crossback E-Tense prône puissance, efficience, technologie avec zéro bruit, zéro émission.

 

Alors qu’attendez-vous ? Venez l’essayer dans nos concessions DS AUTOMOBILES Tressol Chabrier !

 

27 octobre 2020par Carla Leconte
CHEZ DS, CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

COMPETITION DS TROPHY AUCH

Retour en images sur la première compétition de Golf « DS TROPHY » au Golf d’Auch-Embats avec le DS STORE AUCH.

L’événement a eu lieu dimanche 18 octobre, une agréable journée dans la convivialité pour nos 62 participants qui ont également eu l’occasion de découvrir nos créations d’avant-garde de la marque DS AUTOMOBILES.






20 octobre 2020par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

TOP 10 des activités incontournables à faire en Occitanie !

La Région Occitanie offre des lieux à couper le souffle. Voici un TOP 10 des lieux à visiter et à faire dans le Sud de la France occitan et catalan :

  1. Collioure

Situé entre Perpignan et la frontière espagnole, Collioure est un petit village de pêcheurs aux couleurs sud, avec son château royal au bord de la mer, son port aux barques typiques, sa vieille ville aux façades colorées et son emblématique clocher au dôme rose…Vous allez tomber sous le charme !

  1. La Cité de Carcassonne

Explorez la Cité dans son ensemble architectural et médiéval avec son château et ses remparts, un lieu exceptionnel classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. C’est un véritable voyage dans le temps qui est accessible de jour comme de nuit.

  1. Le Pic du Canigou

Amateurs de beaux paysages et de marche, gravissez et promenez-vous sur un des hauts sommets des Pyrénées offrant des vues imprenables et des sensations incroyables.

4. Les Arènes de Nîmes

Amphithéâtre romain du Ier siècle, visitez ce lieu unique et plongez-vous dans l’histoire des combats de gladiateurs. C’est aujourd’hui l’amphithéâtre le mieux conservé du monde romain.

5. Le Canal du Midi

Reliant Toulouse à la Mer Méditerranée, le Canal offre une sensation de liberté extrême. Inscrit sur la liste du patrimoine de l’UNESCO, parcourez-le en Péniche ou en vélo. Paysages et calme assurés.

6. La Place de la Comédie à Montpellier

Place centrale de la ville de Montpellier, vous pouvez admirer l’architecture des bâtiments du XIXème siècle et la fontaine des Trois Grâces. La place de la Comédie est le point de départ idéal pour une visite du centre historique, pour les amateurs de shopping et de vieilles pierres ! Vous pouvez découvrir les artistes de rues et profitez du soleil en vous attablant aux terrasses de cafés et de restaurants.

7. Le Capitole de Toulouse

Monument historique  de Toulouse « la ville rose », cet édifice emblématique abrite l’hôtel de ville, un théâtre, des salles de réception, des toiles géantes, des sculptures, et bien d’autres choses qui n’attendent que vous.

  1. La Réserve Africaine de Sigean

Vivez une aventure unique lors d’une journée Safari ! Avec plus de 3800 animaux et 300 hectares, la Réserve offre aux animaux des conditions de vie au plus proche de leurs milieux naturels. Le parc animalier semi-naturel est très vaste, les animaux restent sauvages. Observez les animaux de tous types (mammifères, oiseaux et reptiles). La visite s’effectue premièrement en voiture (1h) puis à pied. Buffles, Autruches, Lions, Tortues, flamants roses, Ours et bien d’autres.

  1. Le Pont du Gard

Situé entre Uzès et Remoulins, merveille de l’Antiquité et classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, le Pont du Gard se laisse admirer et visiter avec excitation.

  1. Les Gorges du Tarn

Baladez-vous à travers les chemins et villages, faites du canoë, escaladez les falaises… Bref, un endroit exceptionnel avec des paysages naturels grandioses avec de nombreuses activités, appréciable surtout en été, donc c’est le moment, foncez !

 

Le Canal du midi
Collioure
Les Gorges du Tarn

La Cité de Carcassonne
Le Pont du Gard
La Réserve de Sigean

Les Arènes de Nîmes
Place de la Comédie

 

Photos crédits : https://www.tourisme-occitanie.com/

26 août 2020par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Les équipements obligatoires à posséder en voiture

Pour circuler en France vous devez impérativement avoir les équipements suivants dans votre voiture :

Depuis 2008, le gilet jaune et le triangle de signalisation sont obligatoires dans votre véhicule et doivent bien évidemment être homologués. En cas de non-possession de ces équipements vous êtes passible d’une amende de 135€.

Pour ce qui est des équipements recommandés :

L’éthylotest n’est plus « obligatoire » depuis mai 2020 mais il reste fortement recommandé pour votre sécurité. Un véhicule doit également être équipé de feux en état de fonctionner pour être visible sous peine d’une amende forfaitaire de 68€ et l’immobilisation du véhicule peut être prescrite, il est donc essentiel d’avoir des ampoules de rechanges.

En cas d’accident sur la route n’oubliez pas d’avoir quelques exemplaires vierges de constats à l’amiable dans votre voiture.

14 août 2020par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Les 5 contrôles à faire sur votre véhicule avant un départ en vacances !

Les valises sont bouclées, les vacances d’été se rapprochent mais attention avant votre départ en vacances prenez bien le temps de vérifier votre véhicule.

DS Automobiles Tressol-Chabrier vous donne ses conseils pour partir en toute sécurité en 5 points.

10 juillet 2020par Carla Leconte
CHEZ DS, CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Symbole de l’excellence et du savoir-faire français : Découvrez la DS 9

Un nouveau modèle arrivera en fin d’année pour la marque premium Française DS AUTOMOBILES  : DS 9

La marque étoffe sa gamme avec une Berline qui s’impose par ses lignes modernes, alliant élégance et dynamisme. On remarque de suite son imposante calandre avant conçue à partir du Design du concept car E-Tense.  Longue de 4,93m et 360 chevaux sous le capot, elle sera disponible avec 4 motorisations : Un essence, Un Puretech 225ch et trois versions en hybride rechargeable.

Des finitions soignées en intérieur comme en extérieur, on retrouve les poignées affleurantes de la DS 3 CROSSBACK et l’agencement intérieur du premier véhicule de la marque la DS 7 CROSSBACK.  Il faudra cependant attendre la fin de l’année 2020 pour obtenir ce nouveau Joyau de raffinement et d’excellence technologique.

En attendant de la découvrir dans nos showrooms, découvrez là en vidéo :

26 juin 2020par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Procédures de sécurité en concession face au COVID-19

Nos concessions DS AUTOMOBILES Tressol-Chabrier sont heureuses de vous accueillir dans le respect strict des règles sanitaires face au COVID-19.

Afin de vous recevoir dans les meilleures conditions nous avons adapté nos procédures de sécurité. Vous retrouverez dans nos concessions un système de distanciations sociales au sol des showrooms ainsi que dans les bureaux commerciaux. Vous avez également des gants et du gel hydroalcoolique mis à votre disposition dans un souci sanitaire et pour ne prendre aucun risque lors de votre venue. L’ensemble de notre personnel est tenu de porter obligatoirement un masque pour votre sécurité.

Notre objectif est avant tout de garantir la santé de nos clients et de nos collaborateurs.

 

26 juin 2020par Carla Leconte
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Voiture en papier : plus de 100 modèles à assembler pendant le confinement

Avis aux passionnés d’automobiles, tous à vos ciseaux et battons de colle.

Plus de 100 modèles de véhicules à reconstituer, de quoi s’occuper pendant le confinement !

Source : lesvoitures.fr

27 avril 2020par Antoine
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Carburants : il y a bien longtemps que les prix n’ont pas été aussi bas !

Si certains d’entre vous n’utilisent plus leur voiture depuis un petit moment déjà, d’autres en revanche pourront tirer profit de la très forte baisse des prix des carburants.

Diesel : 26 centimes de moins depuis le début de l’année…

Source : www.turbo.fr

15 avril 2020par Antoine

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